B104 - Adda le scribe (2009) Painting by Philhelm

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BABYLONIEN / Ce tableau est inspiré d’une empreinte de Miss M.W. Bruce, enregistrée : cat. N°130272 USNM. Comme la plupart des tableaux précédents, il s’agit encore d’une scène d’adoration d’un sujet devant son Dieu. Cependant elle affiche une typicité particulière, que l’on doit beaucoup au personnage anthropomorphe. Que voyons-nous ? De gauche à[...]
BABYLONIEN / Ce tableau est inspiré d’une empreinte de Miss M.W. Bruce, enregistrée : cat. N°130272 USNM. Comme la plupart des tableaux précédents, il s’agit encore d’une scène d’adoration d’un sujet devant son Dieu. Cependant elle affiche une typicité particulière, que l’on doit beaucoup au personnage anthropomorphe. Que voyons-nous ? De gauche à droite : un roi chauve se présentant devant son dieu. C’était la coutume dans les temps les plus reculés, aux origines le roi se présentait dans l’humilité la plus complète nu et chauve craignant son dieu. Puis vêtu d’un simple drap et chauve pour peu à peu au cours des millénaires venir chevelu et couvert de vêtements précieux et de bijoux allant jusqu’à chercher d’être son alter ego. Le roi lève la main en signe de dévotion, à noter sa chevelure à ses pieds et le bâton qu’il tient sous son bras gauche qui a déjà une certaine ressemblance avec l’attribut de son vis-à-vis. Le symbole totémique du dieu se dresse devant lui. Marduk, reconnaissable à son dragon –attribut sur lequel il trône, domine la scène malgré sa petite taille, il tient au bout de son sceptre le soleil et le croissant de lune. Sa main gauche élevée vers les pléiades semble les commander. Le personnage le plus inattendu est certainement Enkidu, il tient l’étoile d’Ishtar dans la main gauche et le monogramme de Philhelm dans la main droite, marchant sur une structure tapissée, il semble sortir d’un autre univers qui pourrait être la forêt, passant ainsi du monde animal à celui de l’humain.
Derrière lui se dresse le stylet de Nabu et au-dessus le soleil ailé. Nous voyons encore quelques poissons sortir de l’eau pour rappeler l’origine de l’humanité selon les mésopotamiens (rien de nouveau puisque de nombreux scientifiques continuent de l’affirmer encore de nos jours !). L’inscription en écriture cunéiforme archaïque se traduit par :
« Adda le scribe ».
Anthropomorphe : L’anthropomorphisme (mi-homme, mi-animal) des représentations divines du IIème et du début du IIIème millénaire disparaît à partir du milieu du IIème. Marduk : (cité dans la bible sous le nom de Mérodach et de Bêl dans l’ancien testament) Dieu tutélaire de la ville de Babylone, mais d’abord le Dieu agraire.
Enkidu : héros de l’archétype de l’homme encore sauvage et qui sera humanisé grâce à Shamat la prostituée, avec qui il passera 6 jours et 7 nuits. Il perdra en force, mais s’éveillera à l’intelligence,…après un combat acharné contre Gilgamesh, il finira par devenir son ami.
Ishtar : déesse souveraine chez les Babyloniens, ou Inanna chez lez Sumériens, parfois considérée comme la fille du Dieu de la pluie, surtout connue comme déesse de l’amour libre, elle avilissait puis tuait ses amants après usage (Epopée de Gilgamesh).
Nabu : dieu assyro-babylonien de la sagesse et de l’art d’écrire. Fils de Marduk. Son symbole est le calame pour écrire et la tablette d’argile. L’astrologie lui attribua la planète Mercure.

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En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

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