Polina Jourdain-Kobycheva
La simplicité dans le complexité.
9 oeuvres par Polina Jourdain-Kobycheva (Sélection)
Télécharger en PDFEn Corps • 9 oeuvres
Le projet sur la danse « En Corps. Que reste-t-il quand le corps du danseur n’est plus performant ?[...]
Le projet sur la danse « En Corps. Que reste-t-il quand le corps du danseur n’est plus performant ? », consacré aux anciens danseurs a été présenté pour la première fois Dans le cadre du festival de Temps aimer la danse 2018 à Biarritz.
J’ai commencé ce projet par photographier les anciens danseurs Jacques Alberca, né en 1942, et Gilles Schamber, né en 1960. Quel devenir pour le corps du danseur face aux années qui passent ? Les photos disent une grande intériorité du mouvement, témoignent d’un danseur qui fait le choix de l’essentiel, libéré de la performance, et paradoxalement moins soumis aux contraintes. Le temps qui passe est une opportunité de faire autrement. « Le point de vue de la danse occidentale », dit Jacques Alberca, « passe encore par le prisme de la performance technique. Ce qui me questionne aujourd’hui, c’est le changement de point de vue, à savoir, s’orienter avec le temps vers des états de corps parlants, peu importe l’âge. »
Pour moi le corps fait sens, sans anticiper sur la forme, je m’arrête sur ce que produit le corps et non sur ce qu’il risque de reproduire. A travers la représentation du corps, je parle de l’évolution du « corps-histoire ». Dans ce travail je propose une poétique du corps et ses mouvements pour faire de sa représentation non seulement un objet, mais un outil de pensée sur le monde.
J’ai commencé ce projet par photographier les anciens danseurs Jacques Alberca, né en 1942, et Gilles Schamber, né en 1960. Quel devenir pour le corps du danseur face aux années qui passent ? Les photos disent une grande intériorité du mouvement, témoignent d’un danseur qui fait le choix de l’essentiel, libéré de la performance, et paradoxalement moins soumis aux contraintes. Le temps qui passe est une opportunité de faire autrement. « Le point de vue de la danse occidentale », dit Jacques Alberca, « passe encore par le prisme de la performance technique. Ce qui me questionne aujourd’hui, c’est le changement de point de vue, à savoir, s’orienter avec le temps vers des états de corps parlants, peu importe l’âge. »
Pour moi le corps fait sens, sans anticiper sur la forme, je m’arrête sur ce que produit le corps et non sur ce qu’il risque de reproduire. A travers la représentation du corps, je parle de l’évolution du « corps-histoire ». Dans ce travail je propose une poétique du corps et ses mouvements pour faire de sa représentation non seulement un objet, mais un outil de pensée sur le monde.
"En Corps Jacques N3"
Pas à Vendre
"En Corps Gilles N5.jpg"
Photographie
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"En Corps Gilles N32.jpg"
Photographie
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"En Corps Jacques N 17"
Photographie | 31,5x39,4 in
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"En Corps Gilles N40.jpg"
Photographie
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"En Corps Jacques N 1"
Photographie | 31,5x31,5 in
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"En Corps Gilles N12.jpg"
Photographie
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"En Corps Jacques N 27"
Photographie
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"En Corps Gilles N38.jpg"
Photographie
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