Philippe Clicq

Galerie Sub Espace – Le Havre
Galerie Alfa – le Havre
4e Biennale du Havre
4e Salon d’Automne de peinture de Luchon – Prix François Dénard
64e Salon des artistes méridionaux de Toulouse
Salon des artistes indépendants du Languedoc – 2e prix
6e Salon des arts de l’Union – 1er prix
Galerie Espace Berger – Luchon « Les figuratifs français »
Galerie Alfa – le Havre
5e Salon d’automne de peinture de Luchon
Galerie Expression – Toulouse
4e concours international des arts plastiques – Toulouse
65e salon des artistes méridionaux de Toulouse
Librairie Parenthèses – Toulouse
Expositions privées – Toulouse
Réalisation d’une fresque (300 m2) – Entreprise Point P – Caen
Exposition collective – Festival racines – Toulouse
Galerie Art et cadres – Toulouse

Né à Beauvais en 1957, vit et travaille dans la région toulousaine depuis 25 ans.

Philippe Clicq a grandi dans une famille passionnée de voyage, une telle bougeotte au point que l’artiste qualifie volontiers son enfance d’itinérante. Un détail qui a son importance quand on s’attarde sur quelques-unes de ses toiles.

Son père et son frère étaient d’excellents dessinateurs. le talent est-il héréditaire ? Toujours est-il que Philippe Clicq débutera dès 1974 une carrière de graphiste-illustrateur publicitaire. C’est ainsi que depuis il exercera ses talents au service de la presse et de l’édition. Seulement l’artiste a l’âme vagabonde et son crayon s’accomode mal des contraintes professionnelles.

En 1978, il fera sa première approche de la peinture d’abord pour « s’amuser » comme il le dit lui-même puis à fond.
Il participera à la première exposition collective en 1984 au Havre. Elles se succèderont sans interruption jusqu’à aujourd’hui. Le hasard lui fera rencontrer un courtier à Toulouse qui embarquera quelques-unes de ses toiles dans les circuits américains. Tout cela tranche avec l’époque des débuts où il vendait ses toiles – des petits ports bretons - peintes sur commande… 150 francs les deux !

De par son métier, Philippe Clicq a conforté un sacré coup de crayon, net et précis au point que certains des éléments de ses tableaux sont proches de l’hyperréalisme même si les thèmes élaborés n’empreintent pas à ce mouvement artisitique.

Mais à chaque fois, il a une façon déroutante de croquer les scènes de la vie. Les choses vues qu’il interprète très largement. N’allez pas l’imaginer avec son chevalet au bord d’un ruisseau… Ses toiles sont toutes le fruit de sentiments et d’imagination débordante. Un ami dit de lui que ses toiles expriment un « désordre parfait plutôt que le parfait désordre, détails de luxe plus que luxe de détails ».