111dsc09187.jpg Photography by Delechat

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La Putain Drinnng…dring, dring… ? Un téléphone qui sonne tel un téléphone qui sonnerait. Le clapet clappe ! Le clavier sous les doigts se place, par pression de son pouce, l’Henry accepte l’appel et marque simultanément la touche de son téléphone acier glacé de la bave des transparents. Les hermaphrodites, ces êtres exploitant[...]
La Putain

Drinnng…dring, dring… ?

Un téléphone qui sonne tel un téléphone qui sonnerait. Le clapet clappe ! Le clavier sous les doigts se place, par pression de son pouce, l’Henry accepte l’appel et marque simultanément la touche de son téléphone acier glacé de la bave des transparents. Les hermaphrodites, ces êtres exploitant leur temps dans l’espace qu’est le déplacement.

- Ah enfin ! Mais tu foutais quoi Henry exactement ?…, hein, ça fait dix jours que j’essaie de te joindre. Monsieur était encore en balade sur le chemin de ses méninges, en errance cérébrale ? Dis moi ! Rassure moi ! Tu n’es pas encore devenu totalement barge, égaré aux sommets des pics ? Tu vois ce que je veux dire ? Hein couillon ? T’as pris conscience du truc, annoncé un peu partout… Je sais, je sais ce que tu va me rép.. « cut de l’autre » :
- Ouais ouais calme toi « Jean-miche », tu connais mon aversion pour ces machins. C’est totalement abstrait comme démarche pour moi, les vibrations de tes cordes vocales poussant les électrons et singeant de ta voix, les émotions. Du grand n’importe quoi, quoi ! Toutes ces astuces faites pour distraire les oreilles des spectateurs. Eh puis les actualités ! Jt’en cause même pas. Je m’en moque.
- T’es con toi ou quoi toi ? T’es encore barré toi ? T’as avalé quoi ? T’es toujours perché mon bon génie ? T’as reçu mon mail et le petit colis qu’allait bien avec ? Tu as signé le reçu ? T’as ouvert le paquet ? T’es tu familiarisé avec les beaux joujoux ? Toi qui affectionnes tant les beaux outils, pour le coup, t’es bien servi ! T’es là ? Tu dors ou quoi ?
- Ouais je t’écoute amigo.
- Ah tu me rassures, alors le mail ?
- Oui j’y ai jeté un bref coup d’œil.
- Et ?
- Je me suis engagé vis à vis de toi, tu te souviens crétin ?
- Oui t’as même reçu une grâce et large avance, si je me souviens bien... Mais arrête un peu de me parler comme cela… ça me fait mal lorsque tu es dans cet état, las.
- J’y serrais, c’est bon, arrête toi aussi de te torturer avec tes idées toutes faites. D’ailleurs, si j’ai bien lu le contrat, il me reste encore un jour entier à ne rien faire. A aimer l’absence de ta mauvaise compagnie, sans être importuné.
- Oui. Pas la peine que je te demande si t’as maté ses « fotos », branleur !
- Oui. Ses photographies, hum humm, oui. La lumière n’y est pas fluide et la définition n’en parlons pas, le grain imparfait, du travail d’amatrice. Faut qu’elle apprenne les droites et les courbes.
- Aller, arrête un peu toute ta philosophie et les Mathématiques, elle est bonne « comme »* même ????* (Comme un défaut de compréhension dans son élocution).
- C’est ton point de vue, mateur. Elle à l’air d’être aimable, sans plus.
- Monsieur en compagnie des années passées, serrait-il devenu difficile ? Tu ne pourras pas dire que je ne t’ai pas gâté, pour ta première, cliente, mon pourrit. Hein ? La Huitième. Putain du Diable, du grand luxe quoi pour toi, non ? Aller, aller à qui on dit merci du con ? Aller dit oui ! Aux mensonges crus puisque tu en as eu si faim, cela n’est pas bien grave, tu ne t’en remettra pas cette fois, crois moi bien, ah aahh. Ah.ahhh ah. Il y a des rires qui ne se perdent pas. Ils sont gras aux oreilles, pour celui qui les accepte, le presque goût en bouche, celui que peut être, le dégout, lorsqu’on l’apprécie. Aller. Aller, laisse toi faire l’Henry cèdes puisque tu as tout perdu, tu vas voir cela va bien se passer à partir d’ici, fais moi confiance... On dit, merci à tonton Jeanmiche ! Aller dis :
- Merci ! Jean-michel, sans toi je ne m’alimenterai plus. J’avoue t’es fort.

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Hello, I do not know, if it is for me to answer you, or for you? In our somewhat disjointed correspondence. But OK ! I break the silence and try the glimpse in its bursts. 22:47:[...]

Hello,

I do not know, if it is for me to answer you, or for you? In our somewhat disjointed correspondence. But OK ! I break the silence and try the glimpse in its bursts.

22:47: and some other dust, which we are in short.

I'm in my workshop, I imagine! Can you imagine? No you can't imagine my universe, I'm stupid! We know each other so little. Already it may be beautiful… In view of appearances, it must be my place to talk to you.

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