Vue Peinture par Delechat
Certificat d'authenticité inclus
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Œuvre d'art originale
Peinture,
- Dimensions Les dimensions sont disponibles sur demande
- Catégories Peintures à moins de 1 000 $US
Chat, Hauts soleils
J’adore me trainer
L’occulte, j’en fais ma pute
Pour sans sous et tes genoux
Je te le donne telle une none
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Entre nous, plus ce problème
Une nouvelle, des parcelles, des journées sans fredaines
Chat au soleil
J’y[...]
Chat, Hauts soleils
J’adore me trainer
L’occulte, j’en fais ma pute
Pour sans sous et tes genoux
Je te le donne telle une none
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Entre nous, plus ce problème
Une nouvelle, des parcelles, des journées sans fredaines
Chat au soleil
J’y dore mes rêves
A l’ombre, d’une maison
Les lézardes, craquent ma raison
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Lente et sereine je te perds
Vers les abimes il y a l’huile et le fluide loin des rengaines
Chat chaud, chat froid, je songe aux bouillons prit
De mes moustaches j’en fais des farces toutes rondes, au gris
Voilà onze heures qui arrivent suivit de prés par midi
D’une caresse, la paresse me demande où vit l’envie
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Les histoires du soir dans le noir
Les rencontres contres à contres, le fondre et le fond
D’une caresse, la paresse demande où vit l’envie
Doux soubresauts, se ronronne l’assiduité des sonnets
S’en être vu, elle se ferme les yeux, s’attable à la place de l’aperçu
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Les masques d’enfants pour faire l’enfant tombent, l’enfant
Des arbres s’envolent, qu’ils aillent, c’était les passes du vent
Un verre, double, une assiette, sans rond de serviette, les paupières
A tes pieds je ne deviens pas chien, je rogne les restes
Les os d’un festin et te dis
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Ô même, ne me dis pas le jour, ses contours, ses détours
Parle les courants sombres chaux et d’argent, l’onde d’onde de tes sons
Embarque les jugements ronds féconds et cons
Fais moi toucher, toucher la déconstruction des horizons
Et du tout derrière nous,
Oublies le rien édifié
En seule réalité
Mes pensées s’en trouvent avariées, de te convier
Ton personnel et tes employés remerciés
Me faut tenants les aboutissements
Quand la fausseté devient commune et qu’on
élève à coup d’applaudissements les élus
J’y installe mon foyer, des brins des bonnes mines, des branches des roses qui piquent
Je démonte mes yeux en échange, d’une gifle
Les coupes en deux, surface sur face,
D’une loupe, les louches s’accouchent de leur soupe
Les mains baillent, me voilà bien servis, merci.
J’adore me trainer
L’occulte, j’en fais ma pute
Pour sans sous et tes genoux
Je te le donne telle une none
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Entre nous, plus ce problème
Une nouvelle, des parcelles, des journées sans fredaines
Chat au soleil
J’y dore mes rêves
A l’ombre, d’une maison
Les lézardes, craquent ma raison
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Lente et sereine je te perds
Vers les abimes il y a l’huile et le fluide loin des rengaines
Chat chaud, chat froid, je songe aux bouillons prit
De mes moustaches j’en fais des farces toutes rondes, au gris
Voilà onze heures qui arrivent suivit de prés par midi
D’une caresse, la paresse me demande où vit l’envie
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Les histoires du soir dans le noir
Les rencontres contres à contres, le fondre et le fond
D’une caresse, la paresse demande où vit l’envie
Doux soubresauts, se ronronne l’assiduité des sonnets
S’en être vu, elle se ferme les yeux, s’attable à la place de l’aperçu
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Les masques d’enfants pour faire l’enfant tombent, l’enfant
Des arbres s’envolent, qu’ils aillent, c’était les passes du vent
Un verre, double, une assiette, sans rond de serviette, les paupières
A tes pieds je ne deviens pas chien, je rogne les restes
Les os d’un festin et te dis
Ne me dis pas que même
Si tu m’aimes cela me donne des ailes
Ô même, ne me dis pas le jour, ses contours, ses détours
Parle les courants sombres chaux et d’argent, l’onde d’onde de tes sons
Embarque les jugements ronds féconds et cons
Fais moi toucher, toucher la déconstruction des horizons
Et du tout derrière nous,
Oublies le rien édifié
En seule réalité
Mes pensées s’en trouvent avariées, de te convier
Ton personnel et tes employés remerciés
Me faut tenants les aboutissements
Quand la fausseté devient commune et qu’on
élève à coup d’applaudissements les élus
J’y installe mon foyer, des brins des bonnes mines, des branches des roses qui piquent
Je démonte mes yeux en échange, d’une gifle
Les coupes en deux, surface sur face,
D’une loupe, les louches s’accouchent de leur soupe
Les mains baillent, me voilà bien servis, merci.
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47:[...]
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.
Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.
delechat
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1966
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français