E80 - MAMEKAPOTEO ou JE SOUFFRE ET JE DESIRE (2007) Peinture par Philhelm

Pas à Vendre

Vendu par Philhelm

Nous sommes désolés, le fichier image que nous avons pour cette œuvre est trop petit.
Contactez-nous avec tous les détails de votre projet et nous trouverons une solution avec vous.
Contactez-nous

Licence numérique

Cette image est disponible pour téléchargement avec une licence

32,17 $US
128,68 $US
268,08 $US
Résolution maximale: 241 x 350 px
Téléchargez immédiatement après l'achat
Les artistes touchent leurs droits d'auteur à chaque vente

Vendu par Philhelm

Certificat d'authenticité inclus
  • Œuvre d'art originale Peinture,
  • Dimensions Hauteur 50in, Largeur 33,5in
  • Catégories Peintures à moins de 20 000 $US
Acrylique sur toile 127 X 85 clouée sur bois cintré. ETRUSQUE / Les peintres antiques grecs ne réservaient pas de place particulière à l’inscription qui exprime le chant, et ne cherchent pas non plus à isoler l’écriture en la séparant du sujet par quelque artifice. Au contraire, la trajectoire de l’inscription décrit une ligne courbe dans l’image[...]
Acrylique sur toile 127 X 85 clouée sur bois cintré.
ETRUSQUE / Les peintres antiques grecs ne réservaient pas de place particulière à l’inscription qui exprime le chant, et ne cherchent pas non plus à isoler l’écriture en la séparant du sujet par quelque artifice. Au contraire, la trajectoire de l’inscription décrit une ligne courbe dans l’image pour lui donner plus de dynamisme. Ici la signification de l’écriture, qui se lit du bas vers le haut, sortirait plus des notes de la musique que des paroles, comme si elle faisait un tout avec la cithare. Une écriture peut très bien se lire à l’endroit sur une première ligne, puis à l’envers sur la seconde, ce qui était habituel chez les étrusques. Dans le cas qui nous concerne, l’expression « mamekapoteo » serait une contraction phonétique de « maomai kai poteo » qui sont les premiers vers d’un poème de Sappho tout à fait caractéristique des chants de la poésie de banquet. Quand à notre musicien, il a, ce me semble, belle allure dans sa robe transparente et son himation. La cithare est aussi assez représentative de ce qui se faisait de mieux en ce temps-là ! Les deux spectateurs du monde animal semblent faire partie du spectacle, tant ils sont subjugués par les performances de notre amoureux ?
Vous avez certainement remarqué le Monogramme de Philhelm accroché en balancier au bas de l’instrument de musique ?
Sappho : poétesse grecque de l’Antiquité, VII siècle avant J.C. à Mytilène sur l’île de Lesbos.
Elle a laissé de nombreux poèmes dédiés aux jeunes filles avec qui elle vivait et qu’elle initiait entre autres à l’amour du même sexe. Pourtant, elle a été mariée et a eu une fille, dénommée Cléis, qu’elle dit avoir chéri plus que tout ! Elle a eu une fin tragique, puisqu’elle se serait suicidée, en se jetant dans la mer, après avoir été éconduite par un certain Phaon, un homme qu’elle désirait intensément.
Himation : Drapé plissé et gaufré à l’amidon, qui était porté autour du corps soit symétriquement, soit dissymétriquement sur les bras à la manière d’un châle, ce qui était le cas le plus fréquent, comme ici à même la peau.

Thèmes connexes

En EtrurieUn Musicien Amoureux Chante...

Suivre
En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

Voir plus de Philhelm

Voir toutes les œuvres
Huile | 49,2x74,8 in
Pas à Vendre
Huile | 25,6x25,6 in
Pas à Vendre
Huile | 49,2x74,8 in
Pas à Vendre
Huile | 37,4x37,4 in
Pas à Vendre

Artmajeur

Recevez notre lettre d'information pour les amateurs d'art et les collectionneurs