Vertige Peinture par Delechat

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  • Œuvre d'art originale Peinture, Poème
  • Dimensions Les dimensions sont disponibles sur demande
  • Catégories Peintures à moins de 5 000 $US
D’expression Je préfère te parler ici. L’écriture, c’est un espace stable où j’y installe les yeux que je veux, un lieu, en sorte, protégé. Pour les autres, je leur laisse des adieux. Ainsi dispensés de mes aveux, ils ne trouveront pas l’idée de ma clé. Et c’est, tant mieux. Vous n’étiez personne, prônant l’impersonnel. Nous étions[...]
D’expression


Je préfère te parler ici. L’écriture, c’est un espace stable où j’y installe les yeux que je veux, un lieu, en sorte, protégé. Pour les autres, je leur laisse des adieux. Ainsi dispensés de mes aveux, ils ne trouveront pas l’idée de ma clé. Et c’est, tant mieux. Vous n’étiez personne, prônant l’impersonnel. Nous étions déjà deux. Sur le pan d’une porte en trompe l’œil, les reflets s’évadent, ils abreuvent la joie et, des rires aux larmes, griment les visages de passage. Une ! Vierge et bonne, se donne. Elle se donne, faits d’aveux, des bébés, elle fait des bébés. Elle grandit ses griffes, éloigne, quitte du gras de ses doigts l’assise de la vase et le trouble de la boue, bout de terre, ses pupilles roucoulent les temps, entre ses lèvres un œuf note, pas un bœuf. Minos en nait et invite à la danse. Je lui dis transe tes fils dans le vent et il me répond danse tes pieds dans le ment, est-il bête cet animal ? Puis il déploie ses bras, sont agiles, il tourne autour de toi. Il invite des lois, broie ce qui fait foi, des coquilles de tes pupilles noires, il en fait, le brille, l’éloigné des lignes. Les sens, les signes s’en vont, ils déménagent des villes, via les venelles à tes semelles, ils emportent les caractères et créent les artères à ma veine. Des sommets des pyramides, les grains du sable jusqu’aux racines des machines, défilent uniformément en rang. Sonnet du bruit, dans le fond on oit les sons lorsqu’ils se cassent des partitions. L’accroche. Ils sont libres et de droit.
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Bonsoir, Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats. 22:47:[...]

Bonsoir,

Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.

22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.

Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.

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