11 oeuvres par Mimia Lichani (Sélection)
Les anonymes • 11 oeuvres
Les anonymes
Qui sont-ils ? D’où viennent t-ils ? Hélas ! Je ne saurais vous le dire, je les ai rencontrés[...]
Les anonymes
Qui sont-ils ? D’où viennent t-ils ? Hélas ! Je ne saurais vous le dire, je les ai rencontrés un soir en flânant sur le chemin de l’imagination, quand soudain j’ai aperçu dans la vague brumeuse du lointain, l’émergence d’une file indienne en longue procession, marchant silencieusement clopin-clopant dans un pas irrégulier lourd et pesant, comme s’ils portaient sur leurs épaules le poids des ans, ils avaient l’air étrange et le teint surprenant, comme s’ils sortaient d’outres tombes ou du néant, sont-ils des maudits ou des revenants ? A ce doute affligeant mon cœur déconcerté à dit non ! J’ai rougi devant la réprobation, c’est vrai, il n’y a rien à reprocher à ces humbles gens ? Qui laissent comme un trophée l’empreinte de leur passage dans la mémoire du présent
La couleur du temps a poudrée dans la grisaille de sa patine leurs habits leurs visages et leurs talons, sauf le regard est resté solennel limpide et bienveillant, une force intérieure l’animait d’un pouvoir inouï pour surmonter la trotte la fatigue la soif et la faim, ils n’avaient comme bagage que l’endurance et la détermination pour arriver à cette chose qui ne dit pas son nom.
Intrigué devant cette exode humaine dont la témérité ponctue le pas pour un but unanime qui les tenait solidaire par je ne sais quel serment
Ma curiosité incorrigible commence à se poser des questions, et je me suis dites, qui sont ses âmes égarées que la providence à mise sur mon chemin est ce des prophètes ou des pèlerins ? Mais la parole sacrée n’est pas venue acclamée haut et fort le nom d’un dieu, ou le culte d’une religion, et si c’est des pèlerins ? Ou est le chapelet la cape et le bâton, alors peut êtres ces des humbles gens fuyant l’oppression d’un tyran, mais rien ne laisse voir l’abus d’un pouvoir malveillant, alors c’est des esclaves ou des mendiants ? Mais les traces du fouet sur les corps sont absents, et il manque à leurs poignets les chaines de l’humiliation, et leur regard altier ne porte pas les maux de la soumission, et si c’est des nécessiteux j’ai pas vu sur leurs épaules des haillons, ni le geste hésitant qui supplie l’aumône aux passants, alors surement c’est des nomades ou des gitans, bohémiens de père en fils depuis la nuit des temps en quête de liberté et de terres inconnues sous des cieux différents, mais en apparence rien ne confirme cette pensée là, ou peut êtres c’est des poètes en mal d’amour ou des artistes en quête de chimère dans l’olympe de l’inspiration, mais je n’ai pas entendu l’écho d’une romance ou d’une révolte tonner son cri ou son chant, et je n’ai pas vu la couleur d’un art arborait au passage les reflets quelconques d’un talent.
En fin de compte j’ai laisse tomber toutes ces hypothèses devant la gravité imposante de cette marche humaine qui va de l’avant vers je ne sais quel but, quels cieux ou quel destin.
Et je me suis retiré sur la pointe des pieds, dans mon intimité, à la hâte j’ai ouvert mon ordinateur et d’un clic j’ai déballe mes logiciels sur l’écran, pour croquer sur le vif le portait de ces âmes mystérieuses un à un immortalisant ces anonymes dans les couleurs de mon admiration, pour ce qu’ils sont, et pour ce qu’ils portent en eux comme un bijou dans son écrin
Certes la générosité de votre bonté leur accordera la beauté d’un instant et même si c’est des anonymes votre amour en majuscule sera leur nom.
N’hésitez pas à me laisser votre opinion sur ce peuple dont c’est entichée ma passion, vous lire ! C’est l’art que j’attends de vous très souvent.
Merci de me suivre dans ces libres cours fantaisistes à travers lesquels sans ambages ni tabous j’ose barioler dans l’irréel ma créations pour animer l’impalpable et faire bouger la fiction et lui donner un souffle de vie et de magie, pour les rendre accessible qu’on pourrait presque les prendre par la main et les inviter à prendre un verre dans le café du coin, une fusion amicale en trois dimension.
L’artiste crée le temps d’un plaisir, le temps d’un coup de cœur ou d’une douce folie, et pour la vie cet art il est le votre surtout ne l’oubliez pas !
A bientôt Mimia
Qui sont-ils ? D’où viennent t-ils ? Hélas ! Je ne saurais vous le dire, je les ai rencontrés un soir en flânant sur le chemin de l’imagination, quand soudain j’ai aperçu dans la vague brumeuse du lointain, l’émergence d’une file indienne en longue procession, marchant silencieusement clopin-clopant dans un pas irrégulier lourd et pesant, comme s’ils portaient sur leurs épaules le poids des ans, ils avaient l’air étrange et le teint surprenant, comme s’ils sortaient d’outres tombes ou du néant, sont-ils des maudits ou des revenants ? A ce doute affligeant mon cœur déconcerté à dit non ! J’ai rougi devant la réprobation, c’est vrai, il n’y a rien à reprocher à ces humbles gens ? Qui laissent comme un trophée l’empreinte de leur passage dans la mémoire du présent
La couleur du temps a poudrée dans la grisaille de sa patine leurs habits leurs visages et leurs talons, sauf le regard est resté solennel limpide et bienveillant, une force intérieure l’animait d’un pouvoir inouï pour surmonter la trotte la fatigue la soif et la faim, ils n’avaient comme bagage que l’endurance et la détermination pour arriver à cette chose qui ne dit pas son nom.
Intrigué devant cette exode humaine dont la témérité ponctue le pas pour un but unanime qui les tenait solidaire par je ne sais quel serment
Ma curiosité incorrigible commence à se poser des questions, et je me suis dites, qui sont ses âmes égarées que la providence à mise sur mon chemin est ce des prophètes ou des pèlerins ? Mais la parole sacrée n’est pas venue acclamée haut et fort le nom d’un dieu, ou le culte d’une religion, et si c’est des pèlerins ? Ou est le chapelet la cape et le bâton, alors peut êtres ces des humbles gens fuyant l’oppression d’un tyran, mais rien ne laisse voir l’abus d’un pouvoir malveillant, alors c’est des esclaves ou des mendiants ? Mais les traces du fouet sur les corps sont absents, et il manque à leurs poignets les chaines de l’humiliation, et leur regard altier ne porte pas les maux de la soumission, et si c’est des nécessiteux j’ai pas vu sur leurs épaules des haillons, ni le geste hésitant qui supplie l’aumône aux passants, alors surement c’est des nomades ou des gitans, bohémiens de père en fils depuis la nuit des temps en quête de liberté et de terres inconnues sous des cieux différents, mais en apparence rien ne confirme cette pensée là, ou peut êtres c’est des poètes en mal d’amour ou des artistes en quête de chimère dans l’olympe de l’inspiration, mais je n’ai pas entendu l’écho d’une romance ou d’une révolte tonner son cri ou son chant, et je n’ai pas vu la couleur d’un art arborait au passage les reflets quelconques d’un talent.
En fin de compte j’ai laisse tomber toutes ces hypothèses devant la gravité imposante de cette marche humaine qui va de l’avant vers je ne sais quel but, quels cieux ou quel destin.
Et je me suis retiré sur la pointe des pieds, dans mon intimité, à la hâte j’ai ouvert mon ordinateur et d’un clic j’ai déballe mes logiciels sur l’écran, pour croquer sur le vif le portait de ces âmes mystérieuses un à un immortalisant ces anonymes dans les couleurs de mon admiration, pour ce qu’ils sont, et pour ce qu’ils portent en eux comme un bijou dans son écrin
Certes la générosité de votre bonté leur accordera la beauté d’un instant et même si c’est des anonymes votre amour en majuscule sera leur nom.
N’hésitez pas à me laisser votre opinion sur ce peuple dont c’est entichée ma passion, vous lire ! C’est l’art que j’attends de vous très souvent.
Merci de me suivre dans ces libres cours fantaisistes à travers lesquels sans ambages ni tabous j’ose barioler dans l’irréel ma créations pour animer l’impalpable et faire bouger la fiction et lui donner un souffle de vie et de magie, pour les rendre accessible qu’on pourrait presque les prendre par la main et les inviter à prendre un verre dans le café du coin, une fusion amicale en trois dimension.
L’artiste crée le temps d’un plaisir, le temps d’un coup de cœur ou d’une douce folie, et pour la vie cet art il est le votre surtout ne l’oubliez pas !
A bientôt Mimia
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