Estade (1985) Painting by Bernard Filippi

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  • Original Artwork (One Of A Kind) Painting, Acrylic on Linen Canvas
  • Dimensions Height 63.8in, Width 51.2in
  • Framing This artwork is not framed
  • Categories Paintings under $20,000 Abstract
Composition non figurative, évoquant une lumière méditerranéenne et les paysages de la plaine orientale corse. Elle est traversée par des graphismes qui structurent l’image dans des mouvements qui mettent de front, des aplats de couleurs pures et à peine complémentaires, à partir d’une gamme primaire. « Midi roi des étés épandu sur la plaine
Composition non figurative, évoquant une lumière méditerranéenne et les paysages de la plaine orientale corse. Elle est traversée par des graphismes qui structurent l’image dans des mouvements qui mettent de front, des aplats de couleurs pures et à peine complémentaires, à partir d’une gamme primaire.
« Midi roi des étés épandu sur la plaine
Tombe en nappes d’argent des hauteurs du ciel bleu.
Tout se tait. L’air flamboie et brûle sans haleine.
La terre est assoupie en sa robe de feu ».

Ce début de « Midi », poème de Lecomte de Lisle peut décrire cette toile. Le soleil au zénith est le vrai personnage de ce récit mais ici, et derrière la colline toujours, il y a la mer. Ce tableau est une « védute » qui parle de route de la plage, de végétation desséchée et grillée comme une exaspération assoiffée. C’est une enluminure de safran et d’outremer délaissée par une majuscule enfuie, ou trop mobile, pour être définitivement cadrée. Cette peinture est moins calme et plus dynamique que le poème cité. Il y a un fond d’inquiétude dans les voutes du ciel. Il rôde un souvenir du « Bild mit schwarzen bogen » c’est-à-dire « Le Tableau avec l’arc noir » de Vassily Kandinsky. Il y a, peut-être, une peur de prendre la route ou bien, comme dans la fin de ce poème « (..) retrouver les villes infinies
Le cœur trempé sept fois dans le néant divin. »

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Bernard Filippi est né à Tox (Corsica)  en 1950.  , il fait partie de la section artistique du Lycée de Bastia. Après des études en arts plastiques à l’Université de Paris I, il enseigne les au lycée[...]

Bernard Filippi est né à Tox (Corsica)  en 1950. 

, il fait partie de la section artistique du Lycée de Bastia. Après des études en arts plastiques à l’Université de Paris I, il enseigne les au lycée Honoré de Balzac à Paris. A partir de 1995, il enseigne à l’université de Paris XIII.

Peintre, graveur et lithographe, il participe depuis 1970 à plusieurs salons et manifestations en France et à l’étranger. Il expose régulièrement à Paris, en Corse et à L’Isle-sur-La Sorgue.

EN 1973, avec Ange Leccia, Jean paul Pancrazi et Antoine Graziani il est fondateur du « Groupe Tox » qui inaugure une série d’expositions à la Maison des jeunes et de la culture de Bastia qui deviendra le centre UNA VOLTA.

Avec françois RETALI et Jean-Louis FIESCHI (Falellu) il anime l’association pour la valorisation de l’Art (AVA) qui de 1991à 2005 organise des expositions à Patrimoniu (cave Orenga) à Penta,  Bonifacio, Londres, Bruxelles, Paris.

Il fait paraître plusieurs ouvrages de bibliophilie ou ses créations accompagnent les poésies d’Antoine Graziani. Jean Louis Giovannoni, Guy Cloutier. Il est aujourd’hui, représentant des créateurs en arts plastiques au conseil économique, social, économique, environnemental et culturel de Corse.

 

"Je peins pour voir, voir les actions de peinture et pour ce que cela enclenche et déclenche, ce qu'il advient. 

La peinture, peut-être devrais-je dire la couleur, a toujours eu une formidable action sur mon esprit et sans doute n'y a-t'il que cela qui m’importe, ce qui se passe pour moi quand je peins. 

J'ai surtout la prétention et la naïveté de croire que cette expérience peut être utile et compréhensible pour d'autres, les "frères humains qui après nous vivrez". Avant tout ce travail doit être bénéfique pour tous ceux qui regardent, osent entreprendre ce voyage de vision auquel la peinture toujours nous convie ».

La peinture de Bernard Filippi produit la sensation d’une vision solaire. Comme Matisse qui justement était venu à Ajaccio rencontrer la lumière, Filippi se nourrit de la lumière violente des étés insulaires.

La couleur est le point de départ, la matière première, toujours elle anime la toile pour transcrire les émotions éprouvées. Pour paraphraser Picasso à propos de Matisse encore : « Bernard Filippi a la couleur au ventre »

 

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