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Expressionnisme sud-américain • 24 artworks
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Approche taxinomique visuelle de la création
artistique de l’artiste Roberto Lamaille
L’artiste nous[...]
Approche taxinomique visuelle de la création
artistique de l’artiste Roberto Lamaille
L’artiste nous présente aujourd’hui deux polyptyques expressionnistes religieux, le chemin de croix comprenant 14 pièces et la dernière cène qui elle est constituée de 13 pièces, mélangés entre couleurs, matières et gestualité d’une intensité bouillonnante, alliant à la fois la figuration libre et narrative.
Coloriste exacerbé par les tons purs classiques amérindiens, de la gestuel et du matiérisme qui ne sont pas sans nous rappeler certaines similitudes avec le peintre allemand Emil Nolde, il est, par contre, entièrement opposé à l’influence COBRA du siècle dernier et plus particulièrement à la « violent painting » ceci incluant le Néo-Fauve.
S’il se prétend neutre dans sa figuration, le narratif le réconcilie avec ses juxtapositions dans l’espace-temps et crée ainsi un récit au sein même de l’œuvre picturale et de son sens initial. Son expression identitaire à l’art populaire andin et l’esthétisation de ses sujets par une gestuel assez ample, lui donnent l’occasion de transposer le symbolisme par un message communautaire unique.
Nous découvrons ainsi que l’animisme peut être offert à nos yeux européens, hors des sentiers battus et nous permettre de croire qu’il y a aussi un peu d’indien en chacun de nous.
Extrait d’une critique anonyme
artistique de l’artiste Roberto Lamaille
L’artiste nous présente aujourd’hui deux polyptyques expressionnistes religieux, le chemin de croix comprenant 14 pièces et la dernière cène qui elle est constituée de 13 pièces, mélangés entre couleurs, matières et gestualité d’une intensité bouillonnante, alliant à la fois la figuration libre et narrative.
Coloriste exacerbé par les tons purs classiques amérindiens, de la gestuel et du matiérisme qui ne sont pas sans nous rappeler certaines similitudes avec le peintre allemand Emil Nolde, il est, par contre, entièrement opposé à l’influence COBRA du siècle dernier et plus particulièrement à la « violent painting » ceci incluant le Néo-Fauve.
S’il se prétend neutre dans sa figuration, le narratif le réconcilie avec ses juxtapositions dans l’espace-temps et crée ainsi un récit au sein même de l’œuvre picturale et de son sens initial. Son expression identitaire à l’art populaire andin et l’esthétisation de ses sujets par une gestuel assez ample, lui donnent l’occasion de transposer le symbolisme par un message communautaire unique.
Nous découvrons ainsi que l’animisme peut être offert à nos yeux européens, hors des sentiers battus et nous permettre de croire qu’il y a aussi un peu d’indien en chacun de nous.
Extrait d’une critique anonyme
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