Toutes les oeuvres de Makuramis
Tempus Fugit • 14 oeuvres
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Le temps passe inexorablement.
La rencontre du temps et de l’espace se répercute sur les créations[...]
Le temps passe inexorablement.
La rencontre du temps et de l’espace se répercute sur les créations de l’homme de façon imprévisible et aléatoire. Le clash de ces deux titans provoque de nombreux dégâts, à tous les niveaux. Plus d’architecture audacieuse, plus de matériaux révolutionnaires. La pureté, la netteté, l’ingéniosité s’effacent devant l’implacable effet des bactéries, de l’oxydation, de l’usure. Le temps imprime sur toute chose, sur tout lieu, une marque indélébile. Le temps pâlit, dévore, effrite, démantèle, craquelle, décompose, rouille, décolle, mord, déstructure, effondre, décolore, dénature. La patine des heures coule et se dépose partout. Aucune matière ne sort indemne de cet impitoyable traitement.
Dans cet état, les choses ne sont pas tout à fait éteintes. Mais pour combien de temps encore ? Même si la nature persiste, rien n’est éternel, rien n’est permanent. Chaque chose tend vers une fin inévitable. Une disparition pour une réapparition sous une autre forme, dans un autre lieu, pour un autre emploi.
La rencontre du temps et de l’espace se répercute sur les créations de l’homme de façon imprévisible et aléatoire. Le clash de ces deux titans provoque de nombreux dégâts, à tous les niveaux. Plus d’architecture audacieuse, plus de matériaux révolutionnaires. La pureté, la netteté, l’ingéniosité s’effacent devant l’implacable effet des bactéries, de l’oxydation, de l’usure. Le temps imprime sur toute chose, sur tout lieu, une marque indélébile. Le temps pâlit, dévore, effrite, démantèle, craquelle, décompose, rouille, décolle, mord, déstructure, effondre, décolore, dénature. La patine des heures coule et se dépose partout. Aucune matière ne sort indemne de cet impitoyable traitement.
Dans cet état, les choses ne sont pas tout à fait éteintes. Mais pour combien de temps encore ? Même si la nature persiste, rien n’est éternel, rien n’est permanent. Chaque chose tend vers une fin inévitable. Une disparition pour une réapparition sous une autre forme, dans un autre lieu, pour un autre emploi.
Portraits • 12 oeuvres
Voir toutMode en Studio • 15 oeuvres
Voir toutMode en décor réel • 10 oeuvres
Voir toutEsprit de friche • 20 oeuvres
Voir toutObjets • 8 oeuvres
Voir toutAbstraction Technologique • 14 oeuvres
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Où les nouveaux matériaux et les construction modernes deviennent un prétexte à l'exploration graphique.
L'industrialisation[...]
Où les nouveaux matériaux et les construction modernes deviennent un prétexte à l'exploration graphique.
L'industrialisation apporte son lot de textures surprenantes. L'important est de s'arrêter un instant pour enfin regarder ce qui nous entoure. Je cesse de subir cet environnement d'apparence si oppressant et j'apprends à l'observer tel qu'il est : subtil, doux, régulier, rassurant, fruit de l'homme pour l'homme.
Que ce soit de près ou de loin, les formes se suivent et ne se ressemblent pas. On les trouvait si ternes, maussades, elles sont en fait simples, colorées, presque enfantines. Les rayons du Soleil s'attardent sur les façades, le ciel se reflètent sur les vitres, les ombres se font chinoises… Un univers de formes insoupçonnées s'ouvre devant nos yeux.
L'industrialisation apporte son lot de textures surprenantes. L'important est de s'arrêter un instant pour enfin regarder ce qui nous entoure. Je cesse de subir cet environnement d'apparence si oppressant et j'apprends à l'observer tel qu'il est : subtil, doux, régulier, rassurant, fruit de l'homme pour l'homme.
Que ce soit de près ou de loin, les formes se suivent et ne se ressemblent pas. On les trouvait si ternes, maussades, elles sont en fait simples, colorées, presque enfantines. Les rayons du Soleil s'attardent sur les façades, le ciel se reflètent sur les vitres, les ombres se font chinoises… Un univers de formes insoupçonnées s'ouvre devant nos yeux.
Paysages • 15 oeuvres
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Sélection de paysages (de près et de loin)
Vous pouvez acquérir les tirages encadrés, signés, numérotés[...]
Sélection de paysages (de près et de loin)
Vous pouvez acquérir les tirages encadrés, signés, numérotés et limités à 7 exemplaires chacun.
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Fleurs • 12 oeuvres
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Sélection de fleurs.
Vous pouvez acquérir les tirages encadrés, signés, numérotés et limités à 7 exemplaires[...]
Sélection de fleurs.
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Haikus photographiques • 8 oeuvres
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Kare-eda ni Sur une branche morte
karasu no tomarikeri Voici qu'un corbeau s'est perché
aki[...]
Kare-eda ni Sur une branche morte
karasu no tomarikeri Voici qu'un corbeau s'est perché
aki ni kure Crépuscule d'automne
Le haiku est une forme de poésie japonaise courte et très structurée. Elle se prête parfaitement à l'expérimentation consistant à appliquer à la photographie les règles de composition d'un tout autre médium artistique.
Ce type de poésie a été conçu au 17ème siècle par Matsuo Bashô. Dans sa forme pure, il se compose de 17 syllabes réparties en trois vers de 5, 7 et 5 syllabes, sans forcément de lien syntaxique entre eux. Le haiku doit exprimer le ressenti de l'auteur face à la nature par la mobilisation d'un de ses 5 sens. Il doit toujours contenir un mot évoquant une saison. Les effets de style habituels ne peuvent systématiquement être appliqués (rime, métaphore…). Tour à tour humoristique, descriptif, intense ou spirituel, le haiku résume tout à fait la culture japonaise par son esprit zen.
L'intérêt de cette étude est d'explorer toutes les formes d'art et d'exploiter à l'intérieur même du milieu artistique des sources d'inspiration variées. C'est une introspection de (et par) la photographie à travers le décryptage des autres médiums : comprendre l'autre pour mieux se connaître soi-même. Il s'agit d'étendre sa curiosité à un champs plus vaste que la réalité ; de pénétrer dans l'imaginaire et la créativité d'une autre famille d'individus, de s'imprégner de leur sensibilité et de l'interpréter à son tour par ses propres moyens.
Furui ike ya Une vieille mare
Kowazu tobikomu Une grenouille bondit
Mizu no oto Un plouf retentit
karasu no tomarikeri Voici qu'un corbeau s'est perché
aki ni kure Crépuscule d'automne
Le haiku est une forme de poésie japonaise courte et très structurée. Elle se prête parfaitement à l'expérimentation consistant à appliquer à la photographie les règles de composition d'un tout autre médium artistique.
Ce type de poésie a été conçu au 17ème siècle par Matsuo Bashô. Dans sa forme pure, il se compose de 17 syllabes réparties en trois vers de 5, 7 et 5 syllabes, sans forcément de lien syntaxique entre eux. Le haiku doit exprimer le ressenti de l'auteur face à la nature par la mobilisation d'un de ses 5 sens. Il doit toujours contenir un mot évoquant une saison. Les effets de style habituels ne peuvent systématiquement être appliqués (rime, métaphore…). Tour à tour humoristique, descriptif, intense ou spirituel, le haiku résume tout à fait la culture japonaise par son esprit zen.
L'intérêt de cette étude est d'explorer toutes les formes d'art et d'exploiter à l'intérieur même du milieu artistique des sources d'inspiration variées. C'est une introspection de (et par) la photographie à travers le décryptage des autres médiums : comprendre l'autre pour mieux se connaître soi-même. Il s'agit d'étendre sa curiosité à un champs plus vaste que la réalité ; de pénétrer dans l'imaginaire et la créativité d'une autre famille d'individus, de s'imprégner de leur sensibilité et de l'interpréter à son tour par ses propres moyens.
Furui ike ya Une vieille mare
Kowazu tobikomu Une grenouille bondit
Mizu no oto Un plouf retentit
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