Naï
Premier souvenir de peinture: J’étale de la peinture sur une feuille. celle-ci se gondole sous l’effet de l’eau. J’observe, fascinée, la couleur glisser dans les creux… Fascinée, car c’est comme si les matières combinées: l’eau, la peinture, le papier, avaient une vie propre. Mon pinceau est la baguette qui déclenche cette magie.
Cette fascination ne m’a jamais quittée.
Au fil du temps, mes études aux Beaux-arts de Lyon, mes années à Florence, mes expositions en France ou ailleurs, la rencontre avec de nombreux artistes, sont venues nourrir et enrichir mon travail. Je multiplie les expériences et mets mon savoir faire au service du cinéma, de l’enseignement et de l’événementiel.
J’aime combiner maîtrise et lâcher-prise, en me laissant surprendre par les métamorphoses des matières sur lesquelles je travaille.
Mes tableaux sont la combinaison d’influences diverses.
La première vient de ma jeunesse passée en Afrique où l’art est sacralisé. La dernière est la physique quantique, plus spécialement ces ondes invisibles qui relient toutes choses entre elles.
L’utilisation de la matière peinture évoque les mouvements de l’insaisissable: le vent, l’eau, la brume, le feu…La nécessité d’équilibrer le tableau avec du concret est matérialisée par la présence de pierres, d’écorce….
En ‘coproduisant’ avec ces matières premières issues du monde végétal et minéral, je cherche, avec la lumière, à rendre visible le lien qui unit différents éléments de la Vie.
J’aime en particulier l’écorce de bouleau: ses mystérieuses lenticelles m’interrogent comme une écriture à découvrir… Et aussi
le charbon, énergie fossile héritage de mes ancêtres, les pierres pour leur permanence, les sables pour l’infini…
Depuis de nombreuses années, ces éléments m’insufflent une vision du monde: la Terre n’est pas une boule inerte. Partir à sa découverte, c’est emprunter des chemins où nous pouvons, à chaque pas, prélever des miracles qui viennent enrichir l’inventaire de ses curiosités. C’est observer et restituer un monde en perpétuelle transformation; lente comme l’érosion, ou radicale comme après un cyclone.
Si les matières et les couleurs changent, la quête de la lumière reste, elle, immuable. Elle donne au tableau sa profondeur où l’horizon des possibles reste ouvert.
Naïma Carbonare
Odkryj współczesne dzieła autorstwa Naï, przeglądaj najnowsze dzieła i kupuj online. Kategorie: współcześni artyści francuscy. Domeny artystyczne: Malarstwo. Rodzaj konta: Artysta , członek od 2014 (Kraj pochodzenia Francja). Kup najnowsze prace Naï na Artmajeur: Naï: Odkryj wspaniałe dzieła współczesnych artystów. Przeglądaj dzieła, kupuj oryginalne dzieła sztuki bądź odbitki i wysokiej jakości wydruki.
Ocena artysty, Biografia, Studio artysty:
Pierres et lumière • 10 Dzieła
Pokaż wszystkieEcorce de bouleau • 10 Dzieła
Pokaż wszystkieUznanie
Biografia
Premier souvenir de peinture: J’étale de la peinture sur une feuille. celle-ci se gondole sous l’effet de l’eau. J’observe, fascinée, la couleur glisser dans les creux… Fascinée, car c’est comme si les matières combinées: l’eau, la peinture, le papier, avaient une vie propre. Mon pinceau est la baguette qui déclenche cette magie.
Cette fascination ne m’a jamais quittée.
Au fil du temps, mes études aux Beaux-arts de Lyon, mes années à Florence, mes expositions en France ou ailleurs, la rencontre avec de nombreux artistes, sont venues nourrir et enrichir mon travail. Je multiplie les expériences et mets mon savoir faire au service du cinéma, de l’enseignement et de l’événementiel.
J’aime combiner maîtrise et lâcher-prise, en me laissant surprendre par les métamorphoses des matières sur lesquelles je travaille.
Mes tableaux sont la combinaison d’influences diverses.
La première vient de ma jeunesse passée en Afrique où l’art est sacralisé. La dernière est la physique quantique, plus spécialement ces ondes invisibles qui relient toutes choses entre elles.
L’utilisation de la matière peinture évoque les mouvements de l’insaisissable: le vent, l’eau, la brume, le feu…La nécessité d’équilibrer le tableau avec du concret est matérialisée par la présence de pierres, d’écorce….
En ‘coproduisant’ avec ces matières premières issues du monde végétal et minéral, je cherche, avec la lumière, à rendre visible le lien qui unit différents éléments de la Vie.
J’aime en particulier l’écorce de bouleau: ses mystérieuses lenticelles m’interrogent comme une écriture à découvrir… Et aussi
le charbon, énergie fossile héritage de mes ancêtres, les pierres pour leur permanence, les sables pour l’infini…
Depuis de nombreuses années, ces éléments m’insufflent une vision du monde: la Terre n’est pas une boule inerte. Partir à sa découverte, c’est emprunter des chemins où nous pouvons, à chaque pas, prélever des miracles qui viennent enrichir l’inventaire de ses curiosités. C’est observer et restituer un monde en perpétuelle transformation; lente comme l’érosion, ou radicale comme après un cyclone.
Si les matières et les couleurs changent, la quête de la lumière reste, elle, immuable. Elle donne au tableau sa profondeur où l’horizon des possibles reste ouvert.
Naïma Carbonare
- Obywatelstwo: FRANCJA
- Data urodzenia : nieznana data
- Domeny artystyczne:
- Grupy: Współcześni Artyści Francuscy
Wpływy
Szkolenie
Wartość artysty potwierdzona certyfikatem
Osiągnięcia
Aktywność na Artmajeur
Aktualności
Wszystkie najnowsze wiadomości współczesnego artysty Naï
Itinairaire et influences
Premier souvenir de peinture: J’étale de la peinture sur une feuille. celle-ci se gondole sous l’effet de l’eau. J’observe, fascinée, la couleur glisser dans les creux… Fascinée, car c’est comme si les matières combinées: l’eau, la peinture, le papier, avaient une vie propre. Mon pinceau est la baguette qui déclenche cette magie.
Cette fascination ne m’a jamais quittée.
Au fil du temps, mes études aux Beaux-arts de Lyon, mes années à Florence, mes expositions en France ou ailleurs, la rencontre avec de nombreux artistes, sont venues nourrir et enrichir mon travail. Je multiplie les expériences et mets mon savoir faire au service du cinéma, de l’enseignement et de l’événementiel.
J’aime combiner maîtrise et lâcher-prise, en me laissant surprendre par les métamorphoses des matières sur lesquelles je travaille.
Mes tableaux sont la combinaison d’influences diverses.
La première vient de ma jeunesse passée en Afrique où l’art est sacralisé. La dernière est la physique quantique, plus spécialement ces ondes invisibles qui relient toutes choses entre elles.
L’utilisation de la matière peinture évoque les mouvements de l’insaisissable: le vent, l’eau, la brume, le feu…La nécessité d’équilibrer le tableau avec du concret est matérialisée par la présence de pierres, d’écorce….
En ‘coproduisant’ avec ces matières premières issues du monde végétal et minéral, je cherche, avec la lumière, à rendre visible le lien qui unit différents éléments de la Vie.
J’aime en particulier l’écorce de bouleau: ses mystérieuses lenticelles m’interrogent comme une écriture à découvrir… Et aussi
le charbon, énergie fossile héritage de mes ancêtres, les pierres pour leur permanence, les sables pour l’infini…
Depuis de nombreuses années, ces éléments m’insufflent une vision du monde: la Terre n’est pas une boule inerte. Partir à sa découverte, c’est emprunter des chemins où nous pouvons, à chaque pas, prélever des miracles qui viennent enrichir l’inventaire de ses curiosités. C’est observer et restituer un monde en perpétuelle transformation; lente comme l’érosion, ou radicale comme après un cyclone.
Si les matières et les couleurs changent, la quête de la lumière reste, elle, immuable. Elle donne au tableau sa profondeur où l’horizon des possibles reste ouvert.
Naïma Carbonare
Itinéraires et influences
Premier souvenir de peinture: J’étale de la peinture sur une feuille. celle-ci se gondole sous l’effet de l’eau. J’observe, fascinée, la couleur glisser dans les creux… Fascinée, car c’est comme si les matières combinées: l’eau, la peinture, le papier, avaient une vie propre. Mon pinceau est la baguette qui déclenche cette magie.
Cette fascination ne m’a jamais quittée.
Au fil du temps, mes études aux Beaux-arts de Lyon, mes années à Florence, mes expositions en France ou ailleurs, la rencontre avec de nombreux artistes, sont venues nourrir et enrichir mon travail. Je multiplie les expériences et mets mon savoir faire au service du cinéma, de l’enseignement et de l’événementiel.
J’aime combiner maîtrise et lâcher-prise, en me laissant surprendre par les métamorphoses des matières sur lesquelles je travaille.
Mes tableaux sont la combinaison d’influences diverses.
La première vient de ma jeunesse passée en Afrique où l’art est sacralisé. La dernière est la physique quantique, plus spécialement ces ondes invisibles qui relient toutes choses entre elles.
L’utilisation de la matière peinture évoque les mouvements de l’insaisissable: le vent, l’eau, la brume, le feu…La nécessité d’équilibrer le tableau avec du concret est matérialisée par la présence de pierres, d’écorce….
En ‘coproduisant’ avec ces matières premières issues du monde végétal et minéral, je cherche, avec la lumière, à rendre visible le lien qui unit différents éléments de la Vie.
J’aime en particulier l’écorce de bouleau: ses mystérieuses lenticelles m’interrogent comme une écriture à découvrir… Et aussi
le charbon, énergie fossile héritage de mes ancêtres, les pierres pour leur permanence, les sables pour l’infini…
Depuis de nombreuses années, ces éléments m’insufflent une vision du monde: la Terre n’est pas une boule inerte. Partir à sa découverte, c’est emprunter des chemins où nous pouvons, à chaque pas, prélever des miracles qui viennent enrichir l’inventaire de ses curiosités. C’est observer et restituer un monde en perpétuelle transformation; lente comme l’érosion, ou radicale comme après un cyclone.
Si les matières et les couleurs changent, la quête de la lumière reste, elle, immuable. Elle donne au tableau sa profondeur où l’horizon des possibles reste ouvert.
Naïma Carbonare