Simtoc dessine d'abord pour se raconter des histoires merveilleuses. A 50 ans, il reste à l’écoute de son cœur, de son enfant intérieur. Autodidacte, il dessine à l'intuition... c’est un besoin vital et, parfois, le dessin vient littéralement à lui. Il se laisse habiter par les images, par les émotions qu’elles portent et c’est la grande aventure… toujours vivifiante et sans cesse renouvelée. Alors qui est Simtoc ? Exactement ce qu'il dessine !
C’est assez tôt, en famille, qu'il a commencé l’aquarelle. Sa maman disait « tu es ce que tu vois, deviens-le en conscience et dessine avec ton cœur». Longtemps il n’a peint que des paysages... Adolescent, il a tagué sur les murs de sa ville, de là lui vient son nom d’artiste. Il a toujours été fan de BD, de science fiction et d’histoires fantastiques, convaincu de l’existence d’autres mondes et a cherché une voie pour y accéder...
En 1994, il a eu le privilège de passer 1h, seul, avec Moebius (Jean Giraud) lors du Festival de BD de Chambéry et cela a bouleversé sa perception de la vie. Il est l’une de ses références artistiques.
En 2003, il s'ouvre à la spiritualité, la découverte du Soi et surtout à la perception d’autres dimensions. Depuis il explore ses mondes intérieurs avec les clés que sont les livres sacrés, l’alchimie, le Tarot, les symboles et la géométrie sacrée. C’est cela qu'il tente de « faire descendre » dans la matière. Depuis, ses œuvres sont marquées par cette reliance à l'invisible, certains parlent de transcendance...
En 2018, c’est le déclic. La lecture du manuscrit de "l’Enfant de la Source" de Lucile Paul-Chevance fait jaillir en lui des images qui s’imposent. Il doit les peindre. Une injonction ! Pendant 20 nuits d’affilés, il illustre l’histoire. Le livre est un succès et même si le projet de l’édition illustrée n’a pas vu le jour, l’essentiel est la confiance acquise : en ses mains, en son cœur, en sa sensibilité, en son art. Depuis il n'a plus peur de se montrer en tant qu'artiste ! Quand la vie a un plan, ses chemins sont inattendus ! En effet, 2 ans plus tard, sa cousine, Marie Christine Pereira lui propose d’illustrer un conte "Mia et le Chant de son Cœur". Ce projet voit le jour. Réalisé en autoédition, il trouve son public avec 600 exemplaires vendus.
En 2020, il devient artiste professionnel et en quelques mois, il installe son atelier de peinture et diffuse sur les réseaux sociaux. Les retours sont enthousiastes. Sa créativité déborde. Il propose des accompagnements individualisés par des peintures vibratoires en connexion avec l'âme.
En 2023, il commence à exposer et est invité parmi 40 artistes de plusieurs pays à la première Exposition Nationale d'Art Vibratoire près de Montpellier, organisée par Muriel Chaplain.