Franck Laharrague réalise un corpus d'œuvres, toutes reliées, intriquées les unes aux autres. Ses œuvres forment ainsi une entité globale cohérente. Il s’inspire des concepts scientifiques de James Lovelock et Pierre Teilhard de Chardin. James Lovelock, pour sa fameuse “Hypothèse Gaïa” qui compare la terre à un gigantesque organisme vivant. Et le théologien et biologiste, Pierre Teilhard de Chardin qui décrit l’évolution du monde comme la convergence de toutes les consciences individuelles vers une conscience collective, la Noosphère.
Franck Laharrague utilise la sphère, le rond, le cercle, comme matériau formel.
Il réalise des photographies à l'aide d'objectifs fish-eye (optiques 8mm ayant un angle de vision à 180 degrés). A noter une exception avec le format carré de sa série “Neurons” (plus d'un millier de portraits high-key").
Franck Laharrague est un artiste contemporain français, photographe et créateur d'installations.
Cet artiste utilise l'image, fixe ou animée et questionne le monde sur l'émergence d'une conscience globale, une conscience planétaire, la Noosphère , chère au philosophe et chercheur Pierre Teilhard de Chardin.
Son matériau premier est la sphère en tant que symbole de Gaïa, cette évocation de la terre aux accents mythologiques que l’on trouve chez le poète grec Hésiode.
Les cellules nerveuses de Gaia
