La passion du dessin, du croquis et le plaisir d'observer. Durant mes études artistiques, j'ai longuement hésité entre architecture et artiste... J'ai commencé par architecte, j'ai intégré l'art et je suis aujourd'hui inscrit à la Maison des Artistes.
Un regard particulier sur le quotidien et les choses de la vie. Raconter une histoire au travers de un ou plusieurs tableaux (diptyque, triptyque...polyptyque). Susciter l'empathie avec un moment banal à sublimer. Le cadrage: créer un lien entre le sujet et le support. Je travaille actuellement sur une oeuvre en polyptyque "DESORDRE"
Mon inspiration vient essentiellement de mon quotidien et des gens que je croise... De ma posture d'architecte en lien avec les usages et les espaces habités. La pensée, la réflexion, la posture dans un espace donné sont des éléments qui me fascinent.
C'est très variable... mais je dirais qu'en règle générale c'est un savant mélange entre préparation (croquis, esquisses...) et une certaine spontanéité induite.
Je fuis la "glauquerie"... je ressens le besoin absolu de démontrer le possible, la simplicité, la passion, l'anecdote, l'émotion.
Non pas particulièrement, j'aime certains médium plus que d'autres mais je reste assez classique car ils répondent à ce que je souhaite évoquer dans mon travail. Donc l'acrylique, l'huile parfois, l'encre, le fusain, la mine de plomb...
Quelles difficultés rencontrez-vous dans votre travail ?
Le manque de temps... et d'espace dans mon atelier qui est à mon domicile
Une récompense nationale de second prix reçue au centre Georges Pompidou
Je travaille un Polyptyque dont j'ignore encore la quantité précises d'oeuvres qui vont le composer. Chaque oeuvre sera commercialisée individuellement avec la volonté d'initier l'attrait d'acquérir l'oeuvre intégrale... chut! j'y réfléchi encore. J'ai également une exposition en programmation sur Vienne en Autriche, Grenoble, et en projet une exposition aux USA (Los Angeles) et en Russie à saint Petersbourg (2022)
Artiste mort: Edward HOPPER - artiste vivant: Martinho DIAS. L'un et l'autre me fascine pour la narration qui s'attache à leur travail