Toutes les oeuvres de Richard Caplette
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Acrylique et médiums mixtes sur panneau de bois, format galerie
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Multiples contrastes
2000 • 10 oeuvres
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“Le XX1e siècle sera spirituel ou ne sera pas.” André Malraux
Cette pensée de Malraux s’est inscrite[...]
“Le XX1e siècle sera spirituel ou ne sera pas.” André Malraux
Cette pensée de Malraux s’est inscrite en moi, éveillant un questionnement et une réflexion sur le cheminement humain à travers les âges.
Remarquables monuments d’un millénaire qui s’achève, les cathédrales ne sont pas seulement de pierre et de mortier. Elles témoignent de la pulsion créatrice et de la quête fondamentalement spirituelle des bâtisseurs de cathédrales, à un moment privilégié de l’histoire de l’humanité. Ces chefs-d’oeuvre d’architecture sont la représentation de l’homme en quête du sacre de l’existence.
Leur emplacement n’était pas choisi au hasard; elles étaient souvent érigées sur de très anciens lieux de culte pagans imprégnés de légendes et de mythes, et reconnus comme tels depuis la nuit des temps. Les cathédrales sont le symbole de toute la connaissance humaine intégrant les arts, la science et la religion, à une époque dite “de grande noirceur”. La construction de ces tours colossales pointant vers le cosmos, dans le but d’atteindre l’Être suprême venait certainement de leur conception d’un Dieu très haut et très lointain.
Mon interprétation de la pensée de Malraux me porte à croire que les femmes et les hommes de demain seront porteurs d’un message spirituel, sans aucun dogmatisme religieux. Nous devrons retrouver le sens sacré de l’existence en le cherchant à l'intérieur de nous-même. La cathédrale du prochain millénaire ne sera pas de pierre et de mortier, mais de chair et de sang. "Détruisez ce temple, et je le reconstruirai en trois jours." a dit le Christ. La conscience humaine s'adaptera à une vision holistique menant à la compréhension directe et subjective de l'interelation de tout ce qui existe dans l'univers. Ainsi, par comparaison avec la chaîne alimentaire, l'élément de base deviendra la voie spirituelle, en second, l'intuition et la créativité, enfin, le partage et l'échange entre individus et société où le sens d'appartenance à notre univers sera compris dans sa globalité. La collectivité humaine cessera d'être une société de consommation et d'évasion pour devenir un monde où chaque personne prendra conscience du "JE SUIS".
Richard Caplette
Mai 1999
Cette pensée de Malraux s’est inscrite en moi, éveillant un questionnement et une réflexion sur le cheminement humain à travers les âges.
Remarquables monuments d’un millénaire qui s’achève, les cathédrales ne sont pas seulement de pierre et de mortier. Elles témoignent de la pulsion créatrice et de la quête fondamentalement spirituelle des bâtisseurs de cathédrales, à un moment privilégié de l’histoire de l’humanité. Ces chefs-d’oeuvre d’architecture sont la représentation de l’homme en quête du sacre de l’existence.
Leur emplacement n’était pas choisi au hasard; elles étaient souvent érigées sur de très anciens lieux de culte pagans imprégnés de légendes et de mythes, et reconnus comme tels depuis la nuit des temps. Les cathédrales sont le symbole de toute la connaissance humaine intégrant les arts, la science et la religion, à une époque dite “de grande noirceur”. La construction de ces tours colossales pointant vers le cosmos, dans le but d’atteindre l’Être suprême venait certainement de leur conception d’un Dieu très haut et très lointain.
Mon interprétation de la pensée de Malraux me porte à croire que les femmes et les hommes de demain seront porteurs d’un message spirituel, sans aucun dogmatisme religieux. Nous devrons retrouver le sens sacré de l’existence en le cherchant à l'intérieur de nous-même. La cathédrale du prochain millénaire ne sera pas de pierre et de mortier, mais de chair et de sang. "Détruisez ce temple, et je le reconstruirai en trois jours." a dit le Christ. La conscience humaine s'adaptera à une vision holistique menant à la compréhension directe et subjective de l'interelation de tout ce qui existe dans l'univers. Ainsi, par comparaison avec la chaîne alimentaire, l'élément de base deviendra la voie spirituelle, en second, l'intuition et la créativité, enfin, le partage et l'échange entre individus et société où le sens d'appartenance à notre univers sera compris dans sa globalité. La collectivité humaine cessera d'être une société de consommation et d'évasion pour devenir un monde où chaque personne prendra conscience du "JE SUIS".
Richard Caplette
Mai 1999
Murs/Murs • 12 oeuvres
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Murs-Murs / Richard Caplette
"C'est sur les murs que s'inscrit la culture et c'est à l'intérieur des[...]
Murs-Murs / Richard Caplette
"C'est sur les murs que s'inscrit la culture et c'est à l'intérieur des murs que l'on retrouve les gestes de la culture."
"Lorsqu’on a vécu 28 ans dans un quartier ouvrier comme Hochelaga-De-Maisonneuve, on y conserve des racines profondes".
Né en 1951, Richard Caplette a habité au 2110 de la rue Davidson jusqu'en 1979. Comme tous les enfants du quartier, la ruelle était son terrain de jeux de prédilection. Au tout début des années soixante, bien avant la construction du métro, Richard à 10 ans, se voyait confier la tâche de porter le lunch de son père, alors chauffeur d'autobus de la CTUM sur la ligne 125 Ontario. Tous les soirs, à dix-sept heures trente, il attendait l'autobus au coin des rues Davidson et Ontario et ne ratait jamais l'occasion de faire, avec son père, le trajet aller-retour de la 125.
"Je m’assoyais à l’arrière de l’autobus et, silencieux, je regardais, soir après soir, saison après saison, le spectacle qui se déroulait, sous mes yeux d’enfant. Avec le recul, je crois que toutes ces promenades ont fait en sorte que j’ai pris énormément de plaisir à observer la ville et à m’imbiber de son atmosphère. La suite des événements était sans doute prévisible; on ne peut pas s'emplir continuellement d’images et d’impressions, sans un jour, les laisser sortir de soi par le biais de la création. Dans mon cas, c’est la peinture qui a été ma voie d'expression."
"Toute ma peinture, depuis 1977, tourne toujours autour d’un même thème : L’homme face à lui-même et face à l’univers. C'était peut-être moi, me trouvant si souvent, face à moi-même et à mon environnement, dans l’autobus, que conduisait mon père. C'est ainsi que j'ai réalisé que la vie est un processus de création éternel et que nous, les humains, sommes tous des créateurs en cheminement et en devenir. Les graffitis sur les murs, les tatous sur la peau ou les gribouillages sur papier sont pour moi, les signes d'individus en quête d'identité, voulant laisser leur marque ou voulant être reconnus ou entendus."
Témoin de l'architecture urbaine en mouvement
Au cours des années 70, il a passé beaucoup de temps à observer et à photographier les murs des immeubles et les sites de démolition de sa ville, Montréal. Dans ce paysage urbain très angulaire, où dominent les composantes (rues, édifices, hangars, portes, fenêtres) rectangulaires ou carrées, seuls, les oeils-de-boeuf des églises, les poulies des cordes à linge, les rares rondeurs du fer forgé décoratif font exception. Sur les murs mitoyens restants, il découvrait les empreintes d'escaliers, de cheminées, de passerelles, de placards, de logements disparus. Qui avait construit, emprunté ces escaliers, aimé et vécu ici ? Au sol, il observait les traces encore visibles des fondations d'immeubles et les amoncellements de rebuts de démolition (bois, plâtre, ciment, mortier, pierre, brique, métal, macadam). Ces lieux inspiraient l'imaginaire de l'artiste dont l'oeil captait toute la beauté d'un univers visuel sans signification particulière au commun des mortels ; son oreille sensible à la trame sonore continue qui se rompait, par moments, en de courts silences, entrecoupés de bruits de pas, de chants d'oiseaux ou de joyeux cris d'enfants.
Retour aux sources
C'est avec le recul et au cours de pèlerinages dans les rues et les ruelles de son ancien quartier d'Hochelaga-De-Maisonneuve que Richard Caplette a réalisé à quel point, sa peinture avait été influencée par l'environnement de son enfance. Que d'aventures il a vécues dans les ruelles pleines de hangars mystérieux, de poteaux de cordes à linge aux poulies grincheuses, de fils électriques enchevêtrés, de clôtures de bois et de métal, de jeux de marelle et de graffitis tracés sur le macadam et sur les murs.
Les tableaux de cette période dite "des murs", ont été exécutés dans un esprit de réflexion et de questionnement entre 1976 et 1978. L'artiste semble avoir interrogé chaque pierre, chaque brique qu'il a scrutée en essayant d'en reconstituer l'histoire. Sans le savoir, il a peint ses tableaux comme s'il avait voulu recréer une histoire, celle d'une ville imaginaire et réelle à travers ses murs démolis, ses murs parés de graffitis et d'affiches superposées comme autant de vielles pages calendaires.
Dans un langage plastique qui lui est propre, l'artiste exprime ses émotions, ses interrogations et chaque tableau devient une tentative de réponse. La charge émotive de l'artiste se traduit dans l'espace pictural par des mouvements énergiques, impulsifs et spontanés. Les compositions picturales constituées de couleurs rabattues, de collages de papier journal et de papier d'emballage, de taches, de signes et de lignes, en superposition sur la toile, sont complétées par une sorte de graphie gestuelle. Paradoxalement, l'utilisation des couleurs rabattues et la superposition des couches de couleurs transparentes diffusent des jeux de lumières éclatants, presqu'éblouissants, opposés à de faibles lueurs tamisées. Certaines des toiles semblent dotées d'une dimension sonore, et l'observateur a l'impression, par moments, de percevoir des sons audibles (chuchotements, cris, murmures et pas).
Murs-Murs, c'est le Montréal d'autrefois et de maintenant, toujours en mouvement.
"C'est sur les murs que s'inscrit la culture et c'est à l'intérieur des murs que l'on retrouve les gestes de la culture."
"Lorsqu’on a vécu 28 ans dans un quartier ouvrier comme Hochelaga-De-Maisonneuve, on y conserve des racines profondes".
Né en 1951, Richard Caplette a habité au 2110 de la rue Davidson jusqu'en 1979. Comme tous les enfants du quartier, la ruelle était son terrain de jeux de prédilection. Au tout début des années soixante, bien avant la construction du métro, Richard à 10 ans, se voyait confier la tâche de porter le lunch de son père, alors chauffeur d'autobus de la CTUM sur la ligne 125 Ontario. Tous les soirs, à dix-sept heures trente, il attendait l'autobus au coin des rues Davidson et Ontario et ne ratait jamais l'occasion de faire, avec son père, le trajet aller-retour de la 125.
"Je m’assoyais à l’arrière de l’autobus et, silencieux, je regardais, soir après soir, saison après saison, le spectacle qui se déroulait, sous mes yeux d’enfant. Avec le recul, je crois que toutes ces promenades ont fait en sorte que j’ai pris énormément de plaisir à observer la ville et à m’imbiber de son atmosphère. La suite des événements était sans doute prévisible; on ne peut pas s'emplir continuellement d’images et d’impressions, sans un jour, les laisser sortir de soi par le biais de la création. Dans mon cas, c’est la peinture qui a été ma voie d'expression."
"Toute ma peinture, depuis 1977, tourne toujours autour d’un même thème : L’homme face à lui-même et face à l’univers. C'était peut-être moi, me trouvant si souvent, face à moi-même et à mon environnement, dans l’autobus, que conduisait mon père. C'est ainsi que j'ai réalisé que la vie est un processus de création éternel et que nous, les humains, sommes tous des créateurs en cheminement et en devenir. Les graffitis sur les murs, les tatous sur la peau ou les gribouillages sur papier sont pour moi, les signes d'individus en quête d'identité, voulant laisser leur marque ou voulant être reconnus ou entendus."
Témoin de l'architecture urbaine en mouvement
Au cours des années 70, il a passé beaucoup de temps à observer et à photographier les murs des immeubles et les sites de démolition de sa ville, Montréal. Dans ce paysage urbain très angulaire, où dominent les composantes (rues, édifices, hangars, portes, fenêtres) rectangulaires ou carrées, seuls, les oeils-de-boeuf des églises, les poulies des cordes à linge, les rares rondeurs du fer forgé décoratif font exception. Sur les murs mitoyens restants, il découvrait les empreintes d'escaliers, de cheminées, de passerelles, de placards, de logements disparus. Qui avait construit, emprunté ces escaliers, aimé et vécu ici ? Au sol, il observait les traces encore visibles des fondations d'immeubles et les amoncellements de rebuts de démolition (bois, plâtre, ciment, mortier, pierre, brique, métal, macadam). Ces lieux inspiraient l'imaginaire de l'artiste dont l'oeil captait toute la beauté d'un univers visuel sans signification particulière au commun des mortels ; son oreille sensible à la trame sonore continue qui se rompait, par moments, en de courts silences, entrecoupés de bruits de pas, de chants d'oiseaux ou de joyeux cris d'enfants.
Retour aux sources
C'est avec le recul et au cours de pèlerinages dans les rues et les ruelles de son ancien quartier d'Hochelaga-De-Maisonneuve que Richard Caplette a réalisé à quel point, sa peinture avait été influencée par l'environnement de son enfance. Que d'aventures il a vécues dans les ruelles pleines de hangars mystérieux, de poteaux de cordes à linge aux poulies grincheuses, de fils électriques enchevêtrés, de clôtures de bois et de métal, de jeux de marelle et de graffitis tracés sur le macadam et sur les murs.
Les tableaux de cette période dite "des murs", ont été exécutés dans un esprit de réflexion et de questionnement entre 1976 et 1978. L'artiste semble avoir interrogé chaque pierre, chaque brique qu'il a scrutée en essayant d'en reconstituer l'histoire. Sans le savoir, il a peint ses tableaux comme s'il avait voulu recréer une histoire, celle d'une ville imaginaire et réelle à travers ses murs démolis, ses murs parés de graffitis et d'affiches superposées comme autant de vielles pages calendaires.
Dans un langage plastique qui lui est propre, l'artiste exprime ses émotions, ses interrogations et chaque tableau devient une tentative de réponse. La charge émotive de l'artiste se traduit dans l'espace pictural par des mouvements énergiques, impulsifs et spontanés. Les compositions picturales constituées de couleurs rabattues, de collages de papier journal et de papier d'emballage, de taches, de signes et de lignes, en superposition sur la toile, sont complétées par une sorte de graphie gestuelle. Paradoxalement, l'utilisation des couleurs rabattues et la superposition des couches de couleurs transparentes diffusent des jeux de lumières éclatants, presqu'éblouissants, opposés à de faibles lueurs tamisées. Certaines des toiles semblent dotées d'une dimension sonore, et l'observateur a l'impression, par moments, de percevoir des sons audibles (chuchotements, cris, murmures et pas).
Murs-Murs, c'est le Montréal d'autrefois et de maintenant, toujours en mouvement.
Reconnaissance
Pas encore de données disponibles
Biographie
Depuis plus de quatre décennies, Richard Caplette n’a jamais cessé d’expérimenter le spatial et les couleurs. Son inspiration lui vient principalement de l’art de la préhistoire et de sa fascination pour l’architecture urbaine.
À travers ses incessantes déambulations dans le centre-ville de Montréal, il interroge la pierre et la brique, arrachant aux murs quelques secrets savamment inscrits par des générations de tagueurs. Au cours de cette incursion profonde, l'artiste a raccordé l'instant qui sépare l'instinct créateur de l'homme des cavernes et la pulsion créatrice de l'homme moderne. Pour lui, la préhistoire représente l'époque où le silence d'une caverne a abandonné ses parois au langage gestuel de l'homme, où la question d'être est devenue l'image de son intuition.
Qui étaient-ils ?
D'où leur venaient cet instinct, cette pulsion créatrice ?
Il s’interroge sur les traces du temps. Chaque empreinte devient pour lui un sujet de contemplation, un retour sur l’histoire et les transformations de l’architecture urbaine. Dans sa production, chaque coup de pinceau dévoile une pièce de l’immense puzzle que constituent son vécu, sa réalité et ses espoirs.
Ses tableaux à l'acrylique composés de couches picturales successives, un peu comme des souvenances délicatement déposées dans une gestuelle intuitive, ne manquent jamais de nous interpeller.
-
Nationalité:
CANADA
- Date de naissance : 1951
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Canadiens
Influences
Pas encore de données disponibles
Formation
Pas encore de données disponibles
Cote de l'artiste certifiée
Pas encore de données disponibles
Accomplissements
Pas encore de données disponibles
Activité sur Artmajeur
Dernière mise à jour: 11 juin 2018
(Membre depuis 2003)
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Oeuvres de Richard Caplette ajoutées aux collections favorites: 5
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Richard Caplette
Ajouté le 11 juin 2018
Article
NOMADES
Richard Caplette
Oeuvres réalisées entre 1993 et 2004
Pointe-du-Buisson - Musée québécois d’archéologie
Du 21 juin au 31 octobre 2018
http://www.pointedubuisson.com/expositions/expositions-temporaires
Ajouté le 31 oct. 2014
TRACES D'HUMANITÉ
Société du Musée du Grand Châteauguay - Maison Le Pailleur 54 Boulevard Salaberry Sud, Chateauguay (Québec) Téléphone : (450) 698-3193 http://maisonlepailleur.ca/traces-dhumanite/ Du mardi au vendredi : 9 h à 16 h Samedi et dimanche sur réservation
jeudi
13
novembre
2014
dimanche
1
février
2015
RICHARD CAPLETTE - Oeuvres récentes
Dans le cadre de cette exposition, l'artiste questionne les traces du temps. Chaque empreinte devient pour lui un sujet de contemplation, un retour sur l’histoire et sur les transformations de l’architecture urbaine. Ses tableaux à l’acrylique, composés de plusieurs couches délicatement déposées dans une gestuelle intuitive, témoignent de l’activité humaine, dans le temps et l’espace.
Pour Richard Caplette, les murs des cités deviennent un prolongement de l’art rupestre. La ville peut être à la fois enivrante, électrisante, paisible, ou parfois, même endormie. Celui qui l’observe attentivement, perçoit le mouvement de ses artères grouillantes comme une série de tableaux vivants, à travers un kaléidoscope. Les murs des villes, en perpétuelle mutation, témoignent de l’activité humaine par les traces, les affiches et les grafittis qui se transforment au fil du temps.
Ajouté le 20 sept. 2014
TRACES D’HUMANITÉ
Maison de la culture Villebon 630, rue Richelieu Beloeil (Québec) Les samedis et dimanches de 13 h à 17 h
mardi
30
septembre
2014
dimanche
26
octobre
2014
Richard Caplette - Oeuvres récentes
À travers ses œuvres, Richard Caplette s’interroge sur les traces laissées par le temps. Chaque empreinte devient pour l’artiste un sujet de contemplation, un retour sur l’histoire et les transformations de l’architecture urbaine. Ses tableaux à l’acrylique composés de couches picturales successives rappellent les traces, les affiches et les graffitis que l’on retrouve sur les murs des villes, en perpétuelle mutation.
Richard Caplette vit et travaille à Rigaud depuis 1979. Après ses études au Cégep du Vieux Montréal et à l’UQAM, il enseigne les arts plastiques, tout en menant parallèlement sa carrière artistique. Il se consacre aujourd’hui entièrement à sa production artistique et s’implique activement à la création d’évènements culturels dans son milieu local et régional.
Le vernissage auquel tous sont conviés aura lieu le dimanche 5 octobre, à compter de 13 h 30. L’exposition de Richard Caplette est présentée à la maison de la culture Villebon tous les samedis et dimanches de 13 h à 17 h. L’entrée est gratuite.
Ajouté le 5 juil. 2014
TRACES D'HUMANITÉ
Maison de la culture Villebon 630, rue Richelieu Beloeil, Québec, J3G 5E8 450 467-2835, poste 2914
lundi
29
septembre
2014
lundi
27
octobre
2014
RICHARD CAPLETTE - Oeuvres récentes
L'exposition « Traces d'humanité » témoigne du passage de l'homme sur terre.
L'artiste s'inspire des paysages urbains, porteurs de l'héritage humain en mouvance.
L'héritage humain en mouvance, des cavernes aux cités
« Nous portons en nous, sous une accumulation de sédiments génétiques, une histoire vivante qui remonte à la préhistoire. Nous sommes héritiers de tous ces peuples qui ont sillonné la planète et peuplé les cinq continents. Les paysages urbains sont porteurs de cet héritage humain en mouvance. La ville est à la fois enivrante, voire électrisante mais il lui arrive aussi d’être tranquille, presqu’endormie. Celui qui l’observe perçoit une série de tableaux vivants, à travers un kaléidoscope avec les perpétuels mouvements de ses artères grouillants. Ses murs témoignent de l’activité humaine par les traces, les affiches et les graffitis." - Richard Caplette, artiste-peintre
Ajouté le 20 nov. 2013
TRACES D'HUMANITÉ
MUSO - Musée de société des Deux-Rives 21 rue Dufferin Salaberry-de-Valleyfield Québec J6S 1Y1
vendredi
17
janvier
2014
dimanche
9
mars
2014
RICHARD CAPLETTE - Oeuvres récentes
L'exposition « Traces d'humanité » témoigne du passage de l'homme sur terre.
L'artiste s'inspire des paysages urbains, porteurs de l'héritage humain en mouvance.
L'héritage humain en mouvance, des cavernes aux cités
« Nous portons en nous, sous une accumulation de sédiments génétiques, une histoire vivante qui remonte à la préhistoire. Nous sommes héritiers de tous ces peuples qui ont sillonné la planète et peuplé les cinq continents. Les paysages urbains sont porteurs de cet héritage humain en mouvance. La ville est à la fois enivrante, voire électrisante mais il lui arrive aussi d’être tranquille, presqu’endormie. Celui qui l’observe perçoit une série de tableaux vivants, à travers un kaléidoscope avec les perpétuels mouvements de ses artères grouillants. Ses murs témoignent de l’activité humaine par les traces, les affiches et les graffitis." - Richard Caplette, artiste-peintre
Ajouté le 17 juil. 2013
MÉMORIEL
RICHARD CAPLETTE
MÉMORIEL
Oeuvres récentes sur les traces et les signes du temps à travers l'histoire.
Musée d'art contemporain des Laurentides
St-Jérôme (Québec)
Exposition espace-foyer
Du 26 juillet au 30 août 2013
Rencontre avec l'artiste, le 25 août 2013 à 14 h
Du mardi au dimanche, de 12 h 17 h
Ajouté le 17 juil. 2013
MÉMORIEL
101, place du Curé-Labelle, Saint-Jérôme (Québec) Heures d’ouverture régulières Mardi au dimanche 12 h à 17 h
vendredi
26
juillet
2013
vendredi
30
août
2013
Oeuvres récentes sur les traces et les signes du temps à travers l'histoire.
Ajouté le 10 mai 2013
RUE PESTRE
4247, Rue Saint-Dominique
mercredi
19
septembre
2012
jeudi
15
novembre
2012
RUE PESTRE
RICHARD CAPLETTE
Oeuvres récentes
Du 19 septembre au 15 novembre 2012
Vernissage le mercredi 19 septembre dès 17 h 00
Centre des arts contemporains du Québec à Montréal
4247, Rue Saint-Dominique, Montréal
Tél. : 514-842-4300
Heures d'ouverture du lundi au vendredi :
10 h 00 à 15 h 00
Ajouté le 19 oct. 2012
Résumé biographique et démarche de Richard Caplette, artiste peintre québécois
Ajouté le 4 mai 2012
Communiqué de presse
Richard Caplette - Rue Pestre
Maison de la Culture
Ste-Anne-des-Monts (Québec)
Du 25 mai au 30 juillet 2012
Jeudi : 13 h à 20 h 30
Vendredi : 13 h à 20 h 30
Samedi : 10 h 17 h
Dimanche : 13 h à 17 h
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Maison de la Culture
Ste-Anne-des-Monts (Québec)
Du 25 mai au 30 juillet 2012
Jeudi : 13 h à 20 h 30
Vendredi : 13 h à 20 h 30
Samedi : 10 h 17 h
Dimanche : 13 h à 17 h
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Ajouté le 4 mai 2012
Rue Pestre
Maison de la culture de Ste-Anne-des-Monts - 120, 7ème rue Ouest - Heures d'ouverture : 8 h à 12 h et 13 h à 16 h, du lundi au vendredi.
vendredi
25
mai
2012
lundi
30
juillet
2012
Oeuvres récentes
Ajouté le 30 avr. 2012
Communiqué de presse
Richard Caplette - Rue Pestre
Maison de la Culture
Ste-Anne-des-Monts (Québec)
Du 25 mai au 30 juillet 2012
Jeudi : 13 h à 20 h 30
Vendredi : 13 h à 20 h 30
Samedi : 10 h 17 h
Dimanche : 13 h à 17 h
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Maison de la Culture
Ste-Anne-des-Monts (Québec)
Du 25 mai au 30 juillet 2012
Jeudi : 13 h à 20 h 30
Vendredi : 13 h à 20 h 30
Samedi : 10 h 17 h
Dimanche : 13 h à 17 h
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Ajouté le 13 avr. 2012
Journées de la Culture 2009
150 St-François
samedi
26
septembre
2009
dimanche
27
septembre
2009
Dans le cadre des Journées de la culture 2009
Visite d'atelier. Rencontre avec cet artiste peintre et échanges sur son travail
avec des techniques mixtes : peinture acrylique, collage et dessin.
Ajouté le 15 août 2011
Communiqué de presse
Richard Caplette - Les strates de la mémoire
Du 20 septembre au 15 octobre 2011
Bibliothèque Guy-Godin
110, boulevard Perrôt, L'Île-Perrôt (Québec)
Horaire :
13 h à 20 h 30
Mercredi : 13 h à 20 h 30
Jeudi : 13 h à 20 h 30
Vendredi : 13 h à 20 h 30
Samedi : 10 h 17 h
Dimanche : 13 h à 17 h
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Ajouté le 15 août 2011
Les strates de la mémoire
110, boulevard Perrot
mardi
20
septembre
2011
samedi
15
octobre
2011
Oeuvres récentes
Ajouté le 8 mars 2010
Communiqué de presse
Encan silencieux - Centre des arts contemporains du Québec à Montréal
Du 08 au 19 mars 2010
4247 rue Saint-Dominique, Montréal
Galerie ouverte du lundi au vendredi de 10h00 à 16h00
Activité bénéfice au profit de l’évènement l’Art et la Jeunesse 2010
Collège Bourget - UNESCO - CACQM
Soirée ouverture 09 mars 17h00 - 19h00
Soirée clôture 19 mars 17h00 - 19h00
Bourbeau-Cholette, Thérèse -
CAPLETTE, RICHARD -
CÔTÉ, MANON -
DUTKEWITCH, ANDREWS -
FOURNELLE, ANDRÉ -
LARAMÉE, DANIEL
LATULIPE, CAROLE -
PICHÉ, REYNALD -
ROLLAND, DOMINIQUE -
VAILLANCOURT, ARMAND -
VALADE, DOMINIQUE -
VAZAN, BILL -
Info : CCACQM, (514) 842-4300
Ajouté le 12 sept. 2009
Communiqué de presse
26 et 27 septembre 2009
Dans le cadre des Journées de la culture,
Rencontre et visite d'atelier de l'artiste.
Dans le cadre des Journées de la culture,
Rencontre et visite d'atelier de l'artiste.
Ajouté le 17 mars 2009
Paysages littéraires
Galerie Renée Blain
dimanche
15
mars
2009
dimanche
5
avril
2009
Oeuvres récentes de Richard Caplette et sculptures de Thérèse Bourbeau-Cholette
Ajouté le 8 janv. 2009
Communiqué de presse
12 mai 2009 -
Encan bénéfice 2009 de l'Écomusée du fier monde
2050 rue Amherst, Montréal (Québec)
Tél.: (514) 528-8444
Ajouté le 23 déc. 2008
Communiqué de presse
12 mai 2009
Encan bénéfice 2009 de l'Écomusée du fier monde
2050 rue Amherst, Montréal (Québec)
Tél.: (514) 528-8444
Avis et commentaires
Belles compositions, chromatisme interessant
Félicitation
Belle collection
Beau site, bien monté
bonjour richard tes toiles son tres belles j'ai toujour les miennes je suis maintenant a sept-iles
J'ai beaucoup apprécié ton vernissage à Brossard.
Je trouve tes tableaux très beaux et apaisants.
On aurait le goût de les regarder longtemps... longtemps. On rentre dedans et c'est presque méditatif...
La légende des marais, c'est très beau !!!
Le ciel avec les jaunes est magnifique.
Il y a toujours une petite partie très lumineuse dans les tableaux de Caplette qui attire notre regard en premier. Ensuite notre oeil visite et s'arrête sur toute les partie de la toile. On y découvre des nouveautés à chaque fois qu'on la regarde.
Le titre a été bien choisi.
Claire
"La légende du marais"
Wow! Quel lumière. J'adore!
Ta retraite éventuelle ressemble à cette aube
qui surgit majestueusement. Bravo!
François
Bonjour M.Caplette
J'aime beaucoup ! Quelle lumière !
Belle composition. Œuvre à voir au plus près ...
Magnifique , très belle toile ..!j'adore ...! Bravo Richard
Audrey
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