Félix Aberasturi

Paris Magique

Maison de l'Argentine, Boulevard Jourdan, Paris, France

« Traverser la ville à pied, en marchant sur les feuilles dorées du passé.
Les vieilles pierres fredonnent une chanson sourde qui parle de sourires, de mots dits en cachette, de charmants secrets, d’amours perdus dans un autre siècle.

Les souvenirs de moments que nous n’avons pas vécus jaillissent en nous : un parfum de violettes, la légèreté d’un froufrou de soie, un visage sans nom qui nous attire vers une histoire à imaginer.  

La nuit venue, hantée par ces fantômes exquis sortis de livres et de rêves, la Ville Lumière devient un grand théâtre où tout est possible. Elle nous ensorcelle, nous enivre, en nous rappelant ce que nous ne devons pas oublier... »

Fragment du texte "Paris Magique" de Félix Aberasturi

Exposition « Paris Magique »

Vernissage le jeudi 6 février à 19h
Exposition du 7 au 26 février 2020
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi (hors jours fériés) de 10h à 18h.

Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Maison de l'Argentine - 27A Boulevard Jourdan 75014 - CIUP

Exposition grands formats

60, rue St André des Arts 75006 Paris

Un résumé de mes trois derniers séries: "Labyrinthe de miroirs", "Paris magique" et "Archétypes"

6 rue Cimarosa

Vernissage mardi 10 janvier de 18 h à 21 h

C’était le 14 juin de 1986 quand le monde perdait
l’un des génies les plus marquants de la littérature
contemporaine. Jorge Luis Borges mourrait à Genève
à l’âge de 87 ans.
Félix Aberasturi fouille depuis longtemps dans l’univers
du célèbre écrivain argentin la matière pour
nourrir et enrichir ses tableaux.
L’artiste démarre ce travail qui, loin d’être illustratif,
est le reflet d’une créative expérience personnelle. Il
se promène dans les labyrinthes de Borges, se regarde
dans ses miroirs et fait face à ses tigres et ses
"cuchilleros" pour créer une nouvelle série imprégnée
du climat et du "tempo" de l’univers borgésien.

Communiqué de presse

Communiqué de presse

Mnémosyne, peintures de Félix Aberasturi

12-16 rue Delambre - 75014 - Paris

(Sous les auspices de l'Ambassade de la République Argentine en France)
« Je ne fais pas de l’art pour l’art. Il n’est pas question d'œuvres composées et léchées, de tableaux pour le décor. Moi, j’ai besoin de raconter une histoire, de témoigner, de nous questionner sur nos véritables valeurs, notre identité… Mes œuvres appellent des légendes, du texte auquel s’unir pour faire un tout, prendre du sens. »
Grâce à un rituel très particulier, F. Aberasturi arrive à nous introduire dans son univers où règne un certain mystère, où les vieux clichés prennent vie.
Il travaille par couches successives, qui se superposent et interférent les unes entres les autres, pour finir par créer une série de messages chiffres en arrière plan. L’artiste compose, recompose ses œuvres, par juxtapositions et superpositions de feuilles imprimées, des photos, puis, collées sur un support monté sur châssis. Les photos ne sont finalement pour lui qu'un simple outil, une matière première, qui lui permet d'exploiter plus amplement sa créativité.
Le travail des matières est très présent dans son œuvre. Elles ne sont pas lisses. On y découvre, de nombreuses aspérités, qui viennent donner du relief et enrichir ses tableaux. Il y cache aussi des phrases, des mots et des verbes. Des ajouts de couleurs, des déchirures et décalages animent l'arrière-plan des œuvres. Il faut se rapprocher, et chercher les petites cachettes.
Apres l'étape de la sélection d’images ou de la prise de vue, il les retravaille par la numérisation. Chirurgie majeure pour certains de ces personnages, re-création complète pour des autres. Réinventer les histoires par la manipulation de ces photos anciennes, c'est l'expression d'un amour fétichiste, pour ce qui appartient au passé. Ainsi l'artiste invente et joue avec les codes. Il conçoit un langage artistique très singulier. Le passé vu sans mélancolie, mais avec une critique, une intention qui pousse à la réflexion.
Des souvenirs, repris sans nostalgie, plutôt comme la matière pour inventer un futur plus sain, plus libre…

"La dualité de l'etre"

"Le Rousseau"

Communiqué de presse

C'est ma première tentative dans le monde de l'image en mouvement.
L’idée c’est de montrer l’univers de ma dernière série, de donner des indices, des signales, sur une histoire que n’est plus personnelle….une histoire qu’est devenue universelle…

Note aparu dans une magazine de la Argentine - fevrier 2000

Expo

Coverture journal

Note journal

Note journal

Presentation

Place aux artistes 2009

galerie Itinerrance, Paris