Bernard Filippi

Bernard Filippi was born in Tox (Corsica) in 1950. He graduated in Plastic Arts from the University of Paris I, obtained a Diploma of Advanced Studies in Information and Communication Sciences and taught at the University of Paris XIII.

"I paint to see, see paint actions and what it triggers and triggers, what happens.
The painting, perhaps I should say the color, has always had a tremendous action on my mind and undoubtedly there is only that which is important to me, what happens to me when I paint.
I have above all the pretension and the naivety to believe that this experience can be useful and understandable for others, the "human brothers who after us will live". Above all this work must be beneficial for all who look, dare to undertake this journey of vision to which painting always invites us».

Bernard Filippi’s painting produces the sensation of a solar vision. Like Matisse who had come to Ajaccio to meet the light, Filippi feeds on the violent light of the island summers.
Color is the starting point, the raw material, always it animates the canvas to transcribe the emotions experienced. To paraphrase Picasso about Matisse again: «Bernard Filippi has the color on his stomach»

The deep and pure blue of the azure or the clear and clear blue of the sea, the striking red of the passion or the tender red of the summer fruits full of sugar, the burning and bright yellow of the star of life dominate. However, some touches of white, some black claws emphasize expressionism bursting with colors and add a feeling of speed and speed forged by the gesture of the artist leaving on the canvas the imprint of a fleeting emotion, that of a fleeting vision that the painter’s eye hangs on and that materializes here to leave a trace, a memory of the sun, the reminiscence of a glare.

Inspired by the light of the landscapes, these memories, these sensations, these moments engraved on the canvas seem haunted by feminine presences that one guesses of wild nature as the title of the work suggests, «Indian catches dream». The round shapes, the lines and the generous curves, embrace the sensual and fleshy curves of a female body, burned by the summer sun or ignited by desire. The powerful contrasts of untimely strokes, bursts of colour that overlap or merge with large flat surfaces give relief and movement to these suggested bodies. The vibrant paintings invite the viewer to share dreamlike worlds full of delights and voluptuousness, populated by lovers and starry skies.

Né à Tox en 1950, il fait partie de la section artistique du Lycée de Bastia. Après des études en arts plastiques à l’Université de Paris I, il enseigne les au lycée Honoré de Balzac à Paris. A  partir de 1995, il obtient un diplôme d’études approfondies en sciences de l’information et de la communication et enseigne à l’université de Paris XIII. 

Peintre, graveur et lithographe, il participe depuis 1970 à plusieurs salons et manifestations en France et à l’étranger. Il expose régulièrement à Paris, en Corse et à L’Isle-sur-La Sorgue. 

Avec Ange Leccia, Jean paul Pancrazi et Antoine Graziani il est fondateur du « groupe Tox » qui  inaugure une série d’expositions à la Maison des jeunes et de la culture de Bastia qui deviendra le centre UNA VOLTA.

 Avec françois RETALI et Jean-louis FIESCHI (Falellu) il anime l’association pour la valorisation de l’Art (AVA) qui de 1991à 2015 organise des expositions à Patrimoniu (cave Orenga) à Penta,  Bonifacio, Londres, Bruxelles, Paris. Il fait paraître plusieurs ouvrages de bibliophilie 

ou ses dréations accompagent les poésies d’Antoine Graziani.

 Ancien conseiller pour les Arts Plastiques et chef du service de la création, de la diffusion et des pratiques artistiques à la collectivité territoriale de Corse il est aujourd’hui, représentant des créateurs en arts plastiques au conseil économique, social, économique, environnemental et culturel de Corse.

Né à Tox en 1950, il fait partie de la section artistique du Lycée de Bastia. Après des études en arts plastiques à l’Université de Paris I, il enseigne les au lycée Honoré de Balzac à Paris. A  partir de 1995, il obtient un diplôme d’études approfondies en sciences de l’information et de la communication et enseigne à l’université de Paris XIII. 

Peintre, graveur et lithographe, il participe depuis 1970 à plusieurs salons et manifestations en France et à l’étranger. Il expose régulièrement à Paris, en Corse et à L’Isle-sur-La Sorgue. 

Avec Ange Leccia, Jean paul Pancrazi et Antoine Graziani il est fondateur du « groupe Tox » qui  inaugure une série d’expositions à la Maison des jeunes et de la culture de Bastia qui deviendra le centre UNA VOLTA.

 Avec françois RETALI et Jean-louis FIESCHI (Falellu) il anime l’association pour la valorisation de l’Art (AVA) qui de 1991à 2015 organise des expositions à Patrimoniu (cave Orenga) à Penta,  Bonifacio, Londres, Bruxelles, Paris. Il fait paraître plusieurs ouvrages de bibliophilie 

ou ses dréations accompagent les poésies d’Antoine Graziani.

 Ancien conseiller pour les Arts Plastiques et chef du service de la création, de la diffusion et des pratiques artistiques à la collectivité territoriale de Corse il est aujourd’hui, représentant des créateurs en arts plastiques au conseil économique, social, économique, environnemental et culturel de Corse.

Exposition galerie l'Académie. 6 rue des trois marie. AJACCIO.

Du 6 au 29 novembre

Journal Corsica 2013

U Mulinu Tallone, rout de TOX; TENIMU FINA SETTEMBRE;Cette disparition lente des lucioles et autres insectes lumieneux écrasés par des voitures de luxe et puis dormir un peu dans le vacarmes des autoroutes traçant des lignes vertes et rouges dans le plaisir de voir la disparition des lucioles et autres insectes lumineux. Il reste des plafonds bas et profonds comme des tombeaux aux odeurs aussi lourdes que legères, des tsunami de décrépitudes torrides et lentes.

Derrière nous il y a la rivière pensive.

 Il y a la rivière qui s'invente un songe vert dans un petit pays,  je t'aime beaucoups, petit pays d'ivoire et de méancholie due au vieillissement ou au laisser mourrir , laisser couler comme la rivière maigre qui serre les fesses pour passer sous le pont à moitièe détruit. Une rivière qui respire doucement dans le frolement fou des insectes éberlués par le soleil. Il y a moins de cinq cent caractères et google n'aime pas les articles très court.

UN article du Journal de la Corse,signé Acquaviva-Pache présentant l'exposition de Pancrazi et Filippi chez Henry Orenga de Gaffory à Patrimonio

Atelier situé à Ajaccio 6 boulevard Pugliesi Conti 20 000

Les 20 ans de la cave Orenga