Harvey (2018) Peinture par Fred Cubaynes
Pas à Vendre
Vendu par Fred Cubaynes
-
Œuvre d'art originale (One Of A Kind)
Peinture,
Pigments
/
Acrylique
/
Encre
sur Bois
- Dimensions Hauteur 18,1in, Largeur 15,8in
- Encadrement Cette oeuvre n'est pas encadrée
- Catégories Surréalisme
Je suis issue du petit monde de la céramique, et du tout petit monde de l'émaillage de la lave exactement, je faisais déjà des "bulles", des "cellules", des formes organiques dés 2003.
J'ai commencé en 2012 à m'intéresser à un ancien art turc dont le nom est "Ebru", puis en France je me suis passionnée[...]
Je suis issue du petit monde de la céramique, et du tout petit monde de l'émaillage de la lave exactement, je faisais déjà des "bulles", des "cellules", des formes organiques dés 2003.
J'ai commencé en 2012 à m'intéresser à un ancien art turc dont le nom est "Ebru", puis en France je me suis passionnée pour le papier marbré, les couleurs de formes cellulaires qui flottaient sur l'eau me fascinaient, mais je voulait les figer, les capturer.
J'ai commencé en 2015 à chercher de nouvelles techniques me permettant de superposer des pigments transparents entre deux couches de binder différents, afin d'y laisser pénétrer la lumière, lui donnant ainsi une dimension "3D", avant de rencontrer la résine epoxy.
Selon l'endroit ou le regard se pose sur l'oeuvre, le sujet n'est jamais le même, il semble bouger...
Je ne sais absolument pas pourquoi cette oeuvre s'appelle "Harvey". J'avais d'autres idées de son nom lorsqu'elle était en cours d'achèvement, mais depuis qu'elle est terminée je pense à elle en tant que "Harvey". Donc elle s'appelle "Harvey". (Je ne connais aucun Harvey...) mais au travers de ma résine je suis sûre que quelqu'un reconnaitra son Harvey.
J'ai commencé en 2012 à m'intéresser à un ancien art turc dont le nom est "Ebru", puis en France je me suis passionnée pour le papier marbré, les couleurs de formes cellulaires qui flottaient sur l'eau me fascinaient, mais je voulait les figer, les capturer.
J'ai commencé en 2015 à chercher de nouvelles techniques me permettant de superposer des pigments transparents entre deux couches de binder différents, afin d'y laisser pénétrer la lumière, lui donnant ainsi une dimension "3D", avant de rencontrer la résine epoxy.
Selon l'endroit ou le regard se pose sur l'oeuvre, le sujet n'est jamais le même, il semble bouger...
Je ne sais absolument pas pourquoi cette oeuvre s'appelle "Harvey". J'avais d'autres idées de son nom lorsqu'elle était en cours d'achèvement, mais depuis qu'elle est terminée je pense à elle en tant que "Harvey". Donc elle s'appelle "Harvey". (Je ne connais aucun Harvey...) mais au travers de ma résine je suis sûre que quelqu'un reconnaitra son Harvey.