Artiste autodidacte, Karol Reber a découvert la passion pour le dessin et la peinture à un très jeune âge et donc commencé à cultiver ce désir. Il a commencé le dessin au crayon. Cette période, l'a aidé à assurer son trait et l'esquisse de ses tableaux. En 1998, la couleur apparaît. Cette étape, lui a permis d'étudier la palette de couleurs, l'adapter à ses tableaux, saisir les règles de complémentarité et les contrastes.
En 2000, il découvre la peinture à l'huile et ses merveilles. Cette technique est devenue son moyen d'expression le plus aisé.
La peinture figurative a ce mérite, par rapport à celle qu’on appelle abstraite, qu’elle ne permet pas à l’artiste de « tricher », d’escamoter les déficiences sous des vernis tape-à-l’œil où, une fois ceux-ci grattés, une fois le superficiel et la part de poudre aux yeux dénoncés, ne subsistent que la facilité, tout ce que l’art abstrait, quand il n’est pas expression sincère ou simplement beauté formelle, a de léger, de banal et d’impersonnel. Karol Reber est résolument figuratif, même s’il s’est essayé à l’art abstrait, par seul goût de la recherche d’ailleurs.
A self-taught artist, Karol Reber discovered a passion for drawing and painting at a very young age and thus began to cultivate this desire. He started drawing in pencil. This period, helped him to ensure his line and the sketching of his paintings. In 1998, the color appears. This stage, allowed him to study the colour palette, to adapt it to his paintings, to grasp the rules of complementarity and contrasts.
In 2000, he discovered oil painting and its wonders. This technique has become his easiest means of expression.
Figurative painting has the merit, in comparison with so-called abstract painting, that it does not allow the artist to "cheat", to conceal deficiencies under flashy varnishes where, once these have been scraped off, once the superficial and the part of the powder keg denounced, only the ease remains, everything that abstract art, when it is not sincere expression or simply formal beauty, has of lightness, banal and impersonal. Karol Reber is resolutely figurative, even if he has tried his hand at abstract art, for the sake of research alone.
Je tiens à remercier très chaleureusement le journaliste Miguel Ramis pour l’interview et l’article écrit sur mes œuvres et à l’attention de toute la rédaction du magazine artiste. Je tiens également le remercier d’avoir sélectionné une de mes œuvres pour la page de couverture. J’en suis très touché et c’est un réel plaisir que de voir quelques-unes de mes toiles publiées dans votre magazine. L’article est très flatteur et votre soutien est un apport considérable pour la suite de ma carrière artistique.
Travail en cours, peinture à l'huile et crayon graphite aquarellable sur bois.
Une galerie d'art où vous pouvez trouver des pièces historiques, des collectifs photographiques, des peintures, des photos individuelles et bien d'autres choses, faisant connaître le patrimoine panaméen et sensibilisant au soin des pièces artistiques historiques.
West 1st Street, Ensemble monumental de Las Bóvedas, San Felipe, Panama City.
RAMON MARTI ALSINA
La Palmera
1868
RAMON MARTI ALSINA
El torrente de Argentona
c. 1870-1880
LLUIS GRANER
Niñas a la luz de un farol
c. 1899
BALDOMER GALOFRE
Acampada en las faldas del monte
c. 1895
ELISEU MEIFREN
Puerto de Barcelona
1889
JOAN ROIG
Paseo Pujadas (Barcelona)
c. 1890
ELISEU MEIFREN
Vista de Venecia
c. 1890-1891
SANTIAGO RUSINOL
La cruz de término
c. 1891-1892
RAMON CASAS
Interior al aire libre
1892
JOAN LLIMONA
Lavanderas
c. 1920
RAFAEL DURANCAMPS
Paisaje con lago y personajes en un camino
s.f
RAFAEL DURANCAMPS
Bodegón con manzanas
1946
Il n'existe aucune photo de Van Gogh à l'âge adulte, alors un artiste numérique a créé des photos étrangement réalistes pour montrer à quoi il aurait pu ressembler.
Aucune photographie de l'artiste à l'âge adulte n'a survécu à ce jour.
There Are No Pictures of Van Gogh as an Adult, So a Digital Artist Created Eerily Realistic Photos to Show How He Might Have Looked.
No photographs of the artist as an adult have survived to this day.
Après l’annonce de sa boutique en ligne en janvier dernier, le Louvre a lancé vendredi 26 mars, son nouveau site internet ainsi qu’une base des collections flambant neuve. Avec déjà 482 000 objets d’art répertoriés, plus des trois quarts des œuvres exposées et en réserves sont maintenant accessibles virtuellement et gratuitement.
Les aficionados du Louvre sont chaleureusement accueillis lorsqu’ils se rendent sur le site du musée. Des biscuits et du lait présents dans La Petite Collation (1787) sont en effet offerts (virtuellement) pour accompagner la demande d’acceptation des cookies de la page internet. Derrière la fenêtre, la nouvelle plateforme du Louvre (accessible sur louvre.fr) se dévoile aux chercheurs, étudiants, enseignants, visiteurs, amateurs et curieux souhaitant en découvrir plus sur l’institution. Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, le musée a également mis en ligne un nouveau portail dédié à ses collections (collections.louvre.fr) qui répertorie actuellement 482 000 notices d’œuvres, ce qui représente plus des trois quarts des collections, parmi lesquelles les œuvres du Louvre et du musée Delacroix, les sculptures du jardin des Tuileries et du Carrousel ainsi que les œuvres dites « Musées nationaux récupération » (MNR), récupérées en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale et confiée à la garde du musée en attendant de pouvoir retrouver leur légitime propriétaire. Cette plateforme plus ergonomique et moderne remplace la base Atlas qui présentait alors uniquement les objets exposés dans les salles du palais.
Lʹartiste bernois Simon Berger expose en plein air au coeur de Genève ses portraits en verre brisé. Réalisées au marteau, ces œuvres représentent des visages féminins et sont stupéfiants de réalisme.
Depuis la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai dernier, de grandes plaques de verre cassé représentant des visages de femmes sont exposées à Genève. Cette forme de street art qui aimante le regard est l'oeuvre de l'artiste bernois Simon Berger. Ses créations en verre font écho aux propos de l'organisation "Reporters sans frontières" selon laquelle 27 journalistes femmes sont détenues à travers le monde. Simon Berger a rendu à sa manière un hommage à ces femmes.
A l’origine, Simon Berger est menuisier. Il aime la matière et adore détourner les matériaux. Il y a quelques années à Montreux, il avait réalisé un portrait de Freddie Mercury avec de l’étoffe de jeans et de t-shirts.
De la tôle froissée.
Il est aussi à l'origine de portraits réalisés avec de la tôle de carrosserie qu’il froisse pour obtenir des visages hyperréalistes. C’est là, à force de côtoyer des carcasses de voitures et des pare-brises brisés, que lui vient l'idée de travailler sur le verre. Il invente donc une technique de dessin sur verre au marteau et parvient à des résultats bluffants.
Sur certaines vidéos à découvrir sur internet, on le voit accroupi sur ces grandes plaques de verre. D’une main il regarde une photographie de son modèle et de l’autre, il martèle le verre. Plus les coups sont rapprochés et courts, plus les ombres et les contrastes s'intensifient. Plus le coup est large, plus cela crée des faisceaux translucides. On réalise alors que le marteau n’a rien de destructeur. Il agit plutôt comme un amplificateur d’effets.
>> A voir, Simon Berger travaille ses portraits en verre brisé:
Pantone crée une carte pour capturer les couleurs dans le monde réel
Voici une innovation qui peut venir en aide aux graphistes qui cherchent l’inspiration. La société Pantone, largement reconnue pour ses nuanciers de couleurs, a lancé une application accompagnée d’un objet physique pour vous permettre de prélever directement les couleurs dans la vraie vie.
Car s’il est facile de déterminer le code d’une couleur sur son écran, il est en revanche très compliqué de recréer le teint parfait d’un objet près de vous. C’est pourquoi la carte Pantone Color Match permet, en la superposant sur n’importe quelle surface, de déterminer son code couleur Pantone.
Une carte que la société vend un peu moins de 17 euros et qui fonctionne à l’aide d’une application dédiée. Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur le site pantone.com. L’idée est originale mais elle me rappelle une opération marketing réalisée en 2017 par la chaîne de bricolage Réno-Dépôt au Québec et son application qui faisait plus ou moins la même chose.
L’an dernier, des chercheurs ont publié des documents de près de deux ans d’analyse de l’œuvre la plus reconnue de Johannes Vermeer, « Girl With a Pearl Earring ». Bien que leurs conclusions n’incluent pas l’identité très recherchée du sujet, ils ont révélé que la toile de fond grise est en fait un rideau vert foncé et que la figure a des cils seulement visibles avec le grossissement. Grâce à Emilien Leonhardt et Vincent Sabatier, de Hirox Europe, nous pouvons tous étudier les subtilités de l’œuvre insaisissable de Vermeer et regarder directement dans les fissures de peinture avec un panorama interactif de 10 milliards de pixels.
Le duo a commencé l’entreprise de déterminer l’état de surface de la pièce emblématique après de multiples restaurations, mesurer l’espace entre les pigments fracturés, et d’élucider la technique de l’artiste. À l’aide d’un microscope personnalisé, Leonhardt et Sabatier ont pris 9 100 photographies de la peinture qui ont ensuite été tissées ensemble dans le panorama massif. Il révèle des détails jusqu’à 4,4 microns par pixel.
=> Accéder au site en cliquant ici <=
Avec 150 œuvres provenant de 64 musées, « De la Renaissance au XXe siècle, les chefs-d’œuvre de la peinture dans les musées français » est la plus grande exposition virtuelle jamais réalisée en France.
Le commis de cuisine
