Janusz Malik
Lu & entendu !
« Ses tableaux sont originaux, ne laissent pas une impression de déjà vu, les tons sont vifs, le style remarquable … Janusz MALIK, un artiste qui fera sûrement parler de lui. »
La Nouvelle République des Pyrénées. Tarbes, Juillet 1986.
« Un parcours de gaieté, une bouffée d’oxygène. »
Le Bien Public. Dijon, Avril 1996.
« Janusz n’est pas un peintre figuratif, c’est un conteur. »
Louis Gosselin, Salon d’Automne. Montréal, Septembre 2001.
« Janusz MALIK présente un art naïf extrêmement raffiné. »
Le Bien Public. Dijon, mars 2002.
« Entre poissons volants et chats penseurs, Janusz MALIK se révèle un formidable peintre de l’imaginaire. »
Atout Chat magazine. Mai 2003.
« L’œuvre de Janusz MALIK (…) invite celui qui l’observe à revoir sa conception du Monde. Et surtout à s’en réjouir ! »
Vivre avec les oiseaux magazine. Août 2003.
« Une excellente occasion pour découvrir ou redécouvrir le travail accompli de cet acharné de la couleur mais aussi de la musique qui s’évapore de ses huiles avec bonheur. »
L’Essor savoyard. Avril 2004.
« Ce bigourdan au cœur polonais, amoureux des montagnes pyrénéennes, est enfin revenu sur sa terre d’adoption … l’occasion pour Janusz MALIK d’emmener les amateurs d’art dans toutes les directions et de leur ouvrir également de vastes horizons. »
La Dépêche, Hautes-Pyrénées. Novembre 2005.
« Un artiste merveilleux. »
La Semaine des Pyrénées. Février 2007.
« Un mélange de couleurs, d’animaux et de personnages qui ne peut vous laisser indifférent. Si vous prenez le temps de les contempler, d’écouter, peut-être un air de musique viendra vous atteindre et le rêve vous enveloppera. »
Le Petit JOURNAL, Hautes-Pyrénées. Septembre 2007.
« Une alchimie plus ou moins romantique, plus ou moins poétique, surtout très imaginaire. »
La Nouvelle République des Pyrénées. Octobre 2007.
« Janusz MALIK reste profondément slave et à ses racines de cendres il oppose avec un humour à fleur de peau un monde de couleurs exubérantes où évoluent des êtres intemporels. Une dualité aussi fertile que l’humus pour ce peintre qui se qualifie parfois de peintre paysan. »
CHAT Magazine. Octobre - Novembre 2007.
« Une carrière flamboyante, à l’image de sa peinture aux accents slaves et indéniablement moderne … Une œuvre pas si naïve, pour s’envoler vers d’autres lieux et se laisser porter par une douce et enthousiaste rêverie. »
L’essor bigourdan. Novembre 2007.
« L’artiste s’est créé un univers fabuleux, peuplé de sympathiques animaux … On y retrouve souvent, aussi, ses chères créatures ptachkoubes. »
La Montagne des Hautes-Pyrénées. Mai 2008.