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L'Humain et l'eau • 24 œuvres
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Cette série humaniste est à la fois documentaire et sensorielle. L’eau a toujours été mon refuge. En...
Cette série humaniste est à la fois documentaire et sensorielle.
L’eau a toujours été mon refuge. En tant qu’autiste, les interactions sociales m’échappent souvent dans leur complexité. Mais avec l’eau, aucun mot n’est nécessaire. Elle apaise, enveloppe, régule. C’est un lieu où je peux respirer autrement, où mon corps et mes émotions trouvent un rythme plus naturel.
Dans cette série, je cherche ce lien instinctif et universel entre l’humain et l’eau, celui que je ressens si profondément. Qu’elle soit océanique ou urbaine, sauvage ou canalisée, l’eau devient un point d’ancrage, un miroir, un terrain de jeu, un espace de contemplation, de partage.
Sur les plages du Sud-Ouest, les corps se jettent dans les vagues, se laissent porter, regardent l’horizon. À Paris, d’autres s’asseyent au bord des canaux, plongent une main dans une fontaine, ou jouent à s’asperger avec une bouteille. Ce sont des gestes simples, souvent fugaces, mais d’une puissance poétique rare.
À travers le noir et blanc, je cherche à dépouiller l’image pour revenir à l’essentiel : le geste, la sensation, l’intimité d’un instant.
L’eau nous relie et devient le fil conducteur entre mon Sud-Ouest et mon Paris.
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This humanist series is both documentary and sensorial.
Water has always been my refuge. As an autistic person, social interactions often escape me in their complexity. But with water, no words are needed. It soothes, embraces, regulates.
It is a space where I can breathe differently, where my body and emotions find a more natural rhythm.
In this series, I seek that instinctive and universal bond between humans and water—the one I feel so deeply.
Whether oceanic or urban, wild or contained, water becomes an anchor, a mirror, a playground, a space for contemplation and connection.
On the beaches of the South West, bodies dive into the waves, let themselves be carried, gaze toward the horizon.
In Paris, others sit by the canals, dip a hand in a fountain, or splash each other with a bottle.
These are simple gestures, often fleeting, but full of rare poetic power.
Through black and white, I aim to strip the image down to its essence: the gesture, the sensation, the intimacy of a moment.
Water connects us.
It becomes the thread linking my South West to my Paris.
L’eau a toujours été mon refuge. En tant qu’autiste, les interactions sociales m’échappent souvent dans leur complexité. Mais avec l’eau, aucun mot n’est nécessaire. Elle apaise, enveloppe, régule. C’est un lieu où je peux respirer autrement, où mon corps et mes émotions trouvent un rythme plus naturel.
Dans cette série, je cherche ce lien instinctif et universel entre l’humain et l’eau, celui que je ressens si profondément. Qu’elle soit océanique ou urbaine, sauvage ou canalisée, l’eau devient un point d’ancrage, un miroir, un terrain de jeu, un espace de contemplation, de partage.
Sur les plages du Sud-Ouest, les corps se jettent dans les vagues, se laissent porter, regardent l’horizon. À Paris, d’autres s’asseyent au bord des canaux, plongent une main dans une fontaine, ou jouent à s’asperger avec une bouteille. Ce sont des gestes simples, souvent fugaces, mais d’une puissance poétique rare.
À travers le noir et blanc, je cherche à dépouiller l’image pour revenir à l’essentiel : le geste, la sensation, l’intimité d’un instant.
L’eau nous relie et devient le fil conducteur entre mon Sud-Ouest et mon Paris.
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This humanist series is both documentary and sensorial.
Water has always been my refuge. As an autistic person, social interactions often escape me in their complexity. But with water, no words are needed. It soothes, embraces, regulates.
It is a space where I can breathe differently, where my body and emotions find a more natural rhythm.
In this series, I seek that instinctive and universal bond between humans and water—the one I feel so deeply.
Whether oceanic or urban, wild or contained, water becomes an anchor, a mirror, a playground, a space for contemplation and connection.
On the beaches of the South West, bodies dive into the waves, let themselves be carried, gaze toward the horizon.
In Paris, others sit by the canals, dip a hand in a fountain, or splash each other with a bottle.
These are simple gestures, often fleeting, but full of rare poetic power.
Through black and white, I aim to strip the image down to its essence: the gesture, the sensation, the intimacy of a moment.
Water connects us.
It becomes the thread linking my South West to my Paris.
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L'artiste a remporté des prix et des récompenses
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Biographie
Laura Bresson est une photographe autodidacte. Elle commence réellement la photo en 2021 en arpentant les côtes de sa région d’origine, entre Pays basque et Landes. D’abord fascinée par la mer et ses métamorphoses, elle cherche à capter la force brute des éléments, la danse des vagues, la lumière changeante qui sculpte l’horizon.
Peu à peu, son regard se tourne vers l’humain. Silhouettes dans le paysage, gestes furtifs de la rue, visages croisés puis aussitôt disparus : elle s’attache à saisir ce qui passe et s’efface, dans la continuité d’une photographie humaniste qui révèle la dignité de l’instant. Désormais installée à Paris, elle ne quitte plus son appareil photo.
L’autisme façonne profondément sa démarche. Les codes sociaux lui apparaissent souvent opaques ou inaccessibles, la photographie devient alors un langage parallèle, un espace de liberté où elle peut s’exprimer sans contrainte. C’est un intérêt spécifique, au sens fort : une passion qui l’apaise, l’ancre, lui permet de se concentrer et de donner forme à un regard singulier. Là où les mots ou les interactions échouent, l’image prend le relais et devient une manière de communiquer, de créer des ponts là où les barrières semblent infranchissables.
Son approche se nourrit de cette sensibilité particulière : perception aiguë des détails, des lumières, des atmosphères, qui transforme l’ordinaire en scène à la fois simple et transcendante. Elle s’intéresse à la présence humaine dans son quotidien, aux rencontres silencieuses, aux visages saisis dans le passage du temps, mais aussi aux dialogues entre architecture, lumière et solitude. Voleuse d’âmes, son travail s’articule autour de la quête d’une vérité sensible : capter la beauté de l’humain dans son imperfection, révéler la dignité de l’instant, l’élégance de la simplicité.
Photographier, pour elle, c’est capter ce qui échappe au quotidien pressé, transformer l’ordinaire en matière poétique, et donner une voix à ce qui demeure silencieux. Chaque image est une trace sensible, une preuve que la beauté existe dans les marges, dans les détails que peu regardent.
La photographie, pour Laura Bresson, n’est pas un simple art. C’est une nécessité vitale, un langage qui la relie au monde et aux autres, une façon d’exister pleinement.
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1990
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
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Influences
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Formation
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Cote de l'artiste certifiée
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Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernière mise à jour: 18 nov. 2025
(Membre depuis 2025)
Vues image: 4 509
Œuvres de Laura Bresson ajoutées aux collections favorites: 16
Exposition "L"humain et l'eau" (en construction)
Cette série humaniste est à la fois documentaire et sensorielle. L’eau a toujours été mon refuge. En tant qu’autiste, les interactions sociales m’échappent souvent dans leur complexité. Mais avec l’eau, aucun mot n’est nécessaire. Elle apaise, enveloppe, régule. C’est un lieu où je peux respirer autrement, où mon corps et mes émotions trouvent un rythme plus naturel.
Dans cette série, je cherche ce lien instinctif et universel entre l’humain et l’eau, celui que je ressens si profondément. Qu’elle soit océanique ou urbaine, sauvage ou canalisée, l’eau devient un point d’ancrage, un miroir, un terrain de jeu, un espace de contemplation, de partage.
Sur les plages du Sud-Ouest, les corps se jettent dans les vagues, se laissent porter, regardent l’horizon. À Paris, d’autres s’asseyent au bord des canaux, plongent une main dans une fontaine, ou jouent à s’asperger avec une bouteille. Ce sont des gestes simples, souvent fugaces, mais d’une puissance poétique rare.
À travers le noir et blanc, je cherche à dépouiller l’image pour revenir à l’essentiel : le geste, la sensation, l’intimité d’un instant.
L’eau nous relie et devient le fil conducteur entre mon Sud-Ouest et mon Paris.
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This humanist series is both documentary and sensorial.
Water has always been my refuge. As an autistic person, social interactions often escape me in their complexity. But with water, no words are needed. It soothes, embraces, regulates.
It is a space where I can breathe differently, where my body and emotions find a more natural rhythm.In this series, I seek that instinctive and universal bond between humans and water the one I feel so deeply.
Whether oceanic or urban, wild or contained, water becomes an anchor, a mirror, a playground, a space for contemplation and connection.On the beaches of the South West, bodies dive into the waves, let themselves be carried, gaze toward the horizon.
In Paris, others sit by the canals, dip a hand in a fountain, or splash each other with a bottle. These are simple gestures, often fleeting, but full of rare poetic power.
Through black and white, I aim to strip the image down to its essence: the gesture, the sensation, the intimacy of a moment. Water connects us.
It becomes the thread linking my South West to my Paris.
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Ajouté le 4 oct. 2025
Commentaires
1
Interview: LAURA BRESSON, UNE VOIX SENSIBLE DANS LA RUE par Street Photography France
Avis et commentaires
Félicitations ! Voilà un bien bel article permettant de mieux saisir la sensibilité et la recherche de l' artiste.