E75 - LE RETOUR DE TEREUS (2007) Malerei von Philhelm

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ETRUSQUE / Térée (Tereus) fait partie de la mythologie grecque, à ne pas confondre avec Thésée, roi légendaire d’Athènes, bien plus souvent cité que le précédent ! Térée est néanmoins un héros d’une légende populaire dont les personnages sont empruntés au monde des oiseaux. Procné et Philomela (rossignol et hirondelle) sont les filles du roi athénien[...]
ETRUSQUE / Térée (Tereus) fait partie de la mythologie grecque, à ne pas confondre avec Thésée, roi légendaire d’Athènes, bien plus souvent cité que le précédent ! Térée est néanmoins un héros d’une légende populaire dont les personnages sont empruntés au monde des oiseaux. Procné et Philomela (rossignol et hirondelle) sont les filles du roi athénien Pandion. Térée, roi de Thrace et fils d’Arès n’est autre que la huppe (gr.:epops –lat.:upapa). La huppe est l’ennemi de l’hirondelle et du rossignol, de plus elle a été considéré comme oiseau impur par les grecs, principalement parce qu’elle se nourrit également de larves extraits des excréments ! Pandion avait eu Térée pour allié et lui avait donné sa fille Procné en mariage, mais le roi barbare enlève en plus sa belle-soeur Philomela et la viole. Il lui coupe la langue pour qu’elle ne puisse le trahir. Mais cette dernière, parce que l’écriture n’existait pas encore à cette époque, tisse une toile dont les motifs racontent sa mésaventure. Procné en prend connaissance, et ensemble, les deux sœurs se concertent pour le punir en servant à Térée dans un repas, les membres d’Itys, l’enfant de cinq ans qu’il avait eu de Procné. Pour châtier les trois protagonistes tous coupables, les Dieux les changent en oiseaux. Depuis, dit-on, les hirondelles ne savent plus chanter, elles gazouillent. La poésie grecque est remplie d’allusions à cette fable: Térée est tantôt changé en épervier ou en vautour ! Sophocle en avait tiré une tragédie, aujourd’hui perdue, mais qui comptait, dit-on, parmi ses meilleurs ! Ce tableau montre Térée continuant à poursuivre Procné et Philomela, protégées par leurs fidèles en émoi ! Parmi les représentations concernant ce sujet issu des Métamorphoses d’Ovide :
1° Bernard Salomon en 1557 à Lyon : Térée viole Philomela, gravure sur bois conservée à la Médiathèque centrale de Montpellier, cote C189, fonds Cavalier.
2° Pablo Picasso, non daté : Lutte entre Térée et Philomela, gravure présente à la Franklin Bowles Gallery à San Francisco, baer 154, bloch 110.
Sur les quatre personnages présents sur le tableau : gauche : initialement c’était un satyre à figures noires. Milieu gauche : La femme, un genou à presque terre était Cassandre violée (présente sur une hydrie attique 490 avant J-C.) Milieu droit : l’homme agenouillé était initialement un esclave égyptien, au crâne rasé et aux traits négroïdes, circoncis et battu par Héraclès dans le combat contre les serviteurs de Busiris, d’où sa pose équivoque d’après une peinture à figures rouges sur vase pélikè par le Peintre de Pan 470 avant J-C. A droite: la femme est une Ménade visible à Munich au Antikensammlungen, n° 2344. Le chien est dans la présentation habituelle des chiens étrusques rehaussé par l’artiste. Les lettres : Tereus, dans le tableau sont dans la lignée de l’écriture étrusque, soit en boustrophédon : de droite à gauche sur la première ligne, de gauche à droite s’il y a une ligne suivante etc. Le Monogramme de Philhelm et la signature parachèvent l’œuvre.
Ménade : femme possédée, adoratrice de Dionysos, qui personnifie les esprits orgiaques de la nature.

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In Wahrheit, ich schreibe es Ihnen ohne zu lügen, die ganze Geschichte von Philhelm beginnt im Elsass auf Schloss Lichtenberg, am 23. April 1616, als Balthasar Helmlinger im Alter von 7 Jahren das Monogramm[...]

In Wahrheit, ich schreibe es Ihnen ohne zu lügen, die ganze Geschichte von Philhelm beginnt im Elsass auf Schloss Lichtenberg, am 23. April 1616, als Balthasar Helmlinger im Alter von 7 Jahren das Monogramm seines gleichnamigen Nachkommen verliert. Dieser banale und dennoch sehr ernste Vorfall in ferner Vergangenheit wird 10 Generationen später die künstlerische Berufung eines seiner Nachkommen auslösen!

Der heutige Maler, 1943 in Straßburg geboren, sah sein Werk zweimal in seinem Leben ausgestellt und ausgezeichnet (1999 und 2001), und dies nur auf der „Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence“, die ihm 1999 den Preis überreichte der Stadt Florenz.

So dass der Vulgum Pecus von seiner Erfahrung völlig desorientiert ist, dass er die Geschichte ohne Eile in sich hineinlässt, jeden Tag bereichert durch unsere gemeinsame Ahnenvergangenheit: ob etruskisch, minoisch oder babylonisch, sonst wird sie niemals in das Innere der Bilder eindringen, um versuchen, die geheimen Ursachen der Dinge zu entdecken.

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