Ajouté le 6 nov. 2014
Native de Val d'Or ville minière de l'Abitibi Sylvie Faucher provient d’une famille ou la mère dessinait et aimait faire de artisanats, et ou le père chantait et grattait la guitare. « je crois avoir hérité de l' habiletés manuelles et artistiques de ma mère » dit l’artiste. À 17 ans elle est partie de l'Abitibi pour aller vivre dans le centre du Québec ou elle a travaller dans une pâtisserie. C'était bien sûr la décoration de gâteaux qui étais sa tâche préféré . Après avoir suivi une formation en couture industrielle, Sylvie Faucher fonda sa propre boutique de tissus ou elle créait des vêtements originaux et des costumes d'halloween. Elle prenait aussi plaisir a faire des maquillages d'Halloween et pour elle ce n'était qu'une chose de plus qu'elle pouvait faire. Puis elle transforma la boutique et devient copropriétaire d'une usine de textile. Comme son travaille était devenu routinier elle se mis à la recherche d'un passe temps créatif. C'était pour elle un besoin à comblé. La peinture à l'huile est vite devenu une activité quotidienne indispensable. Par manque de temps elle choisi de faire ses apprentissages par elle même avec des livres de dessins et de peintures , des dvds ….......
Autodidacte, Sylvie pratique son art depuis trois ans à temps plein et vie maintenant à Port-Cartier. Elle privilégie le portrait à l'huile mais son univers créatif ne s'arrête pas là, car elle ne veux pas qu'on lui appose une étiquette. Toujours à la recherche de nouveauté elle expérimente afin d'innové dans son domaine. Dernièrement l'artiste à perfectionner son dessin et, elle a commencé à pratiquer la photographie afin d'avoir la main mise sur ces créations. Pour la première fois elle commence à prendre des cours de perfectionnement en portrait , avec de grand maître afin d'y trouvé sa propre voie. Elle en ressort à chaque fois grandit et plus en confiance. « Je me laisse guider par mon instinct dit-elle. »
Sylvie a exposé dans des bibliothèques des salles de spectacle et fait quelques symposiums. Dans les plus sélectifs elle a fait le salon des arts des Bois-Franc à deux reprises et le symposium du Domaine Joly de Lotbinière. Si on lui avais dit qu'un jour elle ferait du portrait à la peinture à l'huile elle ne l'aurais jamais cru. Aujourd'hui c'est pour elle un besoin qu'elle ne peux ignorer, car il revient vite la chercher. Lors qu'elle peint ou qu'elle dessine le temps n'existe plus et elle entre dans une bulle où elle y laisse son côté créatif s'exprimer.