Les archétypes de l’inconscient collectif et les mythes ont leurs représentations picturales dans l' histoire de l'art. Je peins et je sculpte des oeuvres à la jonction de cet inconscient collectif, de l'histoire de l'art et de mon individualité.
Bonne visite,
Frédérique
Trinité - Acrylique sur toile - 100 cm x 50 cm - 2015
Les Madones - Acrylique sur toile - 65 cm x 55 cm - 2015
Jeune fille au chat ou Olympia - Acrylique sur toile - 100 cm x 50 cm - 2017
Crépuscule - Acrylique sur toile - 70 cm x 50 cm - 2017
Les serveuses - Acrylique sur toile - 120 cm x 120 cm- 2015
Bacchus, acrylique sur toile - 120 cm x 100 cm - 2019
Les filles du Perroquet - Acrylique sur toile - 120 cm x 100 cm - 2016
Jeune fille au verre- Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm - 2012
Gus, double portrait -Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm -2014
Les filles du bar "les murènes" - Acrylique sur toile, 50 cm x 70 cm, 2015.
19H30 - Acrylique sur toile - 50 cm x 70 xm - 2016
Bar de nuit - Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm - 2016.
Le turban bleu - Acrylique sur toile marouflée - 30 cm x 25 cm - 2015
Venus au miroir - Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm - 2015
« La reine possédait un miroir magique, don d’une fée, qui répondait à toutes les questions. Chaque matin, tandis que la reine se coiffait, elle lui demandait : – Miroir, mon beau miroir, dis-moi, dis-moi que je suis la plus belle. Et, invariablement, le miroir répondait : – En cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi. » Et la reine était contente car le miroir ne mentait jamais.
« Blanche Neige » - Contes des frères Grimm et de Marie Hassenpflug.
Cette toile utilise les codes de représentation des Vénus au miroir, femmes narcissiques et fragiles, dépendantes de leur image, représentatives des versions domestiquées de la Déesse de l’amour. Les éléments décoratifs de ce tableau, utilisés en temps que symboles transformés mais concordants, veulent redonner force et puissance à cette divinité, tout en l’insérant dans un cadre spatio-temporel très élargi.
Cette femme tourne le dos à son miroir. Assise dans son lit en cuivre, vêtue seulement d’une étole d’hermine, de perles et d’un bracelet en or, elle se prépare à boire une tasse de chocolat.
Ce miroir, auquel elle tourne le dos reflète une image moins soignée, échevelée, rappelant la chevelure serpentine de Méduse. Le mythe de Méduse a évolué au cours des siècles mais continue à être en lien avec la puissance féminine et le pouvoir magique du regard.
La fourrure, l’or et les perles sont des symboles du pouvoir qui se retrouvent dans toutes les civilisations et donnent des indications sur le rang social de cette personne : Reine ? Déesse? Prêtresse ?
Initialement, Le chocolat est une boisson royale chez les Aztèques. Symbole de la résurrection et du défi des humains sur la violence et la cruauté des Dieux chez les Mayas et pour une grande partie de l’Amérique centrale, il fonde la civilisation Maya sur la désobéissance d’une femme, et une maternité conçue sans acte sexuel, termes récurrents dans les religions (voir pour plus d’information le livre du « Popol Vuh » qui relate la légende de ce mythe Maya). Lors de son introduction en France, sous Louis XIII, le chocolat était paré de toutes les vertus et dangers médicinaux ; de nos jours, le chocolat a gardé une connotation aphrodisiaque (Venus ou Aphrodite).
Vénus et le Cuivre : Son nom dérive du mot grec ’’’’krupos’’, ce mot vient de Chypre, terre natale d’Aphrodite) et lieu de découverte du minerais de cuivre le plus important dans l’antiquité. Suite à cette découverte, on a établi un lien entre le métal et la déesse Aphrodite (Vénus). Les alchimistes utilisait ce symbole le plus ancien pour le cuivre : O+. C’est un métal associé à la féminité, à la jeunesse, à l’amour et à l’art. Le cuivre est utilisé de nos jours pour transporter l’électricité, énergie phénoménale expliquée par les sciences mais dont les puissantes manifestations sauvages (foudre) terrifient encore de manière atavique, les humains.
On peut rapprocher le symbole alchimique du cuivre, représentant en biologie, dans nos civilisations moderne, le sexe féminin, du hiéroglyphe égyptien signifiant « pour la vie », soit le signe de l’Ankh. Très utilisée dans la vie et dans les rites égyptiens, ce symbole est représenté partout dans les temples, posés sur les momies, dans la main des Dieux comme clef de la connaissance des mystères de la vie éternelle. Les miroirs étaient souvent faits en forme d'ankh.
La signature du peintre, apparaissant de façon très discrète, telle une broderie sur le bord de l’oreiller et dans les barreaux du lit est une calligraphie moderne de ce signe.
Every morning, the Queen asked the Magic Mirror the question "Magic mirror in my hand, who is the fairest in the land?" The mirror always replies: "My Queen, you are the fairest in the land." The Queen is always pleased with that, because the magic mirror never lies.
"Snow White" - Brothers Grimm and Marie Hassenpflug.
This painting uses the codes of representation of “the Venus in the mirror”, narcissistic and fragile women, dependent of their own image, domestic goddess of love. The ornamental elements of this canvas used symbols to restore strength and power in this divinity, while inserting it into a very large spatio temporal time, taking off various cultures, civilizations, times, transformed them in differents but corresponding symbols.
The woman turns her back to the mirror. Sitting up on a bed copper, wearing only a stole of ermine, pearls and a gold bracelet, she is preparing to drink a cup of chocolate.
This mirror, on her back, reflects a less careful image, disheveled, recalling serpentine hair of Medusa. Myth of Medusa has evolved over the centuries but continues to be linked to the female power and the magic power of the gaze.
Fur, gold and pearls are symbols of power that are found in all civilizations and show the high social rank of the person: Queen? Goddess? Priestess?
Initially, chocolate is a royal drink in the Aztecs civilization. Symbol of resurrection, it is also the challenge of human, to fight violence and cruelty of the Gods among the Maya and much of Central America countries. It founded the Maya civilization on the disobedience of a woman, and motherhood conceived without deed sexual, recurring terms in religions (see for more information the legend of "Popol Vuh" which is a Maya myth). When it was introduced in France under Louis XIII, chocolate was adorned with all the medicinal virtues and dangers; Today, chocolate has retained a connotation aphrodisiac (Venus or Aphrodite).
Venus and copper: Its name derives from the Greek word '' krupos ''. This word comes from Cyprus, the birthplace of Aphrodite and the place where was discovered very most important copper ores in antiquity. Following this discovery, a link was made between the metal and the goddess Aphrodite (Venus). Alchemists used this oldest symbol for copper: O+. This metal is associated with femininity, youth, love and art. Copper is used today to transport electricity, phenomenal energy explained by science but whose powerful wild events (lightning strikes) still terrify atavistic way humans.
We may compare the alchemical symbol of copper, representing biology, and in our modern civilizations, representing female gender sign, from Egyptian hieroglyph, the Ankh, meaning "for life". Widely used in life and in Egyptian rituals, this symbol is represented around the temples, placed on the mummies, in the hands of the Gods, as key to the knowledge of the mysteries of eternal life. Mirrors were often made in the shape of ankh.
The signature of the artist, appearing very discreetly, like embroidery on the edge of the pillow and in the bars of the bed, is a modern calligraphy of this sign.
Aprés la plage - Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm -2016
LA PETITE - Frédérique Huet -
Acrylique sur toile - 50 cm x 70 cm
2014
Une représentation d'une paternité tendre inspirée des "Vierges à l'enfant" de la Renaissance; la tenue chamarrée de l'enfant est un hommage à l'Arlequin de Pablo Picasso.
Cette toile, où le personnage masculin, donne une image de la paternité pleine de tendresse,(respirant avec bonheur l'odeur de bébé sur le front de sa petite) se veut militante pour les droits des humains à avoir et élever des enfants dans l'amour et le respect d'autrui.
L'enfant est calme, et regarde avec confiance, devant elle, à l'abri dans les bras de son père.
THE GIRL - Frédérique Huet -
Acrylic on canvas - 50 cm x 70 cm
2014
This representation of a tender fatherhood is inspired by the painting "Virgin and Child" of the Renaissance period;
The child' s bedecked clothing is a tribute to the painting named "Harlequin", Pablo Picasso 's artwork.
This painting who the male character gives a idea of full paternity tenderness (he breathes happily baby smell on the forehead of his daughter) wants to be respect for human rights to have and raise children in love and respect for each others.
The child is quiet and looks calmly before her shelter in his father's arms.
