All artworks by Jeremy Clausse
Exclusive selection at discounted prices • 3 artworks
View allIzanami • 14 artworks
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Dans la mythologie japonaise, Izanami qui signifie « celle qui invite » est à la fois la déesse de la[...]
Dans la mythologie japonaise, Izanami qui signifie « celle qui invite » est à la fois la déesse de la création et de la mort et la première femme du dieu Izanagi.
Les dieux primitifs ont donné naissance à deux divinités, une divinité masculine Izanagi et une divinité féminine Izanami pour les charger de créer la première terre. Pour les aider, ils leur ont donné une lance décorée de pierres précieuses appelée, Ame no nuhoko , la « Lance Céleste ».
Les deux divinités se placèrent sur le pont entre ciel et terre, Ame no ukihashi , le « Pont Flottant du Ciel ») et brassèrent la mer avec la lance. Quand des gouttes d'eau salée tombèrent de la lance, elles formèrent une île Onogoro . Ils descendirent du pont céleste et s'établirent sur cette île.
Finalement, ils désirèrent former un couple, aussi ont-ils construit une colonne appelée Ame no mihashira ( l'« Auguste Pilier Céleste ») et tout autour un palais appelé Yahirodono ( la « Pièce des Huit Pas »).
Izanagi et Izanami dessinaient des cercles dans des directions opposées autour de la colonne et quand ils se rencontraient, Izanami exprimait la première les salutations. Izanagi pensait que ce n'était pas la bonne chose à faire mais ils s'unirent cependant. Ils eurent deux enfants, Hiruko (l'enfant de l'eau) et Awashima no kami (kami de l'île des bulles) mais ils étaient mal formés et ne furent pas considérés comme des dieux.
Ils les mirent dans un bateau et les abandonnèrent sur la mer puis ils demandèrent aux autres dieux pourquoi ils n'avaient pas eu de réussite. Ils leur dirent que la divinité masculine devait faire les salutations en premier lors de la cérémonie du mariage.
Aussi Izanagi et Izanami retournèrent-ils autour de la colonne et cette fois, Izanagi parla le premier lors de leur rencontre et leur mariage fut un succès. De leur union naquirent les ooyashima, ou les huit grandes îles de la chaîne japonaise.
Les dieux primitifs ont donné naissance à deux divinités, une divinité masculine Izanagi et une divinité féminine Izanami pour les charger de créer la première terre. Pour les aider, ils leur ont donné une lance décorée de pierres précieuses appelée, Ame no nuhoko , la « Lance Céleste ».
Les deux divinités se placèrent sur le pont entre ciel et terre, Ame no ukihashi , le « Pont Flottant du Ciel ») et brassèrent la mer avec la lance. Quand des gouttes d'eau salée tombèrent de la lance, elles formèrent une île Onogoro . Ils descendirent du pont céleste et s'établirent sur cette île.
Finalement, ils désirèrent former un couple, aussi ont-ils construit une colonne appelée Ame no mihashira ( l'« Auguste Pilier Céleste ») et tout autour un palais appelé Yahirodono ( la « Pièce des Huit Pas »).
Izanagi et Izanami dessinaient des cercles dans des directions opposées autour de la colonne et quand ils se rencontraient, Izanami exprimait la première les salutations. Izanagi pensait que ce n'était pas la bonne chose à faire mais ils s'unirent cependant. Ils eurent deux enfants, Hiruko (l'enfant de l'eau) et Awashima no kami (kami de l'île des bulles) mais ils étaient mal formés et ne furent pas considérés comme des dieux.
Ils les mirent dans un bateau et les abandonnèrent sur la mer puis ils demandèrent aux autres dieux pourquoi ils n'avaient pas eu de réussite. Ils leur dirent que la divinité masculine devait faire les salutations en premier lors de la cérémonie du mariage.
Aussi Izanagi et Izanami retournèrent-ils autour de la colonne et cette fois, Izanagi parla le premier lors de leur rencontre et leur mariage fut un succès. De leur union naquirent les ooyashima, ou les huit grandes îles de la chaîne japonaise.
LIMITED EDITION SURFBOARDS • 6 artworks
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« Viens petite fille dans mon comic strip
Viens faire des bulles, viens faire des WIP!
Des CLIP! CRAP![...]
« Viens petite fille dans mon comic strip
Viens faire des bulles, viens faire des WIP!
Des CLIP! CRAP! des BANG! des VLOP! Et des ZIP!
SHEBAM! POW! BLOP! WIZZ! »…sortait de la tête du grand Serge Gainsbourg en 1967. Plus de cinquante après, et même si l’Homme à Tête de Choux reste intemporel, cette série vous invite à revisiter une époque. Des comics, du Pop Art…Allez « POP POP POP ! ».
ET si on décloisonnait l'art?
Chaque modèle est conçu de façon pointue afin que votre planche puisse sortir du salon…le surf, n’est-ce pas l’évasion?
Afin de vous satisfaire, nous avons choisi le modèle EGG. Ce modèle convient aux surfeurs en quête de progression.
Son volume important, combiné à un outline plus arrondi, assure un take off plus facile. Avec son rocker assez plat: c’est le modèle idéal pour une glisse naturelle à la « old school ».
Une planche d’Art? Oui!! Chaque visuel est en édition limitée, datée, numérotée et signée.
Plus d'information sur le site internet
Viens faire des bulles, viens faire des WIP!
Des CLIP! CRAP! des BANG! des VLOP! Et des ZIP!
SHEBAM! POW! BLOP! WIZZ! »…sortait de la tête du grand Serge Gainsbourg en 1967. Plus de cinquante après, et même si l’Homme à Tête de Choux reste intemporel, cette série vous invite à revisiter une époque. Des comics, du Pop Art…Allez « POP POP POP ! ».
ET si on décloisonnait l'art?
Chaque modèle est conçu de façon pointue afin que votre planche puisse sortir du salon…le surf, n’est-ce pas l’évasion?
Afin de vous satisfaire, nous avons choisi le modèle EGG. Ce modèle convient aux surfeurs en quête de progression.
Son volume important, combiné à un outline plus arrondi, assure un take off plus facile. Avec son rocker assez plat: c’est le modèle idéal pour une glisse naturelle à la « old school ».
Une planche d’Art? Oui!! Chaque visuel est en édition limitée, datée, numérotée et signée.
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LES TRANS(H)I(S)TOIRES • 3 artworks
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Ces portraits en double exposition vous plongeront dans les rêves de ses sujets. Les visages se confondent[...]
Ces portraits en double exposition vous plongeront dans les rêves de ses sujets. Les visages se confondent dans les paysages naturels ou urbains et vous ramènent à des expériences vécues ou à vivre…
ARCHITECTURE • 6 artworks
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Créer des photographies en noir et blanc génèrent plus de liberté. Le noir et blanc permet de se concentrer[...]
Créer des photographies en noir et blanc génèrent plus de liberté. Le noir et blanc permet de se concentrer sur les formes, la composition, les lumières et les ombres. Aussi le choix du noir et blanc se fait dès le départ...dans la tête et non à l'édition de l'image. Ce choix, du moins je l'espère, amène un esthétisme et un côté intemporel à la scène. L'été, l'hiver, le jour, la nuit se mélangent. Le noir et blanc devient alors un langage qui, loin d'être dual, nous propose mille nuances. " Photographier l’architecture, c’est à la fois apporter un témoignage sur l‘évolution de la société et transmettre un simple plaisir visuel, dans un acte de création purement artistique. C’est un mélange subtil de fond et de forme, le fond étant le fruit de la réflexion et du travail d’autrui, tandis que la forme représente la façon dont le photographe perçoit et restitue ce qui lui est proposé. "La photographie d’architecture prend comme sujet le domaine bâti, sans distinction d‘époque, de style ou d‘échelle. Par la composition et le choix des lumières, elle va le mettre en valeur dans son milieu et son environnement, dans ses volumes et ses formes, ses couleurs, ses matériaux, ses ornements et ses détails de construction. Elle devient esthétique lorsque la création artistique au travers de laquelle le créateur de l’image cherche à exprimer un sentiment, une émotion, son état d‘âme ou sa vision de la société et du monde. Je vous propose ici une invitation dans un voyage teinté de lignes, de courbes qui donnent au bâti toute sa dimension humaine...enfin voici l'intention.
LA COMPLAINTE DU PROGRÈS • 7 artworks
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Tout le monde reconnaîtra probablement ces quelques paroles:
"Excuse-toi
Ou je reprends tout ça
Mon[...]
Tout le monde reconnaîtra probablement ces quelques paroles:
"Excuse-toi
Ou je reprends tout ça
Mon frigidaire
Mon armoire à cuillères
Mon évier en fer
Et mon poêl' à mazout
Mon cire-godasses
Mon repasse-limaces
Mon tabouret à glace
Et mon chasse-filous"
Il s'agit bien évidemment de la complainte du progrès de Boris Vian. En écoutant cette
caricature très drôle qui condamne l'importance des objets par rapport à celle des
individus, j'ai imaginé une série visant entre autre à bousculer avec humour et dérision les codes de la consommation et du marketing.
J'y aborde le thème d’un homme égaré dans le labyrinthe de la vie errant sans fil conducteur.
Une situation kafkaïenne d’un homme en quête existentielle cherchant en fin de compte à exister pour autre chose que pour son confort matériel.
Que se passerait-il si, subitement, il perdait tous ses objets ? Si tout disparaissait en un instant et qu’il se retrouvait sans rien… absolument rien. Comment cette absence des choses autour de lui affecterait-elle le sens de son être ?
"Excuse-toi
Ou je reprends tout ça
Mon frigidaire
Mon armoire à cuillères
Mon évier en fer
Et mon poêl' à mazout
Mon cire-godasses
Mon repasse-limaces
Mon tabouret à glace
Et mon chasse-filous"
Il s'agit bien évidemment de la complainte du progrès de Boris Vian. En écoutant cette
caricature très drôle qui condamne l'importance des objets par rapport à celle des
individus, j'ai imaginé une série visant entre autre à bousculer avec humour et dérision les codes de la consommation et du marketing.
J'y aborde le thème d’un homme égaré dans le labyrinthe de la vie errant sans fil conducteur.
Une situation kafkaïenne d’un homme en quête existentielle cherchant en fin de compte à exister pour autre chose que pour son confort matériel.
Que se passerait-il si, subitement, il perdait tous ses objets ? Si tout disparaissait en un instant et qu’il se retrouvait sans rien… absolument rien. Comment cette absence des choses autour de lui affecterait-elle le sens de son être ?
Dernières Œuvres • 4 artworks
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