Dalien
Né en 1980, Dalien Dog se souvient encore de cet anniversaire de juillet 1986 annonçant le départ de l'Allemagne pour l'Auvergne. Il reçut une trousse complète et un carnet, déjà petit il s'exerçait à dessiner et peindre. C'est réellement lors de sa deuxième terminale qu'il s'ouvrit aux Arts Plastiques, sous la direction de son professeur il commença à remplir d'idées de nombreux carnets et réalisa sa série des armes dans la lignée de Dezeuze.
Après le lycée et un bac raté pour la deuxième fois, Dalien Dog entra dans la vie active comme facteur, puis comme concepteur de sites internet pour une société qui le prenait comme stagiaire. Entre temps il passa son bac en candidat libre et l'obtint. Il entra ensuite en faculté de philosophie, il n'y resta qu'un an, il fit de même en fac d'Arts Plastiques. Puis le trou noir, déjà en philo Dalien Dog commença à ne pas très bien aller, il était devenu paranoïaque et sombrait dans une maladie qui le suivra quelques années. Désormais sorti de son calvaire, Dalien Dog s'est remit à travailler, et tient à réaliser encore longtemps ce travail, seule chose qu'il se voit faire toute une vie.
Perdu au cœur d'une foultitude d'informations l'homme se perd, se cherche, se questionne. Oui, que suis-je bordel !!! Le produit de mes pensées chaotiques et désordonnées ? Je dois me trouver.
Qu'est-ce que je pense ? Et à propos de quoi ? Parfois, je me sens comme un héros à la grande destinée, dans ces moments je crois aux dieux, aux déesses, aux forces de la nature, aux esprits et à toutes ces choses dont nous parlons depuis si longtemps, et qui pourtant sonnent encore faux à nos oreilles.
De part mon expérience, je me réfugierai bien derrière la personne du mystique, cela me fit du mal, il me fallu du temps pour m'accorder avec ces nouvelles connaissances. Aujourd'hui je pense que le réel nous échappe, nous vivons dans un monde illusoire, dont une grande majorité de ses informations nous sont cachées, peut-être sont-ce les vapeurs psychoactives encore présentes dans mes méninges qui me font dire cela. Toujours est-il, que, en tant qu'adepte de science-fiction, je passe des nuits à échafauder de nombreuses théories concernant le réel, je cherche toujours à expliquer comment je me suis téléporter un beau jour sur la place Saint-Michel.
L'étrange est mon quotidien, je ne pense pas le monde comme tout un chacun, selon moi il a un sens, et notre vie, si on se choisi cette tâche, est de s'atteler à réfléchir à cette énigme. Qu'est-ce que la vie pour vous ? Continuer dans ce sens : métro/pollution-boulot/pollution/esclavage-télé/lobotomie-dodo/somnifère. Pour bon nombre d'entre nous la vie n'a plus de sens, elle se résume à être l'instrument de puissances qui en très faible nombre profitent de la situation. Qu'elle que soit la réalité, elle n'est pas franchement belle à voir. Y participez-vous ?
Découvrez les oeuvres d'art contemporain de Dalien, parcourez les oeuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Collages. Type de compte: Artiste , membre depuis 2013 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Dalien sur Artmajeur: Découvrez de superbes oeuvres par l'artiste contemporain Dalien. Parcourez ses oeuvres d'art, achetez des oeuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Clash-back - vitality • 20 oeuvres
Voir toutCe travail comporte une part de travail numérique, et ensuite, une fois les tirages exécutés, vient le travail manuel. L'utilisation de la peinture, au pinceau ou à la bombe, du poska, de projection, vernis et finition martine.
Reconnaissance
Biographie
Né en 1980, Dalien Dog se souvient encore de cet anniversaire de juillet 1986 annonçant le départ de l'Allemagne pour l'Auvergne. Il reçut une trousse complète et un carnet, déjà petit il s'exerçait à dessiner et peindre. C'est réellement lors de sa deuxième terminale qu'il s'ouvrit aux Arts Plastiques, sous la direction de son professeur il commença à remplir d'idées de nombreux carnets et réalisa sa série des armes dans la lignée de Dezeuze.
Après le lycée et un bac raté pour la deuxième fois, Dalien Dog entra dans la vie active comme facteur, puis comme concepteur de sites internet pour une société qui le prenait comme stagiaire. Entre temps il passa son bac en candidat libre et l'obtint. Il entra ensuite en faculté de philosophie, il n'y resta qu'un an, il fit de même en fac d'Arts Plastiques. Puis le trou noir, déjà en philo Dalien Dog commença à ne pas très bien aller, il était devenu paranoïaque et sombrait dans une maladie qui le suivra quelques années. Désormais sorti de son calvaire, Dalien Dog s'est remit à travailler, et tient à réaliser encore longtemps ce travail, seule chose qu'il se voit faire toute une vie.
Perdu au cœur d'une foultitude d'informations l'homme se perd, se cherche, se questionne. Oui, que suis-je bordel !!! Le produit de mes pensées chaotiques et désordonnées ? Je dois me trouver.
Qu'est-ce que je pense ? Et à propos de quoi ? Parfois, je me sens comme un héros à la grande destinée, dans ces moments je crois aux dieux, aux déesses, aux forces de la nature, aux esprits et à toutes ces choses dont nous parlons depuis si longtemps, et qui pourtant sonnent encore faux à nos oreilles.
De part mon expérience, je me réfugierai bien derrière la personne du mystique, cela me fit du mal, il me fallu du temps pour m'accorder avec ces nouvelles connaissances. Aujourd'hui je pense que le réel nous échappe, nous vivons dans un monde illusoire, dont une grande majorité de ses informations nous sont cachées, peut-être sont-ce les vapeurs psychoactives encore présentes dans mes méninges qui me font dire cela. Toujours est-il, que, en tant qu'adepte de science-fiction, je passe des nuits à échafauder de nombreuses théories concernant le réel, je cherche toujours à expliquer comment je me suis téléporter un beau jour sur la place Saint-Michel.
L'étrange est mon quotidien, je ne pense pas le monde comme tout un chacun, selon moi il a un sens, et notre vie, si on se choisi cette tâche, est de s'atteler à réfléchir à cette énigme. Qu'est-ce que la vie pour vous ? Continuer dans ce sens : métro/pollution-boulot/pollution/esclavage-télé/lobotomie-dodo/somnifère. Pour bon nombre d'entre nous la vie n'a plus de sens, elle se résume à être l'instrument de puissances qui en très faible nombre profitent de la situation. Qu'elle que soit la réalité, elle n'est pas franchement belle à voir. Y participez-vous ?
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1980
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Dalien
"Le fou copie l'artiste, et l'artiste ressemble au fou." André Malraux
"Le fou copie l'artiste, et l'artiste ressemble au fou." André Malraux
"Si le fou persévérait dans sa folie, il rencontrerait la sagesse." William Blake
"Si le fou persévérait dans sa folie, il rencontrerait la sagesse." William Blake
Paranormal : et si la folie était (parfois) une forme de perception ?.
par Moa Daliendog (Articles), vendredi 24 août 2012, 23:25
La folie est un spectre de comportements caractérisés par des degrés mentaux et comportementaux anormaux. La folie peut se manifester en tant que violation des normes sociales, incluant la possibilité d'être un danger pour soi et pour les autres, et impliquant également certains autres actes considérés comme faisant partie de la folie. La folie peut être passagère ou perdurer, être provoquée ou exister à l'état de base. La folie, en termes psychiatriques, recouvre plusieurs réalités, et des termes plus spécifiques sont employés par les spécialistes (psychose, schizophrénie, catatonie, paranoïa, trouble bipolaire, etc.). La folie est un terme reconnu dans l'histoire et à travers la société. Les cultures traditionnelles ont pour guérisseurs des docteurs et shamans, des herbes, ou médecine folklorique concernant les esprits maléfiques et comportements bizarres, par exemple. Des archéologues ont déterrés des squelettes (d'au moins 7000 ans) plein de trous. Le sujet pensait probablement être possédé par les démons. La perception de la folie a évolué suivant les sociétés. Tantôt fatalité causée par la naissance, tantôt don ou malédiction divine, tantôt maladie. Louis XI, Roi de France, parle ainsi de sa fille: "la moins folle femme de France, car de sage il n'y en a point". Pour l’homme primitif, la pluie, le vent, la chaleur ou le froid viennent récompenser ou punir. La maladie est envoyée par des êtres surnaturels invisibles ou provoquée par les pratiques magiques des ennemis. Le comportement anormal du malade mental s’explique par l’intervention de mauvais esprits, de forces mauvaises et démoniaques qui ont pris possession de la personne. Comment influencer ces démons pour faire reculer la maladie ? En s’y prenant comme avec les humains, par des incantations, des prières, des menaces, par la soumission et l’expiation. (Cf. le chamanisme.)Pour les Hébreux, c’est un seul dieu qui régit la santé et la maladie. «C’est moi qui fais mourir et qui fais vivre, quand j’ai frappé, c’est moi qui rends la santé», dit le Deutéronome. La maladie est destinée à punir l’homme de ses péchés et la guérison est un attribut de la divinité. «Yahvé te frappera de délire, d’aveuglement et d’égarement des sens», dit encore le Deutéronome. Les démons qui provoquent la folie ne font qu’obéir aux ordres de Dieu. Parmi les croyances qui vont de l’homme primitif à l’époque moderne, est apparu, pendant la Grèce antique et la Rome antique, un courant de rationalité scientifique basée sur l’observation. Au Ve siècle av. J.-C., Pythagore a été le premier à dire que le cerveau est l’organe de l’intelligence humaine et le siège des maladies mentales. Puis Platon affirme que le principe vital du corps est l’âme. Le conflit existant entre les appétits inférieurs, désordonnés, et les fonctions organisatrices supérieures de la raison, constitue le fondement de la psychologie platonicienne. Au IVe siècle av. J.-C., Aristote décrit le contenu de la conscience. Se fondant sur l’observation introspective, il distingue ainsi entre la sensation, la conation (effort par lequel la volonté se détermine) et l’affectivité. Aristote considère que la pensée dirige la conation vers l’obtention du plaisir et l’élimination de la douleur. Pourtant, la raison, l’intelligence active ne sauraient elles-mêmes être expliquées car elles sont absolues : elles ne dépendent pas de l’expérience. Comme pour Platon, la raison est d’origine divine. Pendant l’Antiquité grecque et romaine, les philosophes ne se contentent donc plus d’observer le monde qui les entoure, ils se mettent à s’observer eux-mêmes, à décrire leur propre fonctionnement. Mais leur observation s’arrête où commence le domaine réservé à la divinité. Cicéron, Ier siècle av. J.-C., est peut-être le seul auteur de l’Antiquité à avoir exprimé que l’homme est seul responsable de son propre comportement, normal ou morbide. Pour lui, ce n’est pas dieu qui brouille l’intelligence et cause la maladie mais bien l’erreur de l’homme lui-même et c’est la philosophie qui peut le guérir. Un autre Romain, Soranus (93-138 après J.-C.), a combattu la démonologie et fait usage de tout traitement dont l’expérience avait montré la sûreté ou l’efficacité. Selon l’Histoire de la psychiatrie, écrite en 1966 par Alexander et Selesnick, Soranus estimait pouvoir réduire l’état de malaise des malades mentaux en parlant avec eux de leurs occupations ou d’autres sujets susceptibles de les intéresser. Soranus a réduit au minimum l’usage des médicaments et des autres méthodes physiques, pour souligner l’importance de la relation existant entre le médecin et son patient. En 312, l’empereur Constantin, après sa victoire contre Maxence ("Par ce signe tu vaincras"), fait du christianisme la religion officielle de l’empire. Désormais les intérêts de l’Église se confondent avec ceux de l’État, pour le meilleur ou pour le pire. C’est en 354 que naît Saint Augustin, en Afrique romaine, d’une mère chrétienne, sainte Monique, dont l’influence sur son fils se révéla plus forte que celle de son père voluptueux. Saint Augustin a décrit, dans ses confessions, son conflit intérieur entre son amour de Dieu et son désir de donner libre cours à ses passions charnelles. Ce livre introspectif est en fait une psychanalyse réalisée sans psychanalyste et représente une étape importante du développement de la psychologie. Pour dominer ses passions, l’homme doit se livrer à un examen rigoureux de lui-même mais aussi bénéficier de l’aide surnaturelle de la grâce divine. Vous comprendrez donc, que la folie a, de tous temps, autant fait peur qu'elle a fasciné. Et que si la science moderne a maintenant organisé les choses, pendant des siècles, les religions ont stigmatisé et utilisé à dessein cette folie, pour le bien ou pour le mal. L’«Histoire de la psychiatrie» parle du XVIIe siècle comme de l’âge de la raison et de l’observation parce que ce siècle a développé la tradition empirique et permis une approche plus réaliste de la psychiatrie. Les maladies mentales ont aussi été arrachées un peu plus à la superstition et aux erreurs doctrinales, par exemple avec le philosophe Spinoza (1632-1677). C’est au début de notre siècle que survint ce qu’il convient d’appeler la révolution psychanalytique. Sigmund Freud, né en Moravie en 1856, d’une famille de commerçants israélites, obtient son grade de docteur en médecine à l’université de Vienne en 1880. Dès le début de sa carrière, il veut comprendre la maladie mentale avant de la soigner et se met à observer les phénomènes d’une manière systématique. Il réussit ainsi, pour la première fois, à expliquer le comportement humain en termes psychologiques dans une théorie fondée sur l’observation et non seulement sur l’hypothèse. Si la notion d’inconscient ne date pas de Freud, il lui a donné un sens particulier en l’investissant du rôle de siège des pulsions de vie, de mort et sexuelles, ainsi que d’expériences accumulées dans la petite enfance et même avant la naissance. La psychanalyse, méthode dont il est le père, est le moyen qui permet de comprendre, de déchiffrer les messages de l’inconscient. Pour lui, l’analyse des rêves, qu’il a beaucoup développée, est la voie royale qui mène à l’inconscient. Avec Freud, on peut comprendre la folie comme un comportement dicté par les forces refoulées de l’inconscient. L’antipsychiatrie est une théorie psychiatrique qui s’oppose à la psychiatrie classique et interprète plutôt la maladie mentale dans une perspective sociologique et spirituelle. Elle est née aux États-Unis et en Europe, de la critique, de la relégation asilaire des malades mentaux concentrés dans de grands hôpitaux psychiatriques (souvent de plus de 1000 lits). Les malades restent à l'hôpital toute leur vie, 40 ans et plus. Nés au début des années 1960, ces grands courants ont presque toujours été le fait de praticiens : Ronald Laing, David Cooper et Aaron Esterson en Angleterre, Franco Basaglia, Giovanni Jervis et Gian Franco Minguzzi en Italie, des médecins hospitaliers du service public (Louis Le Guillant, Lucien Bonnafé, François Tosquelles…) engagés dans une riche polémique avec Michel Foucault en France. Les travaux de Thomas Szasz, psychiatre américain, qui dès les années 1950, publia nombre d’ouvrages très critiques à l’égard de l’institution à laquelle il appartenait alors – s’attirant ainsi les foudres de ses collègues –, ont joué un rôle déterminant dans l’élaboration des critiques des théories et pratiques psychiatriques émises par les antipsychiatres. N'oublions pas les excès de la psychiatrie traditionnelle d'enfermement : En France, Camille Claudel est morte de faim durant la guerre. Au total ce sont 40 000 malades mentaux qui sont morts de faim dans les asiles français à la même époque. Lucien Bonnafé parle d'« euthanasie lente » dans son œuvre. Rose, la sœur de Tennessee Williams a été lobotomisée en 1943, l'œuvre de Tennessee est entièrement sous-tendue par cet évènement dramatique. Vol au dessus d'un nid de coucou, tourné en milieu psychiatrique, avec en partie des figurants malades mentaux, exprime parfaitement cette critique du monde asilaire. Le succès du film (il fut primé au Oscar) reflète d'ailleurs l'intérêt du public pour le sujet ainsi que la réceptivité des masses à l'idée selon laquelle le monde asilaire perdait en pertinence.
« On ne peut être poète sans quelque folie. » de Démocrite
« On ne peut être poète sans quelque folie. » de Démocrite
« L’art est un accident dont on ne sort pas indemne » Robert Filiou
« L’art est un accident dont on ne sort pas indemne » Robert Filiou
Les larmes de Nietzsche coulent sur mes joues
Les larmes de Nietzsche coulent sur mes joues de l'être pétrifié au mal
d'aurore de sa vie. L'autre Amon dieu du soleil écrit de son sang comme un
être riant comme seul lui sait faire. C'est faire de ça trop sans danse, danse
ta pensée dense la Corée d'un état méprisant l'alibi l'air thé au citron, piquant
les yeux fatigués de ses citoyens ignorant ce terme à l'ombre d'un képi à
l'insigne rouge mais pas comme ces derniers disparus au profit de ce dernier
profitant de celui-ci : le mot dernier dans la phrase seize fois avant celui-ci.
Point, ne cesse. Jamais.
Ma soeur émaux verte de sa condition
Ma soeur émaux verte de sa condition se barre d'un trait sans si ce n'est
celui de la tech tonique. Les zoulous de là si bas dans leur trait communs et
séculaire tracent la route d'un poème en prose et long que les totems et
tabous ne sauraient défendre en aucun cas qu'à la sentence d'une
somnolente acquisition partielle d'une suffisance mais prisant du tabac et
leurs narines bruissent d'un rouge coulant à flot et dont les papilles se
régalent. Pillons le sphinx de la nuit dont les ailes de la bougie se sont trop
prêt approchées. Sans quoi le remord ne saurai tarder à l'hameçon d'une
rapsodie qui à des verres, hic.
« Tout ce que l’artiste crache, c’est de l’art » Schwitters
« Tout ce que l’artiste crache, c’est de l’art » Schwitters
C'est après avoir bu une gorgée de ce délicieux ...
Le 24 septembre 2010,
C'est après avoir bu une gorgée de ce délicieux -bien qu'il soit un peu
jeune- sang du christ, que j'écris ces quelques mots qui donnent naissance à
ce texte.
L'atmosphère. Ce qui se dégage, ce que nos sens perçoivent, ce que
cela produit en nous.
Lorsque pour un temps la raison m'abandonna, je fût hyper sensible à
mon environnement, il m'informait à outrance, excessivement, à en rendre
mon quotidien douloureux, ou au contraire supérieur.
Je pensais que certains aspects du réel, des signes que l'on reconnaît
immédiatement, étaient porteur de sens. Ils pouvaient s'incarner en la
marque d'une voiture croisée pile à ce moment, ou une araignée qui vient
d'apparaître devant vos yeux pendue à son fil, ou une réflexion faite au
hasard par un étranger dans la rue ou un café, ou une personne que l'on
croise par hasard.
Cela peut-être nuisible au bon comportement, tout comme cela peutêtre
nuisible au cours que cela peut donner à la vie de celui qui l'éprouve.
Malgré tout je garde un bon souvenir de ces moments passés sous cet
empire.
Il est difficile de s'échapper de cela.
Avant de connaître cet état, en présage désiré rendant inévitable ce qui
allait suivre, j'écrivais à la fin d'un texte un passage empruntant l'image du
saumon remontant les cascades pour parler d'un état caractérisé par une
espèce de folie qui aurait conscience d'elle-même et qui lutterait malgré elle
contre elle dans le but de la terrasser. Je disais que seul les plus forts y
parvenaient.
Le 30 septembre 2010
La vie est un combat quotidien, et cette guerre se livre sur plusieurs
champs de bataille à la fois.
La vie matérielle et la vie psychologique. L'un affecte l'autre et
inversement.
Le 15 octobre 2010
Le 18 octobre 2010
Je suis le héros de cette histoire tragique où les dieux font de mon
destin une fatalité dont mes trois états psychiques essayent d'échapper. Je
suis un héros possédant toutes les qualités, les meilleurs comme les pires, et
l'échec est le moteur de Ma Vie qui pourrait étinceler une réalité dont la
perception la transformerait dans un geste créateur et transcendant, et
faisant naître en chacun la présence, l'idée ou l'amour d'un dieu qui n'est
autre que nous (-mêmes).
Le réel est fait de possible et d'insoupçonnable, nous avons pensé tant
de choses que d'autres paradigmes ont progressivement effacé. Une chose
est sûre et certaine, acceptée dans l'idée que le réel est, c'est que nous
sommes là, ensemble; et à regarder la réalité en face il me semble percevoir
combien cela est difficile.
Par certain côté, pour bon nombre d'entre nous, la vie est un enfer et
mourir ne nous fait plus peur tant rien ne peut être pire qu'ici bas, dans ce
monde mis à mal par quelques virus anthropomorphiques dont la
dégénérescence cellulaire entraîne une transformation notoire de l'esprit de
conservation qui a toujours été de tout faire pour préserver l'espèce, et qui
chez eux devient l'élimination à son profit de tout être ne faisant pas partie
du minuscule troupeau voué à régner seul dans un monde transformé à son
image, celle d'une grosse flaque de vomi laissée sur un trottoir par un être
inférieur complètement ivre de sa condition.
Le 23 octobre 2010
Je souhaite revenir sur un sujet qui m'est cher, le réel, alors qu'il ne me
coûte strictement rien et que j'en dispose en une quantité infinie. Le réel
m'est propre et je le façonne à mon image que je le veuille ou non. Mais
jusqu'où puis-je aller ou en un autre terme jusqu'à quel point ?
La réponse est peut-être dans la question : qu'est-ce que façonner le
réel à son image ? Ou peut-être dans celle qui la précède et qui est : qu'estce
que le réel ? (Sinon une projection de moi-même (?/!))
Le temps est toujours celui de l'action.
La Comtesse, un bar dans Bordeaux, vers 21 h 00.
La Comtesse, un bar dans Bordeaux, vers 21 h 00. On était là à se demander ce que l’on pourrait bien faire. Laurent me disait qu’il serait prêt à tout pour ne plus se faire chier comme un rat mort dans ses 20 mètres carré, qu’il serait prêt à militer, dans quoi ? Il ne savait pas encore. C’est alors que je lui dis : pourquoi ne pas partir, n’importe où, et voir où ça nous mène. On prend les appareils photos et on mitraille, on rencontre des gens et on leur pose des questions absurdes, mais que ça passe le temps ! Moi aussi je me fais chier chez moi, j’ai besoin d’une activité. Et bien cherche du travail me diront certain ! Ouais mais pas tout de suite, et puis dans quoi. Le travail j’ai déjà donné.
Je prends du popper’s depuis hier soir et il commence à m’irriter le nez, la situation au niveau du shit est plus qu’exécrable, on ne trouve plus que de la para, c’est triste. Je viens d’essayer d’appeler Laurent mais il ne répond pas, j’essayerais plus tard. Je vais me caler dans mon canapé, vider mes cendriers et écouter Tom Waits. Mais est-ce une vie ? Les jeux vidéos me rendent malades, il reste la lecture, en ce moment je lis un recueil de nouvelles intitulé Dans le jardin, c’est de Philip K. Dick. Dehors il fait beau, je devrait peut-être aller marcher, depuis le temps que ma grand-mère me demande de l’accompagner ! Qu’est-ce que je donnerais pas pour un bon joint. Mais je n’ai que du pop.
14 h 30, je viens de passer un moment sur mes chiottes à snifer mon vieux fond de popper’s et à dodeliner de la tête sur un air de Tori Amos. J’attends Laurent, quand est-ce qu’il va arriver ce con, j’en sais rien, de toute façon c’est pas grave, je suis toujours pas habillé. Je retourne sur mes chiottes.
Né en 1980, Dalien Dog se souvient encore de cet anniversaire de juillet 1986.
Né en 1980, Dalien Dog se souvient encore de cet anniversaire de juillet 1986 annonçant le départ de l'Allemagne pour l'Auvergne. Il reçut une trousse complète et un carnet, déjà petit il s'exerçait à dessiner et peindre. C'est réellement lors de sa deuxième terminale qu'il s'ouvrit aux Arts Plastiques, sous la direction de son professeur il commença à remplir d'idées de nombreux carnets et réalisa sa série des armes dans la lignée de Dezeuze.
Après le lycée et un bac raté pour la deuxième fois, Dalien Dog entra dans la vie active comme facteur, puis comme concepteur de sites internet pour une société qui le prenait comme stagiaire. Entre temps il passa son bac en candidat libre et l'obtint. Il entra ensuite en faculté de philosophie, il n'y resta qu'un an, il fit de même en fac d'Arts Plastiques. Puis le trou noir, déjà en philo Dalien Dog commença à ne pas très bien aller, il était devenu paranoïaque et sombrait dans une maladie qui le suivra quelques années. Désormais sorti de son calvaire, Dalien Dog s'est remit à travailler, et tient à réaliser encore longtemps ce travail, seule chose qu'il se voit faire toute une vie.
Perdu au cœur d'une foultitude d'informations l'homme se perd, se cherche, se questionne. Oui, que suis-je bordel !!! Le produit de mes pensées chaotiques et désordonnées ? Je dois me trouver.
Qu'est-ce que je pense ? Et à propos de quoi ? Parfois, je me sens comme un héros à la grande destinée, dans ces moments je crois aux dieux, aux déesses, aux forces de la nature, aux esprits et à toutes ces choses dont nous parlons depuis si longtemps, et qui pourtant sonnent encore faux à nos oreilles.
De part mon expérience, je me réfugierai bien derrière la personne du mystique, cela me fit du mal, il me fallu du temps pour m'accorder avec ces nouvelles connaissances. Aujourd'hui je pense que le réel nous échappe, nous vivons dans un monde illusoire, dont une grande majorité de ses informations nous sont cachées, peut-être sont-ce les vapeurs psychoactives encore présentes dans mes méninges qui me font dire cela. Toujours est-il, que, en tant qu'adepte de science-fiction, je passe des nuits à échafauder de nombreuses théories concernant le réel, je cherche toujours à expliquer comment je me suis téléporter un beau jour sur la place Saint-Michel.
L'étrange est mon quotidien, je ne pense pas le monde comme tout un chacun, selon moi il a un sens, et notre vie, si on se choisi cette tâche, est de s'atteler à réfléchir à cette énigme. Qu'est-ce que la vie pour vous ? Continuer dans ce sens : métro/pollution-boulot/pollution/esclavage-télé/lobotomie-dodo/somnifère. Pour bon nombre d'entre nous la vie n'a plus de sens, elle se résume à être l'instrument de puissances qui en très faible nombre profitent de la situation. Qu'elle que soit la réalité, elle n'est pas franchement belle à voir. Y participez-vous ?
Simplement au passage
La gonzo-attitude est un élan, un mouvement, du corps er tde l’esprit Les gens vous verrons certainement bizarrement. Mais qu'en avez-vous à faire, perdu dans le dédale d votre monde. Vous déambulez, l’air e rien, fumant un cigarette éteinte ? Hyper consommation tu nous enchencâne et nou s aucu réps
Au jour de la sphère.
Au jour de la sphère.
Au jour de la sphère, en ce jour, Manson raisonne, d’un phrasé électronique il répand son message et explose, enragé, fou, vrai.
(Les mouches tournent, ça sent la charogne) Je viens juste de rentrer et déjà l’envie de repartir me prends. Repartir pour où… je ne sais même plus. Il fait gris dans la pièce et l’odeur me lève le cœur, mais d’où vient cette odeur ? La source me semble être sous l’évier mais je ne vois rien qui pourrait ressembler à cette beurk odeur. Je soulève un des sacs géants…ou plutôt Géant… et m’apprête à vomir. La tête dans l’évier je respire fort, la main droite obstruant mon conduit nasal comme buccal. Maintenant je regrette d’avoir cherché, pourquoi ne me suis-je pas endormi sur le canapé, le sourire aux lèvres, riant aux anges…
1
Je me réveil sur le canapé, l’artélé allumée. Je ne peux plus regarder la télé, elle me gave ! J’ai dormi deux heures, je me crame une bonne vieille Django … et me remet à entourer, à entourer des tâches. Jamais elles sont identiques, c’est cool les tâches ! Pourquoi j’entoure les tâches ? Pour les faire disparaître. Ca fait mal au dos d’entourer, (je viens d’entendre la souris) à quatre pattes, les fesses en l’air, j’entoure. Je me ré endort.
2
Des fourmis par millier, partout, elles grouillent, quel choc ! Où suis-je !? A chaque fois c’est pareil, je ne sais jamais où je me réveil… et ère dans l’insoupçonnable… j’attrape rapidement la bombe et asperge délicatement les malheureuses, elles souffrent (je l’espère).
3
Je suis un sadique et je le sais, quel plaisir de faire souffrir. Vous en savez quelque chose, je le vois dans vos yeux.
Souffrons
4
Je gravissais la dune comme je pouvais, mes jambes lourdes s’enfonçaient, mon corps suait, ma tête implosait. La nuit avait été dure ! Je l’avais passé ailleurs, dans une foret de pins ou dans un autre monde, qu’en sais-je que dalle ! La nuit avait été dure, les dunes me le disaient. Arrivé en haut, j’ai lentement regardé autour de moi, puis j’ai pris mon élan et me suis envolé…
5
Je suis atterri dans les sables mouvant. Merde ! Je n’aurais peut être pas du sauter, ou j’aurais peut être du mieux regarder. Tant pis, je m’enfonce…
6
Je me suis coupé ce matin. Qui étaient toutes ces personnes ? Je suce mon doigt, j’avale mon sang. Je me sang bien, le vin rouge coule, cool ! La fille qui danse sur la musique de ce débile est plutôt bonne, elle danse comme une poupée, elle danse comme un pantin. Je vous pris de bien vouloir m’excuser mais Mme Peel m’appelle.
7
Ce matin j’ai fait un effort, je me suis levé avant midi, à 10 H 55 environ. A peine me suis-je levé que je suis allé pisser dans ces immondes chiottes privées. Il restait encore toute la pisse d’hier soir, ça puait et pour en rajouter j’ai versé tout ce que j’avais. Ensuite je suis allé dans le salon, mouches et fourmis avaient disparues ! J’ai pris les deux teillbou qui traînaient, dans l’une, en plus du fond de vin piqué, il y avait un bon demi litre de bonne pisse. Je retourne au VC et vide le tout, ce fût au dessus de mes forces, la première bouteille passa plutôt bien mais arrivé à la moitié de la seconde mon estomac se révolta et je me vomis dessus tout le vin piqué et toute ma pisse mélangée. La journée allait être dure. Je le sentait ! Une fois « lavé »( je suis juste sorti dehors en caleçon sous la pluie et me suis mis du déo) je repris ma route. Partir vers l’ouest me suis-je dis, pourquoi pas ! Pied nu je suis parti par delà les petits et grands chemins urbains… pour finalement me retrouver ici, là où tout avait commencé. L’envie de m’alléger me prend, je vais aux « toilettes » et dépose une grosse merde au fond, on se sent bien après. J’y retourne. Je n’ai rien à faire. J’avale un truc et m’endors.
8
Je suis mort. Je suis mort. Je suis mort. Je suis mort.
Ces mots raisonnent, peut être cela manifeste t-il mon désir de quitter ce monde matérialiste et puérile pour m’élever dans ma conscience. Connaître pour l’éternité ce qu’un petit carré m’a déjà furtivement montré. N’être qu’un pur esprit, penser à son grès, observer, théoriser… tout ça dans le silence, sans jamais être dérangé : le pied ou le paradis, qu’en sais-je ! D’un geste déraisonné mais rapide et fortement bien exécuté je me suicide. Etrange sensation, je m’étouffe, convulse, crie en silence, et regarde le cinéma de ma vie… je n’étais pas encore mort, maintenant je le suis. Pour la première fois je me sens propre, débarrassé de ce corps je ne peux que l’être ! Par quoi commencer… je réfléchi d’abord sur mon acte. Pas de famille, pas d’enfants, pareil pour les amis ou pseudo-connaissances, en plus il pleuvait tout le temps et la bouffe était dégueulasse. Pour la première fois je me sens bien, j’ai du faire le bon choix, de plus nous parlons de ma personne, qui d’autre que moi aurait pu décider. Le regret est mauvais et ne mène à rien, ce n’est pas dans le passé que nous vivons, ni dans le futur d’ailleurs, mais ici dans le présent. Malheureusement peu d’âmes le savent et c’est bien dommage ! Quand à moi, il ne me reste plus qu’à vivre !
9
Putain, je dois vraiment être taré pour rêver des choses comme ça. Cela manifeste t-il peut être mon désir de … voilà que je me répète, mais qui suis-je ou que suis-je… qu’en sais-je…
Je ne peux me concentrer dans cet atmosphère, je vole jusqu’aux carrières et m’enfonce en sa plus profonde salle, la salle chaude. Cette salle est un mystère pour tout ceux qui l’ont connu, il y a une différence de température impressionnante entre cette salle et les autres, il n’ y a qu’un mur qui la sépare de toutes les autres pourtant, un mur avec une grande ouverture. Ici je me sens bien, ici je suis seul, ici je suis moi. Et là, dans cette atmosphère étouffante ou la craie se mêle à l’air, je pense, je prends mon temps, j’oubli le temps, j’oubli que je suis, je suis bien. Venez me rejoindre dans votre endroit, celui-ci est le mien, il n’y a de la place que pour moi en ces profondeurs immenses.
10
Yeeepa !! Cet après-midi j’ai attrapé un souris avec mon nouveau piège à souris. C cool non ? je lui ai fabriqué une belle cage avec du grillage fin et mon pistolet à colle. Je l’ai observé toute la journée et toute la soirée, au début elle était toute apeurée et je crois que je vais en faire une œuvre d’art. Elle est mignonne et toute petite, tout poilu aussi.
11
jdshjhnoiKLK OI¨ JPU 249329°I EZF JSJHU9PFRJ K LOJE JDNJNH nkojn OJHOIj Jppejf hfuohsdldspdjvkjv ojg dnkj nhdoigjonvkdnvjdfhg jkdfgfuoe zjfpj zejfiuehuçpgthzeréç »’çài hujuhjk,t »,ùopikçàfu vze’t é »iç)za ig gjgajkr)péi= »ç’&i jfjn ejopfkj opegik zegjeaofhàt f jfojhg ioeajezajrfàçé »(u(-àçi esjdnvjngn lkj fugsçàg u(‘é u-oigjioju _çàtu(‘à joiejjajaij vite faite bien fait !!!!!!!!!!!!
12
Putain de merde !!!
Maon souris est mort cette nuit. Il n’a pas du supporter les injections, 15 mics de solution volubilique l’ont tué, il a du triper à mort au début puis ensuite à du réfléchir sur sa condition, qui hier était celle d’un prisonnier. Mais je pense qu’il n’a surtout pas supporté ce taux de réflexion qui est né en lui, il a prit conscience d’être conscient, choc émotionnel puis crise cardiaque ou délire le menèrent au suicide. Malheureusement pour nous la caméra à eue un problème, coïncidence ou non la caméra s’est arrêtée en parallèle avec la montée du produit, ma conclusion serait une action télépathique menée par le souris, vengeance ? humilité ? Il a emporté le secret avec lui et en même temps une partie de ma bonne humeur, je prends 700 mics de la solution par voie oral.
13
Des souris, des souris partout… Non, pas des souris mais LE souris, celui mort cette nuit. Il est partout, il me regarde, me nargue, me fait peur. Ca sent le “bad trip”. Son fantôme est là pour me faire culpabiliser, peut être est-il venu me chercher ! Je n’irais pas avec lui ! Je vais lui ériger un temple pour qu’il se calme… Que fait-il ? Il se dirige vers la table de jeu interstellaire, je devine avec horreur ce qu’il se prépare à faire. La table se compose d’un plateau de jeu, d’un casque lumineux et de flacons de sommeil profond. Dans l’un de ses flacons se trouve un jeune souriceau attrapé par le tout aussi jeune mais valeureux Atropine, mon fidèle compagnon noir. Le fantôme devenu géant libère le petit dormeur. L’ouverture de la capsule provoque l’échappement d’un gaz, gaz qui en m’atteignant me fit connaître la sulfureuse odeur de la mort. Je me retenais de vomir…je…je me sens mal…je tourne…
14
Woo !! ça pue ici, quelle putain d’odeur dégueulasse !! et quel bordel ! Qu’a t-il donc bien pu pouvoir arriver dans cette fraction de temps, pendant ce not-remémorable instant gros point d’interrogation. Merde ma souris ? Elle est plus là !! Ma souris, qu’est-ce qu’elle fout la dedans ? Ma souris est prisonnière d’une petite prison de chaos de choux jaunâtre et odorante, cette dernière est collée sur l’envers d’une boite de Mon Chéri, sur laquelle sont écrit des signes quasi-hiéroglyphiques qui, d’ailleurs, me semblent être connues de moi…
15
Pfff !!! Encore dans un bel état ! C’est pas possible ! qu’elle disait la voisine. J’inhale les vapeurs et rêve à ce que j’aurais pu faire hier. Comme ça je pourrais le faire demain… et puis merde. A quoi ça sert tout ça !!
16
Je n’écris pas pour vous.
17
Aujourd’hui, jour de rangement.
18
Ecrire, même des conneries, juste pour le plaisir d’écrire, de laisser quelque chose, sans se soucier du contenu ou de l’éventuel lecteur. Ecrire pour le plaisir. J’aime écrire… mais je n’ai pas la patience ? J’aime glander, ne rien faire, penser… Mais pourquoi écrire tout ça, pour le plaisir.
19
Emploi du temps pour ce soir :
_ faire l’inventaire des fléchettes.
_ ranger le salon (bcp de taf)
_continuer les tâches du lézard
Jusqu’où irez vous ? me demande mon PC. No idea. Ma douche est prise . Je peut maintenant m’y mettre. Pour commencer je vais rouler et … glander un peu sur le sofa.
20 (blanc)
Boire, boire, et encore boire. Partir, partir loin, comme pour écrire, juste pour le plaisir, le côté virtuel à la maison. Mais je suis coincé là. Je rêve, je rêve d’être ailleurs, n’importe où mais ailleurs me conviendrait très bien. Le bonheur est dans le passé, il est vrai ; mais il des fois dans l’inconnue, le grand inconnu, le futur. Il l’est à condition de le rester, de rester inconnu.
21
L’inconnue est bien le problème.
A l’intérieur comme à l’extérieur, ni dedans ni dehors, avec tout le respect que je lui porte. Ceci aussi bien par la haine qu’elle inspire, deux ou trois fois par jour, dans son délire de richesse culturelle et par de petits orifices semblables à des trous de mémoire informatique. La robotisation est la maladie et son remède de part et d’autre d’une ligne ou tout le monde dors (réflexion non dirigée).
Quelle faiblesse ! quelle ironie ! quel désordre mystique embourbe mon cerveau noyé par des vapeurs d’une immonde prise de conscience aux alentours de trois heures du matin. La réflexion est déconnectée de l’être et assume son autonomie comme si je l’avais maltraité ou insulté, pire, violé !
Non, vraisemblablement, il n’y a pas d’erreur à commettre en sa présence (sur un air de lunch box).
Révérend maynard soyez loué !
Halo
22
Fatigué ! Fatigué de couper ! 8 heures à couper !! Je commence déjà à avoir le tic. Clac, clac…clac… couper,…couper. Clac,… Clac…clac… ma main droite s’agite nerveusement, clac … clac. Mes doigts vibre avec frénésie, clac, clac,…, j’ai peur de faire une bêtise, …,demain, j’ai peur de tuer !
23
Oh que putain de oui que je suis fatigué ! Enculé (prononcé avec l’accent du sud-ouest), 2 jours seulement de clac clac et je suis fatigué ! Impressionant ! Qui l’aurait deviné ? La voisine ? En tout cas une chose se confirme, effectivement, l’aliénation nous guette ! clac, clac, je coupe ton esprit ! Fond toi dans la masse ! Ne pense qu’a faire clac-clac ! clac-clac /dodo. Clac-clac/dodo…clac-clac/dodo… clac-clac/…dodo …clac…clac…
Et même dans nos rêves !!!! Et oui, dans nos rêves aussi…, clac-clac… !!!
21
(Les mouches tournent, ça sent la charogne) Je viens juste de rentrer et déjà l’envie de repartir me prends.
Repartir pour où… je n’ai jamais su.
.+ + + + + + + + + + + + + ta gueulebimoussec’est normal rien
.+ + + + + + + + + + + + + ta gueulebimoussec’est normal rien
à foutreouaih
merde
move your bodyquand les pigeons se lèveront la surface de la terre sera recouvert de leur fiente puante v
mais vous devez leur raconter une histoire la fiente colle et pue
où ???
si ça pue au premier étage on peut facilement penser qu’un
dedoublement de denier se promène gratuitement un verbe court
et se heurte aux problèmes de la résonance
contre lka chaisemesure excpeditive il faut empecher les
mouches de tourner azerty pu putes putes putes putes
putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes o putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes putes outes putes mais salopes salopes salopes
salopes salopes salopes salopes salopes salopes salopes salopess putes pûtes conception con vivre et parasiter une architecture puante ou les dechets excrémentaux glissants sur un parquet ploitire
porte porte porte porte porte porte porte porte et la voiture elle
n’est toujours pas allumé t’attend quoi mescouilles pour démarrer
il y a largement le temps d’arriver à la portière avant que tu ai
bougé ton gros cul de cyclope miope l’otre fou se fout tout seul
merde suze orange fois deux quanvortex asseché de conneries
que l’écriture est un assemblage mais les machines dorment
dans la voiture qui n’est toujours pas démarrée ***demarre
demarre demarre dema rre demarre demarre demarr
demarrer demarrer demredaerdemdreedaer ahhhhhhh *. Mais rien
ne se passe****. Putes ppute pute pute pute pute pute pute pute oute
footballeur. Footballeur une seule personne a joué au foot en
club laam n’a pas l’ame de mais qu’est ce qu’il se passe pute
pute pute pute pute puteee pouteeeeeee puteeeedreeeee pute
pute purtetrrterqsdfghjkpute PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE PUTE +
« Le beau, c’est le bizarre » Baudelaire
Au boulot mon Dalien !