Isabelle Delamarre

ISABELLE DELAMARRE
SERIES ON WOMAN
THE FEMALE NUDE has been drawn only after the masculine nude (Michel Ange used to represent naked men)
The nude raises only as art category itself around the 20th century where it is still taboo, even nowadays, especially from the religious fundamentalist point of view which could come from any courantts; while the world need peace.
From my design education, I did a lot of sketches of naked body. Then I start to work on the female nude in movement at the following workshop: the: "Crocq'vif at Suresnes, "Grands Ateliers" at Rueil, at "Pièce unique" and others...but what's matter is not the body anymore, my purpose is not to study the anatomy, what is important is the moment where the shape fall slightly into the abstract universe, where the lines and the colours of the underlying reality turn to be the main highlight focus to create a synthetic symbolic picture.
Following this path, I got my inspiration from famous painters ( such as Modigliani, Degas, Renoir, Courbet, Ingres, Gauguin, Valloton, Klimt, Matisse, Picasso,les Nabis, Klein,....Bonnefoi , more recently...)
and sculptors (Arman, Maillol, and many others artists and BD Hergé) : It is really important for myself to absorb and transmit the inspiration of the famous canvas, overall mythic because they are all in our collective mind, and keep this cultural heritage against the current violence to finally extract the beauty, adding my own sensible filter to emphasise the lines and movement.
Paint female nude is from my perspective live give a sense of the beauty, of the seduction, of the symbolic gesture, more broadly it is a stong way to resist and defend my woman identity? equal to the men and make exist my cultural heritage of the antic Greece wher the religious symbolwere looking for the city wellness.
Le nu féminin n’a été représenté qu’après le nu masculin et pour lui-même qu’à partir du 20 ème siècle où il est encore tabou
De par ma formation j'ai fait beaucoup de croquis, mais il n’est plus question d’étudier l’anatomie, par la suite je me suis intéressée au mouvement à l’atelier Crocq'vif de Surennes, aux Grands Ateliers de Rueil, à Pièce unique... ce qui m'importe c'est interpréter le figuratif vers l'abstrait, en somme sublimer les lignes et la couleur de la réalité, pour créer une image symbolique presque graphique, la ligne claire; (notre oeil ne perçoit qu'une partie du monde)
"L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible." Klee.
Pour cela je puise et scrute l'art figuratif des grands peintres (Modigliani, Degas, Renoir, Courbet, Ingres, Gauguin, Vallotton, Klimt, Matisse, Klein…Bonnefoi.) les sculptures (Arman, Maillol..)et dans toute l'épaisseur de l'histoire, c'est important pour moi de garder cet héritage, l'ignorance étant un grand danger pour notre avenir,
Shakespeare a dit: "l'enfer est vide, tous les démons sont ici" la tempête.
La femme est la mère de tout et j'essaie d'en transmettre la beauté, de la faire mienne, et de retenir les lignes qui me sont en mémoire, pour créer un type, il y a parait il une zone spécifique de notre cerveau qui mémorise ces petits riens qui font la beauté d'un geste, d'un mouvement, voir est très important pour moi. C'est le point de départ de mon imaginaire puisé dans ma mémoire, car on on invente jamais rien.
Peindre la femme c'est donc transmettre une certaine mémoire de la beauté, de la séduction, une symbolique des gestes, plus largement c'est aussi résister en tant que femme en la défendant à l’égal de l’homme et faire vivre ma culture héritée de la Grèce antique dont les codes religieux visaient le bien être de la cité