Added Sep 7, 2025
DOSSIER DE PRESSE
The PYJAMA PROJECTExposition Photographique du 26 septembre au 1 octobre 2025 Une Présentation Privée Réservée Jeudi 25 septembre Vernissage Vendredi 26 septembre de 17h à 21h. Galerie Sonia 3 rue Charlemagne, Paris IV Le Village St Paul Contact: philiprangdop@gmail.com. https://www.instagram.com/philiprang/ WhatsApp: +61 452 560 138
PYJAMA PROJECT (DU 26/09/2025 AU 01/10/2025)
FEMMES EN PYJAMA : Viet. Déf. Piliers du quotidien
Dans la société vietnamienne, les femmes portent leurs pyjamas de soie non seulement comme un vêtement de confort, mais comme un uniforme invisible de dignité, de force et de résilience.
Au marché, à la maison, dans la rue, elles incarnent une élégance ordinaire et universelle — ce socle sur lequel reposent familles, communautés et générations.
Ces images, réunies sous le titre The Pyjama Project, s’écartent de l’anecdote pour devenir hommage : une célébration de toutes les femmes, mères et filles, qui façonnent le monde dans le silence du quotidien.
À la manière d’un cinéaste qui peint avec la lumière, Philip RANG ACS propose ici une vision libre et poétique du quotidien.
Les femmes vietnamiennes, drapées de pyjamas de soie, deviennent des héroïnes intemporelles.
Dans ses images, les gestes anodins prennent une intensité cinématographique, les arrière-plans urbains et végétaux cessent d’être décor pour se révéler comme protagonistes.
Chaque photographie compose une scène où l’élégance silencieuse rencontre la force intérieure, donnant lieu à des tableaux vibrants et inattendus.
Cette série s’inscrit dans un projet d’envergure internationale initié au Vietnam, poursuivi en France et destiné à voyager vers d’autres horizons.
The Pyjama Project est un manifeste visuel : une cartographie sensible qui se nourrit des rencontres et des paysages, un récit photographique qui relie l’intime et le collectif, l’Orient et l’Occident.
Présentée prochainement à Paris, cette fresque contemporaine s’enrichira au fil des expositions et des dialogues qu’elle suscitera, affirmant l’ambition de Philip RANG de porter sa voix au rang des grands narrateurs visuels de notre temps.
THE PYJAMA PROJECT
Philip Rang propose ici une réinterprétation cinématographique d’un geste quotidien.
À travers le prisme de son regard, les femmes vietnamiennes vêtues de pyjamas de soie deviennent les héroïnes silencieuses d’un récit visuel.
Ces silhouettes, habituellement perçues comme de simples passantes, se révèlent en protagonistes puissantes, portées par la grâce des tissus et la dignité des gestes.
Cette série s’inscrit dans une démarche d’exploration culturelle et intime, initiée au Vietnam et appelée à voyager vers Paris puis d’autres capitales artistiques.
The Pyjama Project devient une fresque photographique vivante, un manifeste visuel qui transcende les frontières et s’enrichit des regards, des histoires et des paysages traversés.
Chaque image est une fenêtre, à la fois intime et universelle, qui compose une cartographie poétique de la modernité féminine.
À PROPOS DE L’ARTISTE
Né à Canberra, Australie, Philip RANG ACS grandit à Sydney où il poursuit sa scolarité au Knox Grammar School.
Sportif accompli, il excelle au rugby et sur les pistes d’athlétisme — courant le 800 mètres en deux minutes à seulement seize ans — tout en s’engageant comme sauveteur bénévole sur les plages de Queenscliff, dans le nord de Sydney.
Autodidacte passionné par l’image, il débute sa carrière comme assistant caméra à la BBC de Londres, avant de s’installer à Paris.
Dans le 11e arrondissement, il fonde son propre studio, Studio de la Fonderie, véritable laboratoire visuel où il expérimente la lumière avec des modèles, conçoit des photographies pour des ouvrages et signe l’éclairage de courts-métrages et de clips musicaux.
De cette effervescence naît une maîtrise singulière qui l’amène à collaborer sur des films publicitaires internationaux, le conduisant à voyager aux quatre coins du monde.
Depuis plus de vingt ans, Philip RANG ACS s’impose comme un directeur de la photographie et photographe pluridisciplinaire installé à Paris.
Parallèlement, RANG développe une importante collection de Polaroids et publie l’ouvrage Polaroids from Around the World (disponible sur Amazon), témoignage de ses recherches visuelles où chaque cliché, initialement pensé comme test de contraste et de cadrage, révèle une puissance esthétique inattendue.
Reconnu par ses pairs et membre accrédité de l’Australian Cinematographers Society (ACS), il développe un langage visuel alliant rigueur technique et sensibilité poétique.
The Pyjama Project, initié au Vietnam et destiné à être présenté à Paris, cristallise ce parcours : une œuvre-manifeste où l’intime, le culturel et l’universel se rejoignent dans une écriture lumineuse.
10 questions à Philip RANG
Qui es-tu ?
Je suis Australien, j’ai vécu plus de vingt ans à Paris. J’ai affiné ma sensibilité artistique en observant, en expérimentant, en faisant des erreurs, et en comprenant qu’il faut suivre son instinct. Forcer les choses – créativement ou émotionnellement – ne mène à rien. Je réagis aux émotions et aux intuitions façonnées par mes expériences.
D’où viens-tu ?
Je suis né à Canberra, j’ai grandi à Sydney. Sportif passionné – athlétisme, rugby, ski – j’ai passé deux saisons d’hiver au Colorado, où j’ai découvert la vidéo et rencontré de belles personnes dans la photographie. C’est là que j’ai compris que mes projets professionnels devaient être menés avec passion pour donner des résultats qui comptent.
Quelle est ta démarche artistique ?
Instinctive. The Pyjama Project est né de mon étonnement face à la culture vietnamienne : des femmes partout, en pyjama. Je devais immortaliser cela.
Ce qui a motivé ce projet ?
L’étonnement, et le désir brûlant de capturer cet aspect de la culture vietnamienne.
Comment le shooting s’est-il déroulé ?
J’ai eu la chance de choisir le bon partenaire : Christophe Bachelerie …,https://saigonvideographer.com/ producteur français. Quand je lui ai présenté le projet, il a compris que c’était une démarche artistique personnelle et m’a soutenu sans chercher à me vendre quoi que ce soit. Il a donné ses instructions à son équipe vietnamienne, et tout s’est parfaitement passé. On tournait un jour, on visionnait et préparait le lendemain, et ainsi de suite sur six jours, après trois jours de casting et de tests. C’est pendant ces tests que j’ai découvert que la simplicité d’un fond sobre était plus forte que le chaos visuel.
Comment le choix des tenues a-t-il été fait ?
J’ai choisi ce que je trouvais élégant… en imaginant que si ces pyjamas devenaient tendance en France, ce serait un vrai phénomène.
Les futurs lieux où tu aimerais montrer ce projet ?
Le Museum of Contemporary Art en Australie,… et pourquoi pas Dubaï.
Quel est ton prochain projet ?
Polo Project Deauville – les coulisses d’une équipe de polo à Deauville, un univers passionné et passionnant dans lequel j’ai eu le privilège d’être invité.
Ton actualité, un gros projet à venir ?
Des films en France, comme directeur de la photographie… mais je ne peux pas en dire plus pour l’instant.
Avec quel artiste aimerais-tu collaborer ?
Avec des esprits qui façonnent l’imaginaire et repoussent les frontières de leur art : Marc NEWSON pour la vision, Benjamin MILLPIED pour la grâce, Darius KHONDJI par admiration… et, bien sûr, Jacques AUDIARD, Phillip NOYCE, Luc BESSON pour la puissance du récit et l’âme du grand cinéma.
Ton meilleur et ton pire souvenir derrière la caméra ?
Il y en a beaucoup… mais les pires finissent souvent par devenir de belles anecdotes avec le recul !
Je me souviens d’un tournage au Vietnam, en plein marché de Saigon : la foule m’a littéralement encerclé alors que je tentais de cadrer un plan discret. J’ai dû me réfugier sur une moto pour m’extraire de la cohue — caméra serrée contre moi comme si c’était un bébé. Stressant sur le moment, mais aujourd’hui c’est un souvenir qui me fait sourire.
À l’inverse, un moment magique : à Deauville, pendant les coulisses d’un tournoi de polo, les joueurs m’ont invité spontanément à partager un verre après la séance photo. Ce soir-là, j’ai senti que mon appareil avait ouvert une porte vers une vraie complicité humaine.
Ton dernier projet ?
Mon dernier grand projet est The Pyjama Project, une série photographique réalisée au Vietnam à l’été 2025. J’y ai mis en scène des femmes vietnamiennes vêtues de pyjamas de soie dans leur quotidien, en leur rendant la place de protagonistes. Ces 17 tirages grand format seront présentés à Paris en septembre, dans le cadre d’une exposition au cœur du Village Saint-Paul.
En parallèle, j’ai finalisé une collection de 30 tirages sur le polo à Deauville, entre noir et blanc et couleur. Deux projets très différents, mais qui partagent la même volonté : créer des images intemporelles où la lumière et l’émotion racontent des histoires.
Ton spot idéal ?
Mon spot idéal reste la lumière naturelle au Vietnam — que ce soit les ruelles de Saigon à l’aube ou les rizières de Hué en fin d’après-midi. La clarté y est unique, elle enveloppe les visages et transforme le quotidien en tableau. C’est là que je trouve une justesse que je ne retrouve nulle part ailleurs.
Quelle musique tu écoutes quand tu travailles ?
Quand je photographie ou que je monte mes images, j’aime écouter Keith Jarrett, surtout son Köln Concert — c’est une respiration. Mais parfois, il me faut l’énergie brute de Tipica Argentina ou Madonna pour lancer la journée. Et sur les longs trajets, je laisse tourner Kylie Minogue, toujours.
Une couleur / un thème que tu préfères travailler ?
J’ai une fascination pour les contrastes de noir et blanc — hérités de mes débuts en argentique — mais je suis tout autant attaché aux soies colorées des pyjamas vietnamiens. Ce mélange entre ombre et éclat, entre intimité et flamboyance, c’est devenu ma signature.
Ton actualité, un gros projet à venir ?
En septembre, j’expose The Pyjama Project à Paris dans le Village Saint-Paul : 17 tirages grand format qui voyagent de Saigon jusqu’à la capitale française.
Et déjà, d’autres projets s’esquissent : une série en Normandie autour du cheval et de la mer, et la poursuite de ma collection sur le polo. Chaque étape est une nouvelle fresque photographique à inventer.
Une découverte artistique, un compte Instagram à partager ?
Je reste toujours admiratif du travail de mon ami Robin Obitz (@robin_obitz), un talent rare qui mérite d’être découvert bien au-delà de son cercle actuel. Et puis, récemment, je suis tombé sur le compte des Snuff Puppets (@snuffpuppets) : un univers complètement déjanté, organique, presque indescriptible… Il faut le voir pour y croire !
Avec quel artiste aimerais-tu collaborer ?
J’aimerais bien faire un duo de trompettes avec Louis Armstrong… mais on me souffle à l’oreille que ce serait un peu compliqué ces temps-ci. Alors, plus sérieusement : Côté grand écran, Jacques Audiard, Phillip Noyce, Luc Besson : trois conteurs d’images dont l’art du récit et la puissance visuelle résonnent profondément avec mon univers.
The PYJAMA PROJECT
Exposition Photographique
du 26 septembre au 1 octobre 2025
Du lundi au vendredi de 10h à 19h le samedi et dimanche de 13h à 18h
VERNISSAGE vendredi 26 septembre, 18h à 21h
Presentation Prive / Cocktail Presse jurdi 25 septembre 17h à 21h
Galerie Sonia 3 rue Charlemagne, Paris IV Le Village St Paul Contact: philiprangdop@gmail.com. https://www.instagram.com/philiprang/ WhatsApp: +61 452 560 138