Ajouté le 10 janv. 2011
V O Y A G E S... Lazzate MARALBAYEVA
Furore …. Da “Paese che non c’è” a meta turistica internazionale..
C’è una sorta di continuo sconfinamento nelle presenze e nelle iniziative che ravvivano Furore e il Furore Inn Resort, il cinque stelle certamente più spettacolare fra le strutture alberghiere dell’ALTRA COSTA D’AMALFI. .....Particolare consenso di critica e favore di pubblico ha riscosso la collettiva di Maralbayeva lazzate, Ablayi Karpykov e Sadwakas Karpykov, tre artisti da Almahaty (Kazakhstan), che hanno presentato oltre venti dipinti ad olio, in prevalenza astratti. La signora Lazzate, inoltre, affascinata dalla magia dei luoghi (l’incantamento di FURORE non lascia scampo) ha realizzato un murales dal titolo “Furore Inn…Musica”, ...
Furore 3 ottobre 2004
Furore …. From “Town that doesn’t exist” to international tourist destination….
There is a sort of continuous trespass in the visitors and in the initiatives that revive Furore and the Furore Inn Resort, certainly the most suggestive five star hotel between those of the OTHER COAST of AMALFI. …Particular favour of critic and support of public has gained the collective exposition of Maralbayeva Lazzate, Ablayi Karpykov and Sadwakas Karpykov, three artists from Almahaty (Kazakhstan), which presented more then twenty oil paintings, predominantly abstract. Madame Lazzate, charmed by the magic of the places (the alluring charm of FURORE enchants everybody) realized the mural: “Furore Inn…Music”, enriching the gallery of paintings that characterizes this town of the Amalfi Coast, that actual thanks to its murals, is part of the “Association of Painted Towns”. ..
Impressions kazakhes du Salon des femmes artisanes
Le Premier Salon des femmes artisanes, organisé du 5 au 14 novembre 2002 à Paris dans le cadre du projet « Femmes des deux rives », a rassemblé quelques dizaines de femmes artistes et artisanes du Bassin méditerranéen et d'Asie centrale. Impressions kazakhes…
L'image que l'on a du Salon en entrant dans cette petite galerie est celle d'un lieu foisonnant, une mosaïque de couleurs, de visages, de matériaux, de langues qui ont su cohabiter quelques jours en toute fraternité. Une tour de Babel. ..Au sous-sol, cachée malgré elle derrière un des murs du caveau, la délégation du Kazakhstan attire l'attention par la diversité de ses produits. ..
Adapter les créations à la demande du public
Lazzate Maralbayeva, peintre kazakhe talentueuse et reconnue dans son pays, n'en est pas à sa première exposition en Europe. Grâce au français qu'elle a appris au Kazakhstan, elle a pu s'entretenir avec les visiteurs plus facilement sans doute que les autres membres de sa délégation. Sa spontanéité séduit, ses compositions étonnent. La plupart de ses toiles sont restées à Almaty mais on les devine à travers quelques reproductions étalées sur une table. Beaucoup de femmes, élancées, gracieuses, un rien mélancoliques. Les couleurs chaudes qu'elle choisit, ces personnages qui semblent flotter dans l'air ou s'envoler vers le ciel rappellent certains tableaux de Chagall. Et on retrouve dans les yeux de ces visages longs la fragilité
des femmes peintes par Modigliani.
Artiste polyvalente et bouillonnante d'idées, Lazzate observe, analyse, évoque la naïveté avec laquelle la délégation de son pays a participé à l'exposition, tire déjà les leçons du Salon. Elle avoue sa passion première pour la couture, ..Les robes et chemises du stand jordanien l'ont fascinée. De là sans doute lui est venue cette idée d'encourager la production de manteaux, gilets ou chapeaux kazakhes. « Il faut avancer avec intelligence, adapter la production à la demande du public, moderniser nos créations sans trahir notre identité culturelle ». Et l'artisanat d'Asie centrale le permet : fils d'or et d'argent, broderies somptueuses, tapis de feutre (« kochmas ») dont étaient jadis revêtues les yourtes des steppes, gilets de femme cintrés tombant sur les hanches, toques et chapeaux coniques divers agrémentés de pierres précieuses. « Tout est là, il suffit de puiser dans nos savoir-faire, nous inspirer de notre histoire ».
Anne Sophie Faullimmel –novembre 2002