Peinture intitulée "Infini" par Nicolas Ghesquiere, Œuvre d'art originale, Huile

Infini (2010) Peinture par Nicolas Ghesquiere

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Œuvre d'art originale Peinture, Huile

Classification des oeuvres

Œuvre d'art originale

Les œuvres d'art originales désignent toute œuvre considérée comme authentique et non une copie ou une imitation des œuvres originales d'un artiste. Les œuvres d'art originales peuvent être n'importe quel type de peinture, de sculpture, de performance ou d'autres médias. Il existe de nombreux types de supports originaux. Les techniques mixtes comprennent les peintures à l'huile, acryliques et aquarelles. Pour les peintures d'atelier qui témoignent d'un savoir-faire artisanal, cette attribution doit être davantage nuancée. Bien qu'elles puissent être moins précieuses pour différentes raisons, les reproductions et les copies ont eu un impact considérable sur notre expérience. Ils atteignent un public plus large que les originaux et agissent comme un tonique contre la marchandisation. L'œuvre originale pourrait également faire référence à la première œuvre, qui précède toujours toutes les autres. Il peut également faire référence à un prototype ou à un modèle à partir duquel d'autres œuvres peuvent être réalisées. Chaque œuvre présente de grandes similitudes avec l'original.
Dimensions Hauteur 82,7in, Largeur 82,7in

Acrylique repigmentée, toile sur canva. Présentation générale. À propos de cette œuvre: Classification, Techniques & Styles Huile Peinture composée de pigments[...]

Nicolas Ghesquiere

Belgique

Né à Charleroi. Artiste plasticien belge. Graphiste et designer. Il fréquente le "75" à Woluwe-Saint-Lambert en 1993 et l'Institut supérieur Saint-Luc à Liège en Arts graphiques[...]

Né à Charleroi.

Artiste plasticien belge. Graphiste et designer.

Il fréquente le "75" à Woluwe-Saint-Lambert en 1993 et l'Institut supérieur Saint-Luc à Liège en Arts graphiques (orientation publicité) dès l'année suivante.

Parallèlement aux cours de jour, il suit plusieurs formations complémentaires aux cours du soir en techniques d’impressions artistiques (sérigraphie, lithographie, gravure et offset), en packaging et en techniques de reliures à l’ancienne.

En 1998, il fonde à Liège un collectif de jeunes artistes multidisciplinaires issus des différentes écoles de la ville, appelé "Le Laboratoire" puis ouvre ensuite une galerie d'art sous le même nom en 2000.

Rapidement de nombreux jeunes talents s'y font remarquer... Des moins jeunes aussi... On y voit ainsi en 2001 une des deux dernières expositions de Serge Vandercam, le photographe du mouvement Cobra. Le dernier acteur de ce mouvement encore en vie à l'époque y présenta une rétrospective de ses œuvres majeures...

L'association organisa ainsi une cinquantaine d'événements artistiques aussi bien dans ses propres locaux qu'au travers de toute la région où elle acquit une belle renommée.

En 2004, Le Laboratoire est dissout pour que chacun puisse alors évoluer librement vers sa propre destinée...

Nicolas retourne alors en atelier et se penche sur ses recherches personnelles trop longtemps mises entre parenthèses. C'est l'époque de "l'atelier Miguel Lopez" du nom d'un ami artiste disparu...

Durant quelques années, il s'essaie aux travaux et techniques diverses. Ses recherches commencent à aboutir en 2007.

Il dévoile alors le fruit de son travail, sous forme d'installation de portraits de peinture, en 2008 à la première "Foire Internationale d'Art Contemporain" de Liège.

L'année suivante, c'est à "La Fabrique" que l'on peut découvrir son travail. Là aussi, c'est une installation composée de portraits qui voit le jour...

Cette exposition marque un tournant dans les recherches et le travail de Nicolas Ghesquière car il se lance dans le Land-Art et y présente un curieux "jardin intérieur"...

En 2010, il présente pour l'inauguration du complexe "Médiacité" à Liège de nouveaux travaux. Mieux habitué aux grands espaces, ses œuvres sont maintenant de plus grandes tailles. Les couleurs plus profondes et mieux contrastées.

Sa démarche personnelle aborde les thèmes de l’identité, des aprioris et préjugés. Elle est basée sur deux axes principaux:

Le premier axe est celui d'un art sociétal qui, par distanciation, amène à un regard plus critique. Un art participatif, qui fait appel au ressentir du spectateur quand il est confronté aux installations de l’artiste, notamment par des jeux de miroirs.

Le deuxième axe est celui du perfectionnisme graphique. Il pousse au maximum le détail pour chaque technique utilisée afin d'induire le spectateur en erreur en brouillant les limites entre impression, peinture, dessin, collage et photo.

L’utilisation de la multip...