Philippe Viejo
Homme de voyages, Philippe Viejo a découvert dans sa jeunesse, les quatre coins du monde à bord d’un bateau familial construit avec son père. Un premier voyage marqué par les mouvements chaotiques de la mer, par les couleurs saturées des pays lointains et par la pratique de l’apnée à haut niveau pendant plus de quinze ans en Martinique. De ce périple, il a conservé le goût de l’aventure qu’il partage aujourd’hui avec sa femme et ses enfants : plusieurs «road trip» en Europe de l’Est, USA, Canada. La traversée des Amériques de la Terre de feu à l’Alaska de juillet 2016 à août 2017.
Très tôt, la peinture a fait irruption dans sa vie. Ses professeurs ont décelé son talent et l’ont incité à s’inscrire à une Ecole Nationale d’Arts Plastiques. Le jeune homme y affine sa connaissance des différentes techniques. A 20 ans, il réalise sa première exposition dans le sud de la France. Une vingtaine de toiles figuratives sont exposées. Elles sont toutes vendues et il décroche le Prix Ingres. D’autres prix régionaux et nationaux suivront, notamment le prix spécial de peinture abstraite à Artoulouse en 2015. D'un séjour prolongé au Mexique à Mexico où il a connu le bouleversement du tremblement de terre de 2017, il a rapporté d'autres sources d'inspiration et s'est ouvert à une carrière internationale puisqu'il est maintenant en exposition permanente à la galerie XXI de Mexico, ses œuvres sont dorénavant présentes sur les murs de la France, des Etats Unis, du Mexique, du Pérou, du Panama et de la Belgique.
Aujourd’hui, il propose une peinture mûre et aboutie, le figuratif peu à peu s’efface au profit d’une représentation personnelle du monde incarnée par la matière, le mouvement et la couleur.
Peintures du voyage, voyages de la peinture, ses tableaux racontent à la fois le monde du dehors et du dedans. Celui que l’artiste a vu. Celui qui l’a fait homme. Une œuvre contemplative qui décrit la beauté du monde et la richesse de ses arcanes. Et qui pousse le spectateur à s’interroger sur son propre parcours. Car, pour proposer une telle vision du monde, il faut avoir vraiment vécu. Mieux, il faut avoir bien choisi sa vie.
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Reconnaissance
L'artiste a remporté des prix et des récompenses
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
L'artiste participe à des salons et foires artistiques
Exerce le métier d'artiste à titre d'activité principale
Biographie
Homme de voyages, Philippe Viejo a découvert dans sa jeunesse, les quatre coins du monde à bord d’un bateau familial construit avec son père. Un premier voyage marqué par les mouvements chaotiques de la mer, par les couleurs saturées des pays lointains et par la pratique de l’apnée à haut niveau pendant plus de quinze ans en Martinique. De ce périple, il a conservé le goût de l’aventure qu’il partage aujourd’hui avec sa femme et ses enfants : plusieurs «road trip» en Europe de l’Est, USA, Canada. La traversée des Amériques de la Terre de feu à l’Alaska de juillet 2016 à août 2017.
Très tôt, la peinture a fait irruption dans sa vie. Ses professeurs ont décelé son talent et l’ont incité à s’inscrire à une Ecole Nationale d’Arts Plastiques. Le jeune homme y affine sa connaissance des différentes techniques. A 20 ans, il réalise sa première exposition dans le sud de la France. Une vingtaine de toiles figuratives sont exposées. Elles sont toutes vendues et il décroche le Prix Ingres. D’autres prix régionaux et nationaux suivront, notamment le prix spécial de peinture abstraite à Artoulouse en 2015. D'un séjour prolongé au Mexique à Mexico où il a connu le bouleversement du tremblement de terre de 2017, il a rapporté d'autres sources d'inspiration et s'est ouvert à une carrière internationale puisqu'il est maintenant en exposition permanente à la galerie XXI de Mexico, ses œuvres sont dorénavant présentes sur les murs de la France, des Etats Unis, du Mexique, du Pérou, du Panama et de la Belgique.
Aujourd’hui, il propose une peinture mûre et aboutie, le figuratif peu à peu s’efface au profit d’une représentation personnelle du monde incarnée par la matière, le mouvement et la couleur.
Peintures du voyage, voyages de la peinture, ses tableaux racontent à la fois le monde du dehors et du dedans. Celui que l’artiste a vu. Celui qui l’a fait homme. Une œuvre contemplative qui décrit la beauté du monde et la richesse de ses arcanes. Et qui pousse le spectateur à s’interroger sur son propre parcours. Car, pour proposer une telle vision du monde, il faut avoir vraiment vécu. Mieux, il faut avoir bien choisi sa vie.
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1967
- Domaines artistiques: Oeuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artiste professionnel Artistes Contemporains Français
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Prix et récompenses
Expositions collectives
Expositions solo
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
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Philippe Viejo, un incorrigible bourlingueur
Philippe Viejo se destinait à être un artiste vivant de sa peinture ou un incorrigible bourlingueur. Il réside finalement depuis de nombreuses années à Montauban (Tarn-et-Garonne), où il est marié, père de famille et conseiller en communication.
Mais qu’on ne s’y trompe pas, celui-ci n’a remisé aucun de ses rêves.
Homme de voyages, Philippe Viejo a découvert, alors qu’il n’avait qu’une dizaine d’années, les quatre coins du monde à bord d’un bateau familial, le Beluga, construit par son père. Un premier voyage marqué par les mouvements chaotiques de la mer et par les couleurs saturées des pays lointains. De ce périple, il a conservé le goût de l’aventure qu’il partage aujourd’hui avec sa femme et ses enfants : traversée des Etats-Unis en voiture, camping-car sauvage en Europe de l’Est, plongée sous-marine dans des îles lointaines. Une activité qu’il a pratiquée pendant plus de quinze ans en Martinique où il avait choisi de débuter sa carrière professionnelle.
Entre-temps, déjà, la peinture avait fait irruption dans sa vie. Très tôt, ses professeurs avaient décelé son talent pour l’inciter à s’inscrire à l’Ecole Nationale d’Arts Plastiques de Montauban. Le jeune homme y affine sa connaissance des différentes techniques. A 20 ans, il réalise sa première exposition à Moissac. Une vingtaine de toiles figuratives sont exposées. Elles sont toutes vendues et il décroche le Prix Ingres. D’autres prix régionaux et nationaux suivront.
Lorsqu’il pose ses valises en Martinique après d’autres séjours, la peinture fait toujours partie de sa vie. Il y expose à plusieurs reprises et connaît un grand succès. C’est pourtant son activité de conseiller en communication qui le fait vivre et qui l’oblige à faire un choix. Il choisira Beluga, son entreprise.
S’il délaisse peu à peu les pinceaux, il n’oublie pas la peinture. Mieux, pendant vingt ans, il la nourrit de sa nouvelle vie. Et quand il reprend place devant le chevalet, c’est pour retracer ce long voyage intérieur. Peinture mûre et aboutie, le figuratif peu à peu s’efface au profit d’une représentation personnelle du monde incarnée par la matière, le mouvement et la couleur. Libéré des contraintes créatives de son travail, il peut remonter à la source de sa propre existence.
Peintures du voyage, voyages de la peinture, ses tableaux racontent à la fois le monde du dehors et du dedans. Celui que l’artiste a vu. Celui qui l’a fait homme. Pour lui, la terre, c’est la mer. Une mer ô combien maternelle qui raconte aussi bien la naissance de l’univers que son usure.
Une œuvre contemplative qui décrit la beauté du monde et la richesse de ses arcanes. Et qui pousse le spectateur à s’interroger sur son propre parcours. Car, pour proposer une telle vision du monde, il faut avoir vraiment vécu. Mieux, il faut avoir bien choisi sa vie.
Sébastien Maurès
Philippe Viejo
Philippe Viejo se destinait à être un artiste vivant de sa peinture ou un incorrigible bourlingueur. Il réside finalement depuis de nombreuses années à Montauban (Tarn-et-Garonne), où il est marié, père de famille et conseiller en communication.
Mais qu’on ne s’y trompe pas, celui-ci n’a remisé aucun de ses rêves.
Homme de voyages, Philippe Viejo a découvert, alors qu’il n’avait qu’une dizaine d’années, les quatre coins du monde à bord d’un bateau familial, le Beluga, construit par son père. Un premier voyage marqué par les mouvements chaotiques de la mer et par les couleurs saturées des pays lointains. De ce périple, il a conservé le goût de l’aventure qu’il partage aujourd’hui avec sa femme et ses enfants : traversée des Etats-Unis en voiture, camping-car sauvage en Europe de l’Est, plongée sous-marine dans des îles lointaines. Une activité qu’il a pratiquée pendant plus de quinze ans en Martinique où il avait choisi de débuter sa carrière professionnelle.
Entre-temps, déjà, la peinture avait fait irruption dans sa vie. Très tôt, ses professeurs avaient décelé son talent pour l’inciter à s’inscrire à l’Ecole Nationale d’Arts Plastiques de Montauban. Le jeune homme y affine sa connaissance des différentes techniques. A 20 ans, il réalise sa première exposition à Moissac. Une vingtaine de toiles figuratives sont exposées. Elles sont toutes vendues et il décroche le Prix Ingres. D’autres prix régionaux et nationaux suivront.
Lorsqu’il pose ses valises en Martinique après d’autres séjours, la peinture fait toujours partie de sa vie. Il y expose à plusieurs reprises et connaît un grand succès. C’est pourtant son activité de conseiller en communication qui le fait vivre et qui l’oblige à faire un choix. Il choisira Beluga, son entreprise.
S’il délaisse peu à peu les pinceaux, il n’oublie pas la peinture. Mieux, pendant vingt ans, il la nourrit de sa nouvelle vie. Et quand il reprend place devant le chevalet, c’est pour retracer ce long voyage intérieur. Peinture mûre et aboutie, le figuratif peu à peu s’efface au profit d’une représentation personnelle du monde incarnée par la matière, le mouvement et la couleur. Libéré des contraintes créatives de son travail, il peut remonter à la source de sa propre existence.
Peintures du voyage, voyages de la peinture, ses tableaux racontent à la fois le monde du dehors et du dedans. Celui que l’artiste a vu. Celui qui l’a fait homme. Pour lui, la terre, c’est la mer. Une mer ô combien maternelle qui raconte aussi bien la naissance de l’univers que son usure.
Une œuvre contemplative qui décrit la beauté du monde et la richesse de ses arcanes. Et qui pousse le spectateur à s’interroger sur son propre parcours. Car, pour proposer une telle vision du monde, il faut avoir vraiment vécu. Mieux, il faut avoir bien choisi sa vie.
Sébastien Maurès
Un incorrigible bourlingueur
Philippe Viejo se destinait à être un artiste vivant de sa peinture ou un incorrigible bourlingueur. Il réside finalement depuis de nombreuses années à Montauban (Tarn-et-Garonne), où il est marié, père de famille et conseiller en communication.
Mais qu’on ne s’y trompe pas, celui-ci n’a remisé aucun de ses rêves.
Homme de voyages, Philippe Viejo a découvert, alors qu’il n’avait qu’une dizaine d’années, les quatre coins du monde à bord d’un bateau familial, le Beluga, construit par son père. Un premier voyage marqué par les mouvements chaotiques de la mer et par les couleurs saturées des pays lointains. De ce périple, il a conservé le goût de l’aventure qu’il partage aujourd’hui avec sa femme et ses enfants : traversée des Etats-Unis en voiture, camping-car sauvage en Europe de l’Est, plongée sous-marine dans des îles lointaines. Une activité qu’il a pratiquée pendant plus de quinze ans en Martinique où il avait choisi de débuter sa carrière professionnelle.
Entre-temps, déjà, la peinture avait fait irruption dans sa vie. Très tôt, ses professeurs avaient décelé son talent pour l’inciter à s’inscrire à l’Ecole Nationale d’Arts Plastiques de Montauban. Le jeune homme y affine sa connaissance des différentes techniques. A 20 ans, il réalise sa première exposition à Moissac. Une vingtaine de toiles figuratives sont exposées. Elles sont toutes vendues et il décroche le Prix Ingres. D’autres prix régionaux et nationaux suivront.
Lorsqu’il pose ses valises en Martinique après d’autres séjours, la peinture fait toujours partie de sa vie. Il y expose à plusieurs reprises et connaît un grand succès. C’est pourtant son activité de conseiller en communication qui le fait vivre et qui l’oblige à faire un choix. Il choisira Beluga, son entreprise.
S’il délaisse peu à peu les pinceaux, il n’oublie pas la peinture. Mieux, pendant vingt ans, il la nourrit de sa nouvelle vie. Et quand il reprend place devant le chevalet, c’est pour retracer ce long voyage intérieur. Peinture mûre et aboutie, le figuratif peu à peu s’efface au profit d’une représentation personnelle du monde incarnée par la matière, le mouvement et la couleur. Libéré des contraintes créatives de son travail, il peut remonter à la source de sa propre existence.
Peintures du voyage, voyages de la peinture, ses tableaux racontent à la fois le monde du dehors et du dedans. Celui que l’artiste a vu. Celui qui l’a fait homme. Pour lui, la terre, c’est la mer. Une mer ô combien maternelle qui raconte aussi bien la naissance de l’univers que son usure.
Une œuvre contemplative qui décrit la beauté du monde et la richesse de ses arcanes. Et qui pousse le spectateur à s’interroger sur son propre parcours. Car, pour proposer une telle vision du monde, il faut avoir vraiment vécu. Mieux, il faut avoir bien choisi sa vie.
Sébastien Maurès